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Réduire l’antisémitisme à une déviance de l’extrême droite ou de la gauche radicale serait dresser un réquisitoire hâtif pour les uns et conférer une innocence hors de propos pour les autres. La « haine du Juif » telle qu’elle s’opère aujourd’hui engage un processus dévastateur qui commencera dès la diffusion de la Nouvelle Alliance. L’adversaire est ainsi désigné et seule la référence à l’histoire permet d’en esquisser les contours et d’en atténuer les effets.

De plus, l’effet pernicieux résistera difficilement à l’explication historique qui rejoindra la dimension thérapeutique que la référence ainsi établie ne manquera pas de susciter.
L’antisémitisme est une pathologie de nature conquérante qui s’inscrit au passif de la culture occidentale dans tous ses attendus . Même dans ses expressions agnostiques elle se veut la réponse chrétienne au rejet de Jésus par Israël.

Au delà de la connotation religieuse l’antisémitisme est la réponse appropriée de l’Occident à l’exemple séditieux dont témoigne le refus d’Israël. Dès le Golgotha est mis en oeuvre le processus d’extermination de la Nation Juive. L’antisémitisme est fondamentalement d’essence théologique.

Les moyens mis en oeuvre pour tenter de le neutraliser sont manifestement indigents, si tant est qu’ils soient requis Ils appréhendent des moyens essentiellement répressifs et ne visent donc qu’à en combattre les effets sans impact sur les causes.

Dans ces conditions le constat de recrudescence de cette peste endémique ne va pas sans interpeller sur la nécessité de mettre en oeuvre les moyens origina

PROCESSUS A METTRE EN OEUVRE.
Si l’antisémitisme est atteinte de l’ esprit, le code pénal est nécessaire mais reste insuffisant pour le combattre efficacement. Les premiers interpellés seront les enseignants des collèges et lycées.

Un diplôme spécial portant sur l’histoire de l’antisémitisme sera institué Tous les professeurs d’histoire seront concernés. . L’enseignement de cette matière  désignera  tous les élèves à partir de la classe de 4èm. La nouvelle matière sera notée et comptabilisée dans la note trimestrielle. Il dépendra des enseignants de valoriser la nouvelle matière. Le fil conducteur de l’enseignement de l’histoire de l’antisémitisme sera marqué par l’aptitude à mettre en relief la constante de la » haine du Juif « tout au cours de l’histoire.

 

En niant le rôle de Pétain durant la Première Guerre, on se rend coupable de RÉVISIONNISME !

Que cela plaise ou non, le vainqueur de Verdun est Philippe Pétain, Maréchal de France ! S’interdire de le rappeler c’est couronner l’histoire par le mensonge.

Refuser à Pétain l’hommage du à ce titre c’est non seulement porter atteinte au vainqueur de la plus grande bataille du conflit , mais c’est aussi nier le sacrifice de ceux qui offrirent leur vie en servant sous Philippe Pétain!

Pétain fut un héros avant son naufrage, le rappeler est devoir.

C’est précisément parce que Pétain offrit au pays les lauriers de la victoire qu’il bénéficia d’un renom qui lui permit de se fourvoyer dans la Collaboration.

L’homme que la République souhaite honorer n’est pas celui qui s’est déshonoré dans la trahison . Le Président Macron a été sans ambiguïté à ce sujet. 
C’est au vainqueur de Verdun que l’hommage s’adresse.
Et avec lui aux milliers de soldats, Morts pour la France, dont de nombreux Juifs.

Au motif que Pétain s’est déshonoré, il serait illégitime de saluer la gloire de Verdun. L’homme n’est pas qu’ange ou démon.

Le Président de la République n’a fait que rappeler des évidences et le CRIF ferait mieux de signer d’autres combats plutôt que de s’associer aux manifestations d’un mauvais procès où l’option de l’opportunisme semble avoir pris le pas sur la juste querelle.

ÊTRE AMI D’ISRAËL, C’EST HYPER CLASSE !
Un ami Français, m’a envoyé, aux bonnes fins d’être publié dans www.terredisrael.com, la
lettre suivante. Arnold Lagémi

Cher Arnold,

Tu as soutenu qu’être Israélien c’était la classe, qu’être Juif, c’était super classe. Il manquait l’hyper classe pour qualifier la qualité d’ami d’Israël. Je m’empresse donc de me saisir du terme avant que quelqu’un d’autre ne le fasse à ma place !

Oui, je suis ami d’Israël et c’est vraiment hyper classe parce que :

Par principe, je suis avec les plus faibles et, en dépit de la puissance de frappe de votre armée, je n’imagine pas un Juif appuyer sur le bouton rouge.

Je suis ami d’Israël, parce que votre volonté de vivre est si forte que vous ne voyez pas la menace derrière votre porte et n’entendez pas les hurlements de la meute sous vos fenêtres.

Je suis ami d’Israël, parce que, de toute évidence, vos ennemis ne cachent plus désormais leur volonté de vous anéantir, projet qu’ils avaient habilement déguisé jusqu’à maintenant.

Je suis ami d’Israël, parce que ma famille n’était pas à vos côtés quand vos bourreaux vous martyrisaient et vous insultaient dans la langue de Goethe. Et moi, je ne veux pas ressembler à ma famille.

Je suis ami d’Israël, parce qu’il est patent que l’antisémitisme est le motif, le seul motif qui anime vos détracteurs.

Je suis ami d’Israël, parce que Dimanche dernier, je suis allé à la messe et la figure du Christ sur le maître hôtel, me disait toute la tristesse de la solitude d’Israël.

Je suis ami d’Israël, parce que dans vos hôpitaux, vous soignez vos ennemis et leurs enfants.

Je suis ami d’Israël, parce qu’ on parle de vous et qu’on s’attaque à vous comme si vous étiez aussi puissants que les USA et que, cela veut dire que vos ennemis savent que vous portez un destin dont l’accomplissement sauvera le monde.

Je suis ami d’Israël, parce que je n’aime pas avoir honte et, ne pas vous soutenir maintenant reviendrait se couvrir de flétrissures.

Je suis ami d’Israël, parce que dans la barbarie qui vous cerne, vous persévérez à croire que le droit est plus puissant que la force.

Je suis ami d’Israël, parce que tout votre peuple était contenu dans le visage rayonnant de la fille policier qui, contrôlant mon passeport à l’aéroport Ben Gourion me dit comme l’aveu d’un sentiment contenu : « Baroukh Aba béIsraël, » soyez le bienvenu en Israël !

Je suis ami d’Israël parce que tout en connaissant la colère et la révolte, vous n’arrivez pas à transformer en haine votre désir de justice.

Je suis ami d’Israël, parce vous ne savez pas vous défendre face à une presse qui se déshonore.

Je suis ami d’Israël, parce que la démocratie n’a pas été chez vous précédée d’une consultation populaire mais qu’elle figure naturellement dans la Déclaration d’Indépendance, comme si toute autre alternative n’était pas envisageable.

Je suis ami d’Israël, parce que je voyage souvent dans les pays qui vous environnent et que, du point de vue des libertés, comme l’on dit, dans la langue populaire, « y’a pas photo ! »

Et, pour des motifs plus privés mais que je dévoile malgré tout, je vous confie que, dans ma relation à vous, il y a plus que l’amitié. Aussi, au risque d’être impudique :

Je t’aime, peuple d’Israël, parce que tu es devenu la proie de toutes les extrêmes, je t’aime, peuple d’Israël, parce que je sais que tu portes un lourd fardeau, et que, tu finis par m’énerver en ne cessant de répéter comme un exorcisme : « yihéyé bésséder, ça s’arrangera ! »

Et puis enfin, je t’avoue une faute à tes yeux, peut être, je n’aime pas perdre, et je t’aime, vraiment, car le combat qui t’est imposé est tellement injuste, que tu finiras par l’emporter, et moi, ton ami goy, je veux être fier d’être à tes côtés, quand le monde reconnaîtra qu’il s’est fourvoyé.

Oui, vraiment, être ton ami, Israël, c’est hyper classe ! Et si la prière d’un goy a quelque valeur à tes yeux, je veux dire, face à face, au créateur, en employant l’impératif :

« Tu dois bénir ce peuple, peut être et d’abord, parce que Tu l’as élu, mais surtout, parce que c’est l’un des rares à être encore…hyper classe !!!’

La priorité accordée aux seuls échanges économiques israelo chinois au détriment des convergences politiques traduit à l’analyse, en dépit des apparences le désir d’aller plus loin que ne le permettrait le seul échange technologique.

Car, l limiter la coopération au domaine technologie habituera les parties à une promiscuité qui débouchera forcément sur le domaine politique.

Saluant le vice-président Chinois, en visite à Jérusalem par des propos pour le moins visionnaires par leur singularité « L’AN PROCHAIN A PÉKIN »le premier ministre Israélien annonce la nature de la coopération qui se prépare avec la Chine: des échanges économique s’inscrivant dans le cadre d’un renversement d’alliances.

La grande inconnue dans cet intérêt partagé sera la place qui sera consentie aux USA. Le grand allié d’outre Atlantique n’acceptera pas facilement d’être évincé de son rôle de grand arbitre.

 

En désignant son combat « L’Etat Juif, » Herzl  laissait déjà entrevoir la nature réservée à son oeuvre. Cet Etat  sera » l’Etat des Juifs » et, à sa création seront associées  de nombreuses fatalités, dont la spécificité juive sera la quintessence.
Une conscience approximative de cette réalité pourrait distraire de la nécessité d’estimer comme il se doit la récente loi adoptée par la Knesset. 
Certains membres de la minorité Arabe aidés des traditionnels défenseurs de leur cause et recrutés souvent  parmi les Israéliens,  s’empressent de voir  des motifs à l’inquiétude dans cette perspective. Ils craignent ou font semblant de redouter que le renforcement  du caractère Juif de l’Etat d’Israël ne soit l’aveu d’une discrimination prochaine à leur encontre.
La civilisation hébraïque implique de nombreux préalables parmi lesquels figure le « droit de l’étranger ». Il n’est donc pas nécessaire de fournir une garantie supplémentaire pour se prémunir d’un danger déjà neutralisé par principe.Par ailleurs, on serait bien dans l’impossibilité de fournir des faits attestant la crainte fondée. La culture juive d’essence humaniste ignore la discrimination et n’a nul besoin de leçon de leçon de morale émanant de systèmes culturels qui se sont fourvoyés et disqualifiés par la Shoah.
Cette morale implicite fait partie de la prédisposition fondamentale  par laquelle toute  culture assume le « préalable » civilisationnel qui rendra acceptable son rôle recevable  au sein de la culture juive.    
Tout comme les Arabes bénéficient en Israël de droits  garantissant leur participation au processus démocratique, ils ne sauraient être écartés de ce bénéfice  sans un changement  radical  que rien ne permet de supposer.  
Les Juifs entendent bien se prévaloir de  ces acquisitions préalables qui ruinent le projet d’assimilation à toute discrimination. « Sans moralité point de droit » disent les Textes. Or, cette moralité qui précède l’observance de la loi reste la suprême garantie.

La mission première de dirigeants confrontés à l’impérieuse nécessité « d’intervenir » pour éviter une tragédie est de prendre les mesures d’urgence qu’impose le sauvetage des malheureux naufragés. Viendra ensuite le temps de corriger et réparer. Mais faire passer l’argutie juridique avant le sauvetage, c’est exposer l’inaction coupable à la qualification de crime.

Le Président américain en exercice  vient, en première intention, d’écrire une nouvelle page des relations entre les USA et la Corée du Nord. Cette page qu’alimente  l’intuition d’un authentique homme de l’histoire présente, dans ses attendus co-latéraux le bénéfice d’une  remise en place des divers observateurs qui n’ont pas hésité à faire  usage de calomnie, allant même jusqu’à prêter à Donald Trump des manifestations pathologiques de type psychiatrique. 

 
 
Le transfert de l’ambassade US de Tel Aviv à Jérusalem inaugure un style nouveau où le Président décide en dépit de l’opposition quasi mondiale, un transfert qui s’inscrivait plutôt dans le cadre d’une régularisation  que d’un déménagement.
 
 
La « Conférence de Singapour » confirme l’échec des précédents Présidents dont aucun n’a pu parvenir à reconnaître la Corée du Nord comme entité nationale, voir à amorcer l’approche d’un dialogue. 
 
 
Cette décision place le Président des Etats Unis dans le camp des détenteurs de cet atout prépondérant qu’est la capacité à distinguer les priorités. Dans cette perspective les reproches et critiques qu’on lui adresse restent  bien plus  confirmation d’originalité  qu’aveu de  manquement.  
 
 
Toutes ces péripéties renvoient à la reconnaissance d’une vertu devenue rarissime pour les hommes d’aujourd’hui, s’ils détiennent, de surcroît,  le pouvoir politique: le COURAGE !
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 
 
 
DONALD TRUMP, UN  STYLE NOUVEAU POUR UN CHEF QUI ÉTONNERA ENCORE!
 
 
Les atermoiements qui ont suivi les élections présidentielles ont pu laisser croire que Donald Trump conjuguait l’inaptitude à la fonction suprême à toutes les formes du possible.  Le Président n’hésite pas à court circuiter les normes établies en matière de correspondance diplomatiques confrontant ainsi son seul point de vue signifié par tweets. Est-ce à dire que nous devons nous attendre à une forme inusitée   d’une dictature exercée sans partage. 
 
 
Une telle conclusion s’établirait sur la solitude de Donald Trump érigée en règle absolue.  Ce serait oublier que prendre conseil ne se réduit pas à recevoir instruction.
 
 
En recevant le Chef de l’Etat Français, Donald Trump  n’a pas hésité à gratifier son hôte des signes chaleureux de l’amitié. Au point que certains observateurs se sont crus autorisées  à dépasser les gestes amicaux  pour y voir les signes patents de l’alliance ainsi délivrée.    C’est aller bien vite en besogne et conférer à une poignée de mains, fut elle très chaleureuse  le signe ostentatoire de la méprise!
 
 
 Et quand  il a fallu fournir  le point de vue officiel de la Maison Blanche sur l’accord iranien, le Président Trump a confirmé la fidélité aux principes déjà énoncés lors de  de la campagne électorale . Croire que la cordialité est en mesure de guider Trump, c’est méconnaître le pragmatisme essentiel qui reste la règle ce que ne saurait désavouer la chaleur de l’accueil.
 
 
Trump se voit reconnu dans une particularité que les hommes politiques nourrissent habituellement avec parcimonie, celle de mettre en accord leurs promesses et leurs actes.  En un temps où l’information va plus vite que la donnée pratique qu’elle véhicule, une illustration conséquente a été occultée à propos du transfert de l’ambassade US à Jérusalem.
 
 
En effet, Trump a bravé l’opposition des Nations pour une décision où l’intérêt US doit être recherché. Une telle initiative doit être de nature à favoriser une révision de l’appréciation si tant est que ce soit nécessaire.

 

1948/ 2018:  La Guerre d’Indépendance de 1948 fut le dernier conflit israélo-arabe à susciter des sympathies parmi les Nations au bénéfice d’Israel. En effet, l’objectif avoué des coalisés Arabes était  de « jeter les sionistes à la mer. » Dans le même temps où le monde sidéré ouvrait des yeux  épouvantés  sur la Shoah, un tel objectif n’était pas sans exalter la conscience coupable d’un Occident à la recherche de moyens pour diluer sa responsabilité
C’est alors qu’apparut une réalité mythique mais porteuse d’immenses conséquences bénéfiques à la cause palestinienne: l’importation mensongère d’une phraséologie usitée dans les combats menés contre les puissances coloniales et qui avait fait ses preuves. C’est ainsi que la cause palestinienne fut revisitée par un moyen stratégique qui pulvérisait l’argumentation  des motifs invoqués par les Arabes coalisés en 1948 : L’esprit de Résistance. Israël devenait un « pays occupant » et les Palestiniens un peuple occupée victime de l’arbitraire sioniste.
La « cause  palestinienne  devenait le juste combat  et participer à ses luttes s’inscrivait dans un processus de libération qui se ralliait tous les hommes épris de justice. C’est à ce moment que cessa l’exaltation destructrice d’Israël pour se concentrer sur le seul nouvel objectif : le réveil  illusoire  du nationalisme palestinien.
C’est ainsi que s’opéra une reconversion radicale de la haine anti sioniste qui mit en avant  » l’oppression » et » l’occupation » désignations qui retrouvaient  pour  les Occidentaux les accents familiers d’un passé récent qui avait reçu les suffrages de la fraction la plus digne de ses héros consacrés.
Tout sera vu désormais par le biais de ces allégations tronquées. On se refusera à considérer  la « légitime défense » quand Israël se défendra. On se refusera à voir l’impérieuse injonction de la réaction défensive pour ne conserver que les effets de l’auto défense  occultant les causes. On n’hésitera pas à être familier de l’excès outrancier en assimilant les attentats Palestiniens aux missions de Résistance de la France Libre en « oubliant » que la Résistance ignorait les objectifs civils !
Cette reconversion situe la « résistance » Palestinienne dans une vision de l’histoire  où le mensonge s’alimente aux sources empoisonnées du séculaire antisémitisme occidental.

La légitime défense est l’ultime recours permettant de se protéger quand l’adversaire menace de porter atteinte à notre intégrité physique. Ce recours est soumis néanmoins à des conditions qui varient selon les époques. Quand les circonstances l’exigent et que, par exemple, l’entité menaçante est » pluriel « les modalités d’intervention relèvent du droit international et des Conventions de Genève, 

 
 
Tout se passe comme si pour être légitime   dans ce cas  le processus d’intervention impliquerait de verser  au débat d’autres paramètres ignorés dans le cadre  de la légitime défense exercée  directement de l’individu agresseur à la victime agressée. Ces autres paramètres sont une altération directe de la légitime défense et impliquent une vision partiale de l’intervention. Il s’agit de la politique. Et parfois la conclusion politique contrarie l’objet même de la légitime défense.
 
 
Rien de plus  immoral à ce sujet que la condamnation d’Israël par les nations Européennes pour avoir apporté une véhémente réplique à la tentative de violer ses  frontières afin d’accéder au territoire Israélien. Que se serait-il passé si Israël avait laissé faire? Qui peut garantir qu’un véritable massacre dans le kibouts  voisin ne se serait pas produit?
 
 
Cette approche inique qui tronque la réalité sécuritaire par des approximations suspectes ne va pas sans s’inscrire dans la volonté perverse de délégitimer Israël de tout droit à l’auto-défense. Il y a une autre manière plus subtile d’ôter toute justification  à la défense juive c’est la proclamation que TSAHAL  reste la 3ème  puissance militaire mondiale, à condition de ne jamais  le démontrer, par le recours  légitime au droit à la défense notamment.
 
 
L’Onu a décidé une minute de silence à la mémoire des victimes Palestiniennes. Jamais pareil signe d’attachement n’a été manifesté au bénéfice des victimes Juives victimes de terrorisme. 
 
 
L’arbitraire devient la loi. Aussi,  » bien faire et laisser dire! »  Réagir à l’agression est une obligation morale, s’en abstenir reste l’aveu d’une conscience coupable!
Avec  40% de sa population se réclamant de l’Eglise Evangélique le Guatémala affirme une sympathie et une fraternité sans faille pour les Juifs le Judaïsme et l’Etat d’Israël.  
Même si cette amitié est « intéressée » comment dissimuler son émotion pour cet aveu de fraternité émanant  de ce pays du « bout du monde » dont le Président vient de présider à Jérusalem la cérémonie du transfert  de l’ambassade guatémaltèque  de Tel Aviv à Jérusalem.
Cette démarche avait été initiée par un autre sympathisant de l’Eglise Evangélique, le Président Donald Trump qui entretient des liens soutenus avec cette Eglise dissidente.
En dépit de la conversion  des Juifs au Christianisme qui reste l’intention première sur laquelle se fonde cette fraternité, la  volonté farouche et véhémente de restaurer les Juifs dans leur souveraineté manifestée par les Chrétiens évangéliques    devrait permettre  de  cultiver des liens prudents mais amicaux avec la seule branche du Christianisme porteuse de Rédemption pour les Juifs.

 Certes, la décision repose sur une disposition législative adoptée par le Congrès. Mais, usant  d’une clause dérogatoire,  les divers Présidents de Bush à Obama repoussaient  l’échéance,  prétextant  des motifs sécuritaires. Il faut souligner que pareille décision, en devenant effective  compromettrait   à coup sûr,  l’influence américaine dans le monde, renforcerait les réserves Européennes et  multiplierait sur le terrain  les risques de confrontation.  Le Président Trump balayant ces réticences, rend opérationnel le transfert qui aura lieu ce jour.

 
Le Président Trump n’a pas l’aura d’un stratège confirmé et la décision du transfert ne s’accompagne pas de motivations élaborées. « Jérusalem est la capitale de l’Etat Juif »affirmation qui reste confondue avec un slogan et  constitue certes une raison  majeure qui suffirait à accréditer la justification  du transfert si Donald Trump n’était pas le chef de la nation la plus puissante de la terre  où toute décision américaine   s’inscrit dans la vision ultime de l’intérêt prioritaire des Etats Unis. 
 
Tel n’est pas le cas et l’explication à une décision de cette nature peut  être recherchée  dans le cadre d’une structure irrationnelle. Quand on sait les liens tenus qui attachent le Président Trump à l’Eglise  Évangélique  tout laisse à penser que c’est de ce côté qu’il faudra se tourner pour trouver un motif satisfaisant  à la décision du transfert de l’ambassade US.
 
 
En effet, l’Eglise Évangélique bénéficie  d’une influence majeure au sein du collège électoral américain et ses fondements théologiques disposent  que les Juifs doivent être restaurés dans leurs droits, retour à Sion inclus. Etape indispensable qui précédera leur conversion.
 
 
Les fidèles de l’Eglise Évangélique se désignent donc comme les accompagnateurs du peuple Juif veillant  au retour en droit de leurs protégés. On comprend mieux la décision solitaire et autoritaire  du Président Trump plaçant le rétablissement de Jérusalem ès qualité de capitale éternelle et indivisible d’Israël,  décision prise dans l’insatisfaction quasi universelle mais dans l’exaltation mystique présidentielle.

 
Ce n’est que dans les délires les plus fous qu’on aurait pu rêver à ce que nos yeux voient, à ce que nos oreilles entendent aujourd’hui. En effet,  l’Etat Juif n’a jamais cessé d’encourager le tourisme afin qu’on puisse, ente autres constater sur place    qu’apartheid et discrimination sont des  ragots  calomnieux. Or Israël   prend acte,  aujourd’hui  qu’à l’occasion d’une épreuve cycliste  italienne  la deuxième après le Tour de France, le GIRO,  Israël a été désigné pour servir de cadre au déroulement de  cette épreuve.
 
 
De Haïfa à Tel Aviv et de Béershéva à Eilat  les participants longeront la côte, et seront confrontés aux réalisations multiples  et variées de  l’Etat Juif dont certaines relèvent du prodige, le tout sous une couverture médiatique permanente.
 
 
Qu’espérer de plus, pour établir la vérité  qu’une intrusion sioniste de qualité sans bouger de chez soi? 
 
Au delà  de  cette retombée bienfaisante et pacifique comment  ne pas  être stupéfait par la multitude de  touristes interpellés par les journalistes qui ne cachent pas leur émotion à l’idée que le départ de cette course se tient à Jérusalem, capitale de l’Etat Juif ! 
 
 
Jamais épreuve sportive d’envergure n’a abandonné le cadre Européen. Voilà que l’Europe fait le déplacement pour reconnaître des mérites à Israël.
 
 
Comment ne pas penser au mot fameux du premier Président de l’Etat d’Israël, Haïm Wezmann  qui disait:  » En Israël, ne pas croire au miracle c’est ne pas être réaliste! »

 

La récente intervention du Premier Ministre Israélien génère une très vive inquiétude qui ne va pas sans s’inscrire dans une tragique réalité.

 La « présentation »  des preuves attestant que l’Iran prépare une confrontation atomique a un arrière-goût d’initiation  du monde à une ultime vérité : Israël, visé par l’Iran  prend les devants : Il   n’acceptera pas de vivre sous le danger permanent de missiles Iraniens.

 Il n’existe pas dans l’histoire d’exemple où un pays démontre que son existence est menacée sans que cela ne s’accompagne d’une préparation à la confrontation armée.

Aurait-on oublié qu’Israël ne peut se permettre de négliger la mise en œuvre d’un principe stratégique vital pour lui: « La meilleure défense, c’est l’attaque ! » N’est-ce pas ce qu’il faut retenir de l’intervention du Premier Israélien ?

Ce message d’une extrême gravité vaut pour le monde. Les USA sont concernés Il est la première  manifestation  d’un processus défensif qui place Israël en première ligne.

Et qu’on se le dise !

 

 

Je regrettais récemment dans ces mêmes colonnes l’absence d’initiative pédagogique qui aurait comblé la » rétention  d’informations »sur  le régime de Vichy et l’influence de son  chef emblématique. Dans cette perspective, il faut éclairer une donnée majeurequi permettrait peut-être de mettre  en lumière l’aspect résilient de ce véritable fléau qu’est l’antisémitisme : Les causes de la Shoah !

 

 

Se confronter aux motifs avancés par les antisémites  même si la honte les enveloppe, c’est revendiquer le droit à comprendre, même si, en l’occurrence, ce qu’il y a à comprendre se réduit à l’irrationnel le plus fourvoyé!

 

 

Déclarer  la guerre  à l’antisémitisme sans recourir aux moyens que cette lutte impose c’est ne pas estimer qu’il s’agit là d’un dysfonctionnement majeur de notre système éducatif pouvant mettre en péril les fondements mêmes de la culture et de la civilisation.

 

 

De larges extraits de Meïn Kampf doivent être étudiés en classe sous  la houlette de professeurs expérimentés dont la compétence aura été confirmée. Le « statut » des Juifs » sera appréhendé avec la même rigueur et le professeur s’efforcera après l’établissement des conditions infâmes  d’internement à Drancy, par exemple de conduire les élèves à poser la question qui bouleverse les acquis du questionnement pour exprimer, par un raccourci saisissant le désarroi devant l’injuste. 

 « POURQUOI? » 

L’enseignant initiera alors les éléments constitutifs de le prise de conscience facilitant l’assimilation de l’antisémitisme à une manifestation de haine gratuite.

 

Il importe que l’enseignant fasse l’unanimité de sa classe en établissant le prix de la survie juive dans un milieu hostile.  L’identification aux victimes doit être la règle. Fatima  deviendra sœur d’Anne Franck et Farouk compagnon d’Anilewicz.

 

Mais il y a urgence à préparer la Réforme !

 

La naïveté voire l’irresponsabilité des divers gouvernements , depuis la Libération, ne cesse de surprendre, notamment dans la relation entretenue avec l’héritage antisémite de la collaboration . Tout se passe comme si la Révolution nationale et son Chef charismatique étaient programmés pour disparaître dès la fin de la guerre. C’est oublier que la Collaboration est, d’une part la révélation d’une atteinte profonde de la société française et qu’une blessure de cette nature dévoile un traumatisme qui ne peut s’éteindre par génération spontanée.

Un vaste consensus verrouille donc toute velléité de comprehension et de condamnation de la Collaboration On se contente du procès d’un homme pour tenter de neutraliser les « forces obscures » mais bien présentes de cette fraction de la population qui vit en Pétain bien plus le vainqueur de Verdun que l’auteur indigne du « Statut des Juifs. »

Cette France qui chantait avec ferveur « Maréchal nous voilà! » s’est envolée ou plutôt s’est embusquée dans les replis de la conscience identitaire,et l’illusion serait de croire qu’elle a disparu! Convaincue qu’elle referait surface dès que l’opportunité le permettrait. Et celle-ci se manifestera dans le soutien stratégique insolite et insoupçonné de l’islamisme radical!

Renforcé par cet appui, l’antisémitisme d’aujourd’hui représente un danger d’une acuité inégalée. Il détient l’apport initial de l’antisémitisme occidental d’origine chrétienne sur lequel se greffent le négationnisme et le révisionnisme, autres variétés d’un racisme anti Juif et délétère que vient soutenir la haine antisioniste alimentée par l’islamisme radical.

Ci après un projet de réforme.

LA REFORME PÉDAGOGIQUE ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE. PROJETS DE REFORMES

La réforme s’appliquera à toutes les classes du collège et du Lycée. Elle s’appuiera sur des manuels appropriés.
Première partie: L’antisémitisme, la naissance de la haine, histoire d’une infamie. La Shoah ou le massacre des innocents

Historique des mesures antisémites

La Shoah devra être regardée comme la conséquence de rumeurs répandues en Occident sur les actes supposés imputables aux Juifs.

La réforme devra réviser et combattre les clichés antisémites entretenus depuis le moyen âge. 
Il sera démontré que les rumeurs colportées sur les Juifs ont le mensonge pour support et la haine pour fondement. La réforme pédagogique fera une part non négligeable à « l’enseignement du mépris » dénoncé par Jules Isaac en 1957 et qui a conduit à la tenue du concile VATICAN II. Il sera par ailleurs souligné la place prépondérante de l’anti Judaïsme doctrinal dans l’approche théologique initiée par l’Eglise.

Et comme il est dit dans les bonnes feuilles:

ET CE SERA JUSTICE!

 
Soyons réalistes et lucides, les relations commerciales entre  Israël  et l’Europe sont condamnées  à l’extinction à brève échéance. Les réactions des pays Européens au boycott  des produits Israéliens, restent, en l’occurrence révélateurs d’une relation  qui sait prendre en compte la réalité palestinienne en lui accordant préséance sur toute autre considération, commerciale tout particulièrement.  Les pays Européens jugent l’unité de vue israélo-palestinienne prioritaire et déterminante quant à la conduite d’une coopération économique  éventuelle avec Israël. Celle ci n’est pas appréciée sur la seule considération du profit que l’Europe en tirerait   mais sur l’estimation globale des réserves que l’Etat Juif ne manque pas de susciter.
 
 
Cela  étant, peut être établie une vérité: la coopération économique entre Israël et l’Europe sacrifiant l’intérêt propre  européen  à des considérations politiques, palestiniennes en l’occurrence, le maintien de relations commerciales entre Israël et l’Europe en est réduit à une valeur symbolique qui ne peut être comparée au partenariat en train de s’établir entre Israël et les géants asiatiques que sont l’Inde et la Chine.
 
 
Ce partenariat ignore le ressentiment anti-Juif séculaire et n’est apprécié que sur l’avantage de l’import des avancées technologiques et scientifiques Israéliennes jugées objectivement par les partenaires asiatiques. Dans ces conditions, l’établissement des relations israélo asiatiques reste lourd de promesses. 
 
 
C’est dans ces considérations que s’établit une relation avantageuse pour les  signataires de  nombreux contrats où de l’armement sophistiqué à la recherche médicale en passant par les technologies agricoles d’avant garde,  la clairvoyance des partenaires asiatiques  sachant ne pas détourner la coopération économique de ses seuls attendus.
 
L’amitié, la sympathie et la vérité  faisant le reste, tout laisse à penser que la supercherie palestinienne s’imposera avec toute la conviction requise. 

 

 Oubliant l’enseignement de l’histoire l’Allemagne et l’Italie viennent de désigner  les tenants de leurs droites extrêmes  respectives  comme forces de gouvernement.

 

Hier l’Allemagne aujourd’hui l’Italie,  demain peut être la Pologne et la Hongrie,  tout se passe comme si le dernier conflit européen n’avait pas immunisé ces pays  contre le recours au radicalisme. Toute formation politique s’enorgueillit  de son histoire, de ses luttes, de ses succès. Mais l’histoire de l’extrême droite allemande ou italienne!  Le seul contenu de la question fait frissonner!

 

Ce qui interpelle au premier chef c’est le manque de pudeur que traduit ce résultat des urnes. En effet, on a souvent évoqué la mauvaise conscience des Allemands et des Italiens au rappel de ce pénible souvenir. Et bien, il aura suffi de quelques décennies pour balayer ces scrupules et ouvrir la porte « aux bêtes immondes »  

 

Car c’est bien de cet ultime danger dont il est ici question. Qu’on ne s’illusionne pas, le » péril  » migratoire n’est qu’une étape voire un prétexte pour hériter des rênes  Une fois habilités par le jeu démocratique à l’exercice du pouvoir, le diable abattra ses cartes devant les diablotins désabusés!]

 

Cartes de voeux pour Pourim

Il n’est pas nécessaire d’être disciple de Freud ou de Lacan pour conclure que se déguiser traduit une volonté de dissimulation, le désir de se cacher derrière une identité usurpée.

Mais pourquoi spécialement à Pourim, a-t-on l’habitude de se déguiser? Cette tendance à la dissimulation n’est-elle pas réelle les autres jours, tous les autres jours ? La mésestime de soi n’est-elle pas souvent accompagnée du désir de fuite, c’est-à-dire de la volonté de ne pas apparaître tel qu’on est ?

Alors que d’une manière générale, la dissimulation est prohibée, elle est permise, voire recommandée à Pourim.

C’est donc dans le rappel sur le sens de Pourim que, peut être, on y verra plus clair.

D’abord, on observera que dans cette histoire, Il y a un Grand Absent. Oui, D.ieu n’est pas mentionné une seule fois dans l’histoire d’Esther. Et pourtant, il est enseigné, à propos de Pourim : Ester, astir panaï : Je cacherai mon visage. Tout se passe comme si, dans ce récit, l’absence apparente ne s’identifiait pas à l’indifférence. De plus, les acteurs de l’histoire dissimulent mal le destin qui les porte, laissant croire à une liberté de manœuvre, comme s’ils étaient maîtres et artisans du cours de leur vie.

La Providence intervenant dans le destin des hommes est toujours déguisée. « Heureux, bienheureux, celui qui sait reconnaître un masque d’un vrai visage » Dès lors que cet enseignement est pris au sérieux, l’attention au monde est plus soutenue, accordant plus de considération à des incidents, mineurs en soi mais indicateurs de fatalités souvent inéluctables ou d’ouvertures inespérées.

Le Haham (le maître, l’érudit) est souvent désigné par l’expression « roé ète à nolad », celui qui comprend le sens des évènements. C’est-à-dire, le haham est celui qui a appris à démasquer, les hommes et les évènements. Car les étapes de l’histoire d’un homme ou de l’humanité sont souvent revêtues d’artifices.

Vous avez remarqué que votre attitude a tendance à être différente quand vous portez un déguisement. En vous masquant à Pourim ou en déguisant vos enfants, vous introduisez de manière subtile une mise en garde essentielle : tu n’es pas ce que tu parais.

Jouer avec les artifices compromet l’authenticité, altère la vérité. Pourtant à Pourim, on est invité à ressentir physiquement et directement à quel point, on peut se voiler la face, se masquer le visage et le corps, sans pour autant cesser d’être.

D’abord enseignement pour nous-mêmes, le déguisement nous invite aussi à la capacité de distinguer dans les évènements et les hommes, toute réalité, toute initiative de la Providence qui, comme à Pourim se dissimule. ESTER : je cacherai !

Il y a des présences qui ne sont jamais aussi lourdes que lorsque, précisément, elles donnent l’illusion de l’absence. Cette vérité est vraie pour le Maître du monde. Elle ne l’est pas moins pour certains êtres qui n’ont pas besoin de parler pour être porteurs de vérité.

Je ne résiste pas à l’envie de vous raconter une histoire hassidique. Un jeune talmudiste visite un grand maître pour l’interroger sur une question qui le préoccupe. Le serviteur du Maître dit à l’étudiant que le Maître prenait son repas et qu’il ne fallait pas l’interrompre.

Il l’invite donc à s’assoir face au Maître qui poursuivait son repas. L’étudiant regardait, fixait le vieux Rav, épiant chacun de ses gestes avec une concentration très soutenue. Puis le repas s’acheva. Le rav récita les bénédictions d’usage, toujours sous le regard pesant de l’étudiant. Puis il parla : « Que puis-je pour toi mon fils ? » L’étudiant se leva et balbutia, gêné :

« Rien, Rabbi, pardonne-moi. Rien !» Il sortit, se mit à courir et fit répandre la rumeur que le Rabbi faisait des miracles en…mangeant.

Il y a des actes qui, lorsqu’ils sont accomplis sans masque, sans artifice, sont porteurs d’une telle sérénité que celle-ci rejaillit sous forme d’apaisement chez tous ceux qui en sont témoins et ce qui était problème sous un masque ne l’est plus, si nous avons la chance et le mérite d’être… démasqués.

Vous avez, peut être observé que certains êtres ne sont apparus dans votre vie que pour vous révéler soit un aspect de vous même ou de la vie dont vous saviez l’existence mais dont n’imaginiez pas qu’il vous concernait. Parfois, ils reviennent à votre mémoire sous la forme d’un mot, mais ce mot qui a arraché votre masque a ouvert des cataractes d’eau vivifiantes.

Je vous souhaite, en cette veille de Pourim le Mazal (la chance) de rencontrer de nombreux arracheurs de masques et de vous persuader que, vous aussi, pouvez être briseurs de masques pour quelqu’un qui attend d’être persuadé qu’il « vaut bien plus que ce qu’il croit être. » Dans cette attente,

HAG SAMEAH

Un brillant étudiant d’une académie rabbinique présentait depuis quelques jours les symptômes connus et redoutés de l’ angoisse et de l’ inquiétude. Le jeune homme attribuait cette gêne aux difficultés croissantes rencontrées dans l’étude du Talmud. Il ne dormait plus; il ne mangeait presque plus. Il était devenu taciturne et triste, à un tel point, que son père, décisionnaire de renom, lui conseilla de consulter un célèbre maître, réputé efficace pour les maladie de l’âme. Ce maître habitait dans les environs. Et le jeune homme décida de le visiter.

Arrivé devant la porte d’entrée, le jeune homme hésita tant il redoutait le jugement du Maître. En effet, il redoutait « l’acuité » de son regard qui l’avait rendu célèbre et craignait de se voir reproché sa désinvolture qu’attisait un fort sentiment de culpabilité.

Accueilli par le serviteur du Maître, celui ci veillait à chasser les importuns et avait la « haute main » pour accorder ou refuser les demandes d’audience. C’est parce que le jeune étudiant fit état de sa filiation qu’il fut invité par le Maître à entrer et à patienter, le temps de terminer sa collation.

Le maître mangeait l’air grave et absorbé. Son regard était accroché au garçon qui avait, par devers lui, changé l’expression de son visage. Devenu figé dans son corps, il semblait que le temps de ce repas était une parcelle d’éternité apportant sa part de sérénité insoupçonnée.

Puis le Maître rompit ce silence qui devenait pressant. « Que puis je pour toi? » demanda t-il d’une voix douce. Brusquement, comme dégringolé dans la réalité, le jeune étudiant marmonna:  » Rien, merci, j’ai ma réponse, merci, merci pour tout » Il quitta précipitamment sa place et sortit de la maison dans une démarche précipitée quoique incertaine.

EXPLICATION:

Il y a des manières de faire qui suscitent la réflexion bien plus que la sollicitation directe de l’intelligence. La façon avec laquelle on mange. C’est à dire la manière avec laquelle on se construit en fait partie. L’interrogation du jeune étudiant portait sur une recherche d’exemplarité . Et le ce sur quoi portait sa préoccupation visait à un questionnement sur la Révélation. Mais son environnement lui interdisait l’audace de questionner sans préliminaires. Aussi, le repas du Maître s’inscrivait-il dans cette quiétude qui seule dispense apaisement et sérénité parce qu’elle implique l’être à ses racines!

 

J’ai eu la réputation d’être un voyant. Comme il va être démontré, le jugement est excessif voire erroné. Il ne s’agit que de la mise en pratique d’un « certain regard. » Sans plus.

Alors que je faisais le point avec une famille sur la scolarité de leur fils, la cloche retentit. Elle annonçait la fin du cours et les élèves se préparaient à recevoir le professeur suivant. La rotation des professeurs à cet instant est souvent génératrice de désordres éventuels, les élèves échappant à la présence contraignante de l’enseignant. D’une manière générale des élèves laissés sans surveillance reste une réalité lourde de dangers possibles.

Je perçus alors comme une rumeur sourde en provenance de l’étage où se trouvait la classe de 6èm que le professeur de biologie venait de quitter. Brusquement visité par « l’intuition » d’un danger immédiat, je fus arraché à ma chaise, balbutiai quelques mots d’excuse à l’endroit de la famille et bondissais vers l’escalier qui menait à l’étage.

Parvenu jusqu’à la classe, j’y découvris avec horreur qu’un gamin debout sur son pupitre passait de table en table sous le regard désormais inquiet de ses camarades. Ma présence ramena un silence immédiat et, après l’annonce d’une sanction sévère, l’incident fut clos.

Longtemps je fus confronté à la certitude qu’une intuition prémonitoire m’avait contraint à l’intervention. Puis la raison s’empara de l’affaire et celle-ci fut l’occasion d’une analyse fructueuse. C’est un « certain regard » qui m’arracha de ma chaise et rien d’autre !

La rumeur tout d’abord indiquait le désordre. Puis le sentiment d’une classe laissée sous pression par un professeur réputé autoritaire, l’âge des élèves et leur propension à l’agitation, bref, l’analyse rapide de la situation indiquait la probabilité de l’incident et commandait l’intervention sans délai.

Rien de prémonitoire dans tout cela même si l’analyse des faits peut y conduire. C’est manifestement l’effet d’un certain regard qui explique mon intervention. RIEN  D’AUTRE !

L’ANTISEMITISME DE L’ISLAM IGNORE L’EXTERMINATION  DE MASSE

 

.Quoique sans concession, l’antisémitisme pratiqué en terre d’Islam ne vise pas à l’universalité de l’extermination telle que la Shoah l’a initiée. Arbitraire et inique,  il est allé jusqu’à l’élimination de communautés entières,  sans toutefois prétendre à l’éradication   de la présence juive.

 

La Shoah,  telle que pratiquée par l’Allemagne national-socialiste avec ses complices Européens reste un phénomène unique, ne présentant aucune similitude avec d’autres péripéties à vocation  exterminatrices. Dans Mein Kampf, Adolph Hitler fait connaître son diabolique projet dont l’exubérance est telle qu’elle parut irréaliste. « Les Juifs doivent disparaître ou nous disparaitrons à leur place ! » Tel est le leitmotiv qui inspirera la doctrine nazie.

 

 

La haine du Juif est une donnée constante en terre d’Occident et les étapes la caractérisant s’étirèrent sur près de deux millénaires pour aboutir à l’univers concentrationnaire, couronne de « l’empire du mal » réservée à tout Juif, quelle que soit son origine ethnique ou nationale.

 

 

La « faute » du Juif est ici d’exister alors qu’en terre d’Islam est ignorée la culpabilité existentielle.   Le mensonge, par contre, façonnera la faute qui justifiera pogroms et exactions diverses.

 

L’aspect irrationnel du nazisme réside dans l’absence de motifs expliquant la Shoah. Par contre en Islam existe un résidu de conscience qui s’efforce de débusquer l’alibi, même si celui-ci est d’un tel excès qu’il exprime bien plus la falsification que la faute objective.

 

Le maintien de la vigilance à l’encontre de la résurgence de l’extrême droite traduit  l’impératif de survie !

 

 

 

L’insécurité publique est impliquée au premier chef. En effet, quelques jours après l’hommage rendu par le Président de la République aux victimes de « l’hyper cacher » un enfant de huit ans est roué de coups à Sarcelles et la police retient la connotation antisémite :  L’enfant portait une kippa !

 

Rouer de coups un enfant dans la rue, parce que Juif, cache mal le climat malsain d’insécurité  et l’impunité qui prévaut au regard des délinquants dans ce genre d’agression. Que le gouvernement soit réactif est manifeste. Qu’il conduise une politique préventive renvoie à un manquement conséquent. En effet, il y a lieu de déplorer l’absence d’initiatives pédagogiques qui s’imposaient dès la Libération  et qui auraient  permis de classer l’antisémitisme fléau national.

 

Les habitudes prises font qu’il est trop tard désormais pour envisager ce genre d’initiatives

 

En dépit de la volonté officielle, les conséquences punitives ne dissuadent pas les voyous   de s’y fourvoyer. Il restait cependant une opportunité à tenter. Si l’exécutif consentait à accorder la publicité nécessaire à l’arrestation d’un agresseur, l’antisémitisme apparaitrait avec toute l’exemplarité requise. Mais il est à craindre que là aussi il ne soit trop tard.

 

Quoi qu’il en soit les Juifs de France sont en danger et sonner le tocsin est une initiative de sécurité publique !

 

Sans tomber dans le piège de la caricature,  les incidents dénoncés ne s’inscrivent pas, du moins, pas encore, dans le cadre d’une radicalisation élitiste où il conviendrait d’impliquer des minorités extrémistes.

 

Non, il s’agit d’un antisémitisme pratiqué par des fractions communautaires issues de couches socio-économiques défavorisées à qui il importe de faire savoir que les manquements seront réprimés.

 

Cependant,  rien ne dispense de l’urgence d’agiter le tocsin !

 

Considérant que l’ébauche de ma réflexion sur l’Eglise Evangélique aux USA est insuffisante au regard de l’influence notoire de cette Eglise sur la politique extérieure américaine je reviens sur ce même thème en étoffant ma démonstration.

L’Eglise Evangélique rompt avec le p rincipe « Mon royaume n’est pas de ce monde, » cher à toutes les autres options caractérisant le Christianisme. Cette Eglise implique une volonté politicienne déterminée notamment dans une vision eschatologique de l’histoire.

Cette même vision insiste sur l’impérieuse nécessité d’aider l’Etat d’Israël jusqu’à partager sans réserve son accompagnement effectif dans une dimension inconditionnellement sioniste.

Pourquoi ?

Parce qu’estiment les adeptes de l’Eglise Evangélique, le Christ n’accomplira sa Parousie (retour en gloire) que dans la mesure où se ses « frères » auront récupéré leur terre. La conversion d’Israël est prévue dans cette vision de fin d’histoire.

D’où l’obligation de hâter cette venue en facilitant les mesures d’aide à Israël. Que penser de ce programme ? La conversion d’Israël reste un projet illusoire. Par contre l’aide effective apportée à Israël ,en bien des domaines est une réalité tangible que soutiennent les propos du vice Président US dans son discours à la Knesset.

L’Eglise Evangélique reste un modèle pour les autres Eglises 

L’Eglise Evangélique et la politique moyen-orientale des USA

Considérant que l’ébauche de ma réflexion sur l’Eglise Evangélique aux USA est insuffisante au regard de l’influence notoire de cette Eglise sur la politique extérieure américaine je reviens sur ce même thème en étoffant ma démonstration.

L’Eglise Evangélique rompt avec le p rincipe « Mon royaume n’est pas de ce monde, » cher à toutes les autres options caractérisant le Christianisme. Cette Eglise implique une volonté politicienne déterminée notamment dans une vision eschatologique de l’histoire.

Cette même vision insiste sur l’impérieuse nécessité d’aider l’Etat d’Israël jusqu’à partager sans réserve son accompagnement effectif dans une dimension inconditionnellement sioniste.

Pourquoi ?

Parce qu’estiment les adeptes de l’Eglise Evangélique, le Christ n’accomplira sa Parousie (retour en gloire) que dans la mesure où se ses « frères » auront récupéré leur terre. La conversion d’Israël est prévue dans cette vision de fin d’histoire.

D’où l’obligation de hâter cette venue en facilitant les mesures d’aide à Israël. Que penser de ce programme ? La conversion d’Israël reste un projet illusoire. Par contre l’aide effective apportée à Israël ,en bien des domaines est une réalité tangible que soutiennent les propos du vice Président US dans son discours à la Knesset.

L’Eglise Evangélique reste un modèle pour les autres Eglises 

 

 

C’est une dangereuse illusion de croire l’extrême droite néo-nazie disparue. La vie politique française a toujours été visitée par un radicalisme extrémiste solidement implanté.  Les sympathisants de Maurras  et  de l’Action Française ou les militants des Ligues correspondent à une réalité qui n’est que voilée. Il y a même naïveté à estimer son influence dissipée.

 

 

Depuis 1789   la France a connu la contre  Révolution, mouvement   puissant  d’inspiration radicale et royaliste.La révolte des Chouans en fut  l’illustration.       

 

 

Il est singulier d’observer que la mouvance pétainiste   qui a, rappelons le impliqué une fraction non négligeable de la population,  se  taise depuis la Libération. Est-ce à dire qu’elle n’est plus active ? Idem  pour La Cagoule, les Camelots du Roi. Ne serait-ce pas plutôt un changement radical de stratégie qu’une réalité nouvelle impose ?

 

 

En effet, depuis la fin de la seconde guerre mondiale et le démarrage de la décolonisation, nous assistons à l’émergence en Europe d’une mouvance menaçante  prévisible mais non prévue, l’islamisme !  Appréhendé comme une contestation de l’hégémonie Occidentale, celui-ci est un facteur non négligeable de la déstabilisation des sociétés Européennes. L’extrême droite ne prospérant que dans le désordre et la trouble il devenait salutaire de ne pas « en rajouter » et de laisser le terrorisme islamiste honorer sa mission d’agent de  la déliquescence  Européenne !

 

Ce n’est pas pour autant qu’il s’est sabordé !  Nous sommes confrontés à un repli stratégique. Et dès lors que la vague islamiste, élément hétéroclite de la vie  politique Européenne se sera estompée, les forces d’extrême droite referont surface.

 

Déjà, en Allemagne, en Autriche elles manifestent leur présence, comme pour redonner confiance à des sympathisants  désemparés. 

Que gagnerait Israël à « lâcher » l’Europe ?

 

De facto, c’est déjà fait, mais à l’initiative première de l’Europe ! Tout y passe, la reconnaissance de la Palestine, la critique systématique de l’orientation du gouvernement Israélien, la réprobation  sévère du transfert de l’ambassade US  à Jérusalem. Bref, l’Europe est dans le camp des opposants à Israël. Et pas un seul Etat n’exige le minimum qui créditerait l’Europe de l’authentique recherche de paix, à savoir la reconnaissance préalable de l’Etat d’Israël.

 

Dans ces conditions il est légitime de se demander quel est l’intérêt d’Israël à maintenir des liens privilégiés avec des pays dont   seul le souvenir  du passé amical est en mesure de justifier le maintien de ces  relations exceptionnelles 

 

Comme si ces témoignages de partialité ne suffisaient pas, voilà qu’on tente d’affaiblir le renom d’Israël et, par voie d’extension inévitable, l’apport essentiel  du Judaïsme à la civilisation en réduisant la contribution de celui-ci à la péripétie, voire à la caricature.

 

C’est ainsi qu’on émettra de sérieuses réserves sur la qualité morale de la société civile israélienne accusée de pratiquer une forme d’apartheid à l’encontre des Palestiniens. Ce tableau infâme serait incomplet si des flèches iniques n’étaient décochées sur le caractère juif de l’Etat d’Israël. Ainsi l’abattage rituel des bêtes de boucherie ou la circoncision seront dénoncés comme la survivance d’une barbarie sanguinaire.

 

Le « lâchage » de l’Europe permettrait pour l’essentiel à Israël d’initier des liens plus conséquents avec des partenaires puissants tels la Chine ou l’Inde,  dont tout laisse à prévoir que l’influence grandissante garantira un leadership renforcé.

« Nouveau Testament » appellation impropre, le testateur persistant à vivre et à… revivre !

 

 

Le texte fondateur de la « nouvelle alliance » s’inscrit dans l’effacement doctrinal   nécessaire du peuple Juif. La définition même de « testament » qu’il soit nouveau, ne modifie pas sa portée signifiante renvoie au questionnement : Qui est mort ? Le certificat de décès est unilatéralement délivré.

 

 

 La cohérence de cet éloignement, ne lui permettait pas d’escompter la survie. Promis à la mort que Pie XII confirmera dans l’Encyclique Mysticis corpori christi les Juifs assistaient résignés au pillage de la Loi  Guetté par une mort prochaine, annoncée comme inévitable, le peuple Juif se voyait dépossédé de ses  attributs identitaires  et assistait impuissant à l’ouverture d’une  succession que jamais il n’avait commanditée.  la nouvelle  alliance appelée à prendre le relai d’Israël désigne le corpus annonciateur d’une nouvelle espérance de l’expression révélatrice de « Nouveau Testament » !

 

 

Révélatrice elle oblige à la cohérence meurtrière la relation judaïque devenue testamentaire. Pourvoyeuse de haine la nouvelle spiritualité s’ingéniera à donner le « coup de pouce » indispensable quand la Nation Juive donnait des gages de survie. Le peuple Juif se voyant ravir, par devers  lui,  son Election au bénéfice de la Nouvelle  Alliance est placé dans l’obligation mortifère de cessation d’exister. Et si les forces vitales  deviennent    naissantes ou renaissantes le bras séculier de l’orthodoxie se chargera de rappeler Israël à la déchéance de son destin.

 

 

En désignant l’alliance mosaïque « d’ancien testament, » on contraignait les Juifs à clore leur histoire    et l’on ouvrait la porte aux querelles de détail alors que l’essentiel est ailleurs confondu dans l’appropriation brutale et sauvage d’une tradition jugée vacante par l’opiniâtreté à en défendre la permanence !

 

 

Le Christianisme a donné preuve de son génie par l’opportunité du « testament ». En effet, et, en dépit d’un usage manifestement abusif seule la notion de testament permettait de définir le mouvement de la validité vers l’adaptation, sans nier la permanence de sa portée à l’époque où la « succession » d’Israël n’était pas annoncée.  

La condition du dialogue israélo palestinien.

 

Après plus d’un demi-siècle de balbutiements stériles le bilan des relations israélo-palestiniennes est en deçà du point de départ et les personnalités de premier plan qui ont associé leur renom à l’aboutissement souhaité s’y sont fourvoyés.

 

Comme si la condition préalable, garante du processus en cours, loin d’être honorée, avait délibérément été écartée des préliminaires incontournables. En effet, imposer le dialogue entre les protagonistes, voire les belligérants se heurte à un vice de forme rédhibitoire dans la mesure où l’existence même d’un des interlocuteurs est niée.

 

Comment ne pas évoquer la similitude théologique de l’affrontement judéo-chrétien qui tente d’établir un dialogue éphémère et chimérique avec un peuple réfuté dans sa vocation élective. Rejeter les préalables, repousser les authentiques modalités d’ordonnancement, c’est refuser de  mettre en branle le processus  de validation du projet. C’est aussi faire preuve d’une naïveté affligeante en créditant le hasard d’une vertu de remplacement au mérite du politique.

 

Il y a quelque chose de péremptoire à exiger la reprise du dialogue entre Israéliens et Palestiniens sans réclamer préalablement l’efficience d’une reconnaissance, condition incontournable d’un dialogue responsable.    

 

Israël n’a rien à gagner à montrer de la faiblesse avec un interlocuteur qui manifeste de la véhémence à évoquer la liquidation de l’entité sioniste, conséquence fatale de la disqualification d’un adversaire dont le droit à l’existence suscite les plus vives réserves.

 Reconnaître Israël, c’est s’interdire les déviances regrettables de propos haineux. Cette raison seulement plaiderait en faveur de la reconnaissance !

De nature assimilationniste, dans sa relation avec les Juifs, parce que donnée importée, l’écologie, habituellement pratiquée, n’est pas seulement l’aveu d’une pensée et d’un comportement qui sacrifieraient l’authenticité aux catégories d’approche   idolâtres, mais  elle  est d’abord  l’affirmation que le droit de propriété que détient l’homme sur la terre,  ne connaît pas de limite. « Si Dieu n’est pas, tout est permis ! » Elle s’inscrit donc dans un processus de sauvegarde où l’homme respecterait l’écologie plus par crainte que par souci éthique.

De naissance récente, la préoccupation écologique s’inscrit dans l’inquiétude que ne manque pas de susciter le sentiment d’appropriation outrancière des « forces naturelles » aux seules fin d’enrichissement de l’homme. Celui-ci est  invité à prendre conscience que le souci de préservation du « cadre de vie, »  s’il détermine la survie de l’homme  est d’abord le témoignage que l’homme en est le garant,  bien plus qu’il en serait le maître.

De la « floraison des montagnes d’Israël » péripétie de l’ère messianique, à l’observance de nombreuses prudences   écologiques en temps de guerre,  la Loi ne cesse de rappeler que le cadre de vie mérite l’attention humaine car l’absence de considérations à ce sujet pourrait menacer la vie, voire la survie de l’homme.

La multiplicité des lois sur la terre agricole et la diversité requise sur les moyens de l’exploiter longtemps assimilée au « folklore » apparaissent aujourd’hui comme avant gardistes et dévoilent une réalité qui n’a pas fourni tous ses contenus.   

Le souci   traditionnellement juif dépasse le seul cadre écologique et légifère sur la relation entre le monde animal et l’homme faisant pénétrer la préoccupation écologique et morale jusqu’à interdire « d’atteler le bœuf avec l’âne » l’animal le plus faible étant pénalisé.  Il est utile de préciser que le « monde à venir » dépasse le seul cadre humain mais implique une relation apaisée avec le monde animal où le  « féroce » cohabite avec l’agneau. L’écologie juive implique le chalom,  vertu ajoutée qui complète le tableau par l’apaisement et la sérénité. Remarquons que la définition première de l’écologie reste, de surcroît,   une réalité peu usitée: « Science ayant pour objet les relations des êtres vivants, animaux végétaux microorganismes avec leur environnement ainsi qu’avec  les autres êtres vivants  (LAROUSSE

La décision récente du Président Trump de soustraire les USA à l’obligation de créditer les accords de Paris de la fidélité américaine révèle un égoïsme singulier ainsi qu’une certaine dangerosité   Quant à  l’amitié juive  soutenue, pour affirmée qu’elle  soit,     n’en reste pas moins limitée  par le seul bla-bla, toujours  en attente des preuves qui l’authentifieraient vraiment.

Une réflexion sur CHAVOUOT.

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Immédiatement après Pessah la Tradition impose de « compter le temps » qui sépare Pessah de Chavouot ; moment ultime où la Loi fut promulguée. Après Pessah, en effet, est avancée une période où l’homme est confronté  à l’épreuve du sens de la liberté offerte récemment par la  libération d’Egypte.   Si celle-ci est un acquis précieux, elle n’a de sens que, par rapport à l’usage qui en est fait. En soi, la liberté ne vaut que par rapport à ce qui la signifie, voire à ce qui la dépasse,   parce que dans la hiérarchie des objectifs prioritaires    l’homme  est bien plus préoccupé de donner un sens à sa vie que d’œuvrer pour une liberté concédée à la naissance sous forme d’un droit !

L’article I de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen  ne contredit pas ce point d’ancrage par lequel la Tradition Juive affirme que c’est la Providence qui a « libéré » d’Egypte. En effet, affirmant le préalable « Les hommes naissent libres et égaux en droit, » cette naissance imposée et  présentée comme acquise dès la naissance  fait silence sur le processus qui lui a donné le jour, laissant croire que la liberté est acquise gratuitement,  dès la naissance, alors qu’elle est reconquise chaque année à la célébration de Pessah.

Le partage de la liberté soutient, implicitement   que celle-ci est d’essence indéfinie ou divine parce que si l’homme aspire à son bénéfice il n’est pas capable de la définir et de désigner les moyens de la conquérir. L’article I de la Déclaration des Droits de l’homme est hymne de reconnaissance et de justification de la dette pascale !

Dans cette approche, les Juifs sont conscients de l’importance de l’étape libertaire mais ils ne sauraient s’en satisfaire sans déterminer les raisons de ce don.

La liberté, pourquoi faire ? « Le compte de l’Omer » répond à cette question qui formulée en catégorie existentielle pourrait se dire : « Qui donne sens à Pessah sinon la Loi ? »

Cette question impose qu’on saisisse l’inanité de la seule liberté qui ne prend son sens  qu’en « comptant le temps » (supputation de l’Omer) qui sépare du Don de la Loi par lequel la liberté prendra tout son sens. Heureux d’être libre, certes, mais à condition de savoir pour  quel usage !

La liberté sans la loi c’est la proclamation de l’Absurde. On ne célèbre pas le fait d’être libre, on célèbre « Pourquoi être libre ? » La différence du questionnement implique que l’on sait les enjeux ! Prendre en charge le compte qui sépare Pessah de Chavouot, c’est affirmer notre souci que la libération fêtée à Pessah n’a de  sens qu’à l’acceptation de la Loi.

Définir, par exemple,  après deux mille ans de civilisation par l’impératif de « liberté » l’idéal de la République n’est-ce pas confondre les préliminaires de l’idéal avec son corpus ?   Ou observer, qu’en Occident  les tâtonnements de la pensée sont  définis comme Ethique, alors  « qu’ailleurs » ils ne sont que préliminaires dépassés !

le salut vientÊtre Juif, c’est hériter de la « Noblesse du Monde ! »

 

La fréquentation d’Israéliens, qu’elle soit occasionnelle ou permanente confronte bien souvent à une donnée constante de l’âme juive : l’autocritique que d’aucuns poussent jusqu’à la limite du pathogène par l’auto dénigrement.

Il faut dire que les nations ne nous témoignent pas ces temps ci des marques d’estime ou d’intérêt qui nous renverraient une image de nous-mêmes susceptible de nous dissuader d’entretenir une opinion plutôt dévalorisante d’Israël et de ses œuvres.

Très récemment, le coup le plus dur est venu du saint-siège qui a franchi les limites de la décence en permettant à un sinistre personnage niant la Shoah d’avoir toutes les chances de trouver une place au « Paradis »…
Puis, la lettre du pape aux évêques est venue rappeler la validité de toute la période préconciliaire. A force d’être méprisés on ne peut empêcher les faibles de refouler la plus malsaine des interrogations : « Et si nous étions méprisables ? » Combattre ce questionnement pervers aux retombées dévastatrices figure parmi les priorités pédagogiques.

Puisque les autres n’entendent la voix d’Israël qu’au travers d’une haine qui remonte au Golgotha, que leurs critiques témoignent plus du ressentiment que de la volonté d’aider un ami, laissons de côté leur point de vue et appliquons, pour y voir clair la procédure de l’examen de conscience préconisée par Maïmonide : le vidouï : l’aveu. Et bien, ce vidouï, tourné et retourné nous oblige à reconnaître que nous avons d’excellentes raisons pour être…. fiers des œuvres de l’Etat d’Israël.

Ce pays a 60 ans, vous avez bien entendu ? Et il vit, mange ses produits, se soigne, (ainsi que ses concitoyens Arabes) souvent avec des médicaments made in Israël, ses chercheurs sont réputés, ses universités sont prestigieuses, il éduque ses enfants, il fait tourner ses usines, sa justice peut être saisie par tout un chacun, sa démocratie est si puissante qu’elle en devient parfois excessive, il se défend aussi, grâce à une armée qui prévient les populations de son intention de….bombarder les zones limitrophes etc…etc…

Qui n’y a pas séjourné depuis trois ou quatre ans est stupéfait des progrès réalisés en bien des domaines Je le redis, ce pays a 60 ans !

Ce qu’il est aujourd’hui, ce qu’il promet de devenir expliquent les raisons de cette haine pugnace à son égard : la JALOUSIE, combustible des haines durables menant souvent aux tragédies les plus sanglantes.

Les nations savent que ce qui se passe en Israël engage l’avenir du monde. Qu’on massacre ailleurs ne suscite pas de réaction (ou dans une telle « disproportion » qu’elle en devient insignifiante.) Mais qu’Israël se défende et les entrailles de la terre se confondent dans des rictus douloureux. Des Juifs qui se défendent c’est contraire à l’habitude, ce n’est pas dans l’ordre des choses…

Léon Askénazi (Manitou), que son souvenir nous éclaire, enseigne à propos de la vision d’Ezechiel relative à la résurrection des morts (chap 37) « le rassemblement des ossements desséchés puis, les nerfs et la chair qui les habiteront, ensuite la peau qui recouvrira les cadavres et enfin le souffle de vie qui viendra les animer ; » Manitou enseigne donc que notre époque correspond au temps qui réunit les ossements en permettant le rétablissement de la nation juive après deux mille ans d’exil. Ces ossements forment l’ébauche d’un corps ; ils sont la première étape de la résurrection d’Israël qui a commencé en 1948.

Alors quand nous vient la tentation de désespérer, considérons le chemin parcouru par ces « ossements » dont le frémissement de vie fait si peur aux nations qu’elle voudrait les voir encore disséminés dans les cimetières du monde ! Considérons qu’après deux mille ans de galouth nous ne pouvions pas retrouver Peuple, Terre, Unité et Esprit simultanément. Ouvrons les livres de l’histoire récente avec les yeux du Sage, de celui qu’on nomme roé ètt hanolad ; celui qui sait voir ce qui naît. En effet, tout se passe comme si notre époque était celle du cheminement des exilés vers le Retour.

Comme ils étaient plus forts que leurs bourreaux nos pères sortant des camps de la mort, plus forts que l’immense douleur, grâce au fol espoir de rebâtir la nation juive.

Et Ben Gourion n’était peut-être pas croyant ou religieux selon les critères empruntés au christianisme mais il l’était au regard d’un système qui rejette le Ciel pour patrie tout en acceptant sa référence tutélaire.

Car, ne l’oublions pas, notre vocation est historique, elle n’est pas céleste ! « Mon royaume n’est pas de ce monde » est un principe schismatique au regard de la Loi de Moïse. Dans ces conditions, les bavures, les dérapages font partie de l’histoire humaine. L’homme n’est pas que lumière…

Des chefs corrompus et dévoyés accompagnent nécessairement le cours de l’histoire, de cette histoire que nous devons assumer avec la volonté de l’unir à la morale et l’équité. Les fautes, les délits, les crimes ne disqualifient pas, pour autant, la Loi qui les condamne.

Les sociétés contemporaines de David ou de Salomon étaient loin d’être exemplaires…

Et c’est précisément parce que l’homme doit faire preuve de moralité dans des domaines que les nations jugent inconciliables avec la vertu que la vocation hébraïque est essentiellement historique. Il est certes plus commode de construire la « Jérusalem céleste » que de tenter de l’édifier ici-bas. C’est dans les tensions, les confrontations que se vérifie la capacité de l’homme à les surmonter. Pas dans la fuite ! Le messie que nous attendons rétablira le droit. Il n’en différera pas l’exercice pour un autre temps que le sien…

Le ghetto, le mellah ne sont pas constitutifs de la nation juive. Alors que monastères et couvents sont « la voie royale du salut ». Ils échappent aux contraintes et vicissitudes de l’histoire par vocation. Le Judaïsme ignore la division du clergé en deux groupes distincts. Le clergé séculier (secula, le siècle) qui vit parmi les fidèles et le clergé régulier (regula, selon la règle de St Benoît qui fixe la norme du comportement monastique)

On l’aura compris, une des raisons pour lesquelles les Juifs rejettent Jésus c’est que le christianisme propose un idéal de vie qui relève d’une conception de l’homme et du monde étrangers à la tradition d’Israël. Et pour retrouver nos sources, il faut en éliminer les éléments étrangers qui s’y sont introduits et que nous avons crus relever de notre patrimoine.

Alors, en dépit des difficultés dont la résolution fonde la grandeur et l’Election d’Israël, nous avons les meilleures raisons d’être fiers de ce qui se construit sur la terre d’Israël ! Et quand l’impatience risque de faire chavirer l’édifice, quand la mésestime prend le pas sur l’amour de soi, cessons de regarder tout ce qui reste à faire, étonnons nous de ce qui a été accompli en 60 ans et crions à la face du monde : « Qui a fait mieux ? » Alors et alors seulement face au silence du monde, montera des racines de notre mémoire cette exigence de pudeur qui accompagne toujours les authentiques victoires : la fierté ! Et, regardant ce peuple se battre en donnant des leçons au monde, on se dira avec l’accent de la complicité :

« ÊTRE ISRAELIEN : UN FIER STATUT ! »

Arnold Lagémi

Être  Palestinien (ou pro) » n’est qu’une opinion !     tsahal

 

Chaque siècle charrie son lot d’accusations mensongères envers Israël ! La règle est imparable. De peuple déicide au mondialisme de l’argent roi, et des banques, les Juifs, depuis leur décision de « rentrer chez eux » se voient  contestés dans l’une de leurs prérogatives fondamentales, à savoir le droit à la terre.  

 

Oubliant que le « Retour des Juifs » se fonde d’abord sur la Bible, le Livre des livres  et que viennent   ensuite les témoignages millénaires qui, de rabbi Akiva à Théodore Hertzl expliquent que,  sans l’appartenance Judéenne la « nation juive » est « vue de l’esprit » le mensonge poursuit sa route obligeant les Juifs à justifier d’un droit reconnu pourtant à tout peuple.

 

tsahalEn face, qu’y a-t-il pour justifier le droit et l’appartenance ?  Outre les vociférations haineuses qui témoignent bien plus de la défaite de la nation Arabe   que de la frustration d’une réalité nationale qui n’a jamais été,  un domaine sauvegardé plaide en faveur de l’illusion palestinienne : l’absence d’études et de prospections universitaires traitant du fondement ET DE LA JUSTIFICATION de « l’entité palestinienne »,alors que les thèses sur le sionisme sont pléthore !

On est surpris, en effet, par l’indigence  des travaux de recherches et de thèses consacrés à la Palestine.  Les prétentions Palestiniennes  ne sont étayées par aucune référence universitaire qui désignerait tel auteur  comme le chantre du nationalisme palestinien. La réalité palestinienne ne se fonde sur aucune justification historique parce qu’elle s’inscrit essentiellement comme une réaction au sionisme bien plus qu’elle serait partie prenante  dans une tradition historique.

 

Il est singulier, par ailleurs,  de prendre acte de l’absence d’implication historique qui s’appuierait    sur les étapes d’un processus national ayant donné naissance au « concept palestinien ». Et, le mutisme voire l’inexistence de thèses universitaires à ce sujet est lourd d’attendus incontournables : Il n’y a pas de tradition historique qui viendrait soutenir une idéologie absente des bibliothèques universitaires !

 

  Le monde de la recherche ignore le thème  «  Palestine historique ! » Alors que le plaidoyer sioniste reste une thèse  conjuguant les arguments de toutes sortes à la justification du « Retour des Juifs »

 

Et cette ignorance est une des subtilités par lesquelles l’antisémitisme ne semble pas interpeler les intellectuels du temps.

 

Ignorée de l’Université, inconnue des thèmes de recherche historique, la Palestine  est, par contre,    admise et reconnue   par le mythe, l’illusion et le mensonge !

         complot juifMondialisme, banques et nouvel ordre mondial, le « complot Juif » refait surface !

La différence entre la propagande de Vichy et celle qui sévit aujourd’hui c’est que « Je suis partout », «  Gringoire » et autres suppôts de l’infâme n’hésitaient pas à désigner le Juif comme propagateur de la subversion, missionnée  pour saper les fondements de la civilisation Occidentale.  Désignation que les défenseurs contemporains de l’Occident ne mènent pas à son terme   au motif exclusif de la « trouille pénale. »

 Or, le contenu des « accusations  souvent anonymes » sont identiques à celles proférées par les amis de Brasillach ou de Drieu. Elles gravitent autour du pouvoir de l’argent, des banques et visent à instaurer le nouvel ordre mondial que certains propagandistes visibles et audibles sur « YOU TUBE » n’hésitent pas à discerner autour d’un axe Jérusalem/ New York/ et Paris !

La thèse du complot d’origine juive   est précisément renforcée par l’occultation volontaire des renseignements identitaires et  lorsqu’on découvrira dans ce réquisitoire, anonyme par crainte du procès et suggestif par les références à la Collaboration,   que le recours à la mention de Jérusalem comme capitale projetée du « Nouvel Ordre Mondial » s’accompagne d’une réprobation du sionisme comme donnée incontournable  l’ambition juive on sera fondé à adopter le point de vue de Nietzsche estimant que les antisémites sont des dégénérés !

En effet, l’acharnement par lequel l’UNESCO et consorts tentent d’accréditer la supercherie selon laquelle Jérusalem n’est pas juive, loin d’être gratuit, s’inscrirait dans la cohérence de « l’axe du mal ».  Il   n’est pas, non plus,  étranger à la volonté de désigner  Jérusalem ès qualité de capitale du Nouvel ordre Mondial. Effectivement, nier l’histoire avec une telle insolence ne peut être que la signature d’esprits dégénérés !

Il faut cesser d’offrir des opportunités à la terreur !

 

Si c’est la guerre, et ça le serait à moins, les populations civiles doivent en tirer les conséquences et accepter de ne pas offrir les occasions aux terroristes d’exercer leurs « talents » de propagateurs d’actes   de sauvagerie.

 

En effet, appréhender la réalité tragique en la désignant comme une guerre déclarée et inévitable contre le terrorisme et, dans le même temps, autoriser un concert public pour lequel sera affirmée l’impossibilité d’empêcher le risque d’attentat a quelque chose d’irresponsable.

 

Soutenir que le terrorisme ne saurait empêcher la volonté de vivre et de se distraire sonne mal au regard des conséquences entraînées par cette manière de voir. Ce serait ramener à une vision commune les tenants de l’Ordre Barbare et les mandataires de la démocratie. Les « pays libres » sont en danger et ne peuvent se comporter comme si la « mesure du pire » ne permettait  pas une réponse appropriée au risques circonscrits.

 

Les barbares privilégiant le mode opératoire où la multitude est recherchée, une des premières décisions sera  de soumettre à l’avis sans appel d’un comité de spécialistes toute réunion festive ou autre.  Le nombre devenant risque  pourrait constituer un motif de refus.  Si les conditions de prévention de tout risque sécuritaire ne peuvent être réunies, la réunion sera interdite.

 

C’est à cette condition, et seulement à celle-là,  que « parler de guerre » sera vidé de toute connotation démagogique.

Si l’on croyait en avoir fini avec le prosélytisme Chrétien, celui-ci n’a pas renoncé à l’outrecuidance de « relancer » les Juifs chez eux. A Kfar Saba des « commandos » de la secte interpellent des résidents en les « pressant » de se « réveiller » et d’ « ouvrir les yeux » sur le prochain retour en gloire du Christ, tel qu’il serait annoncé par les prophètes d’Israël ! On savait  l’audace des missionnaires redoutable par la cible de choix que représente la vulnérabilité de certaines populations. On ne la soupçonnait pas insolente au point de cibler des   individus des couches aisées où le « niveau » permettrait  des disputes souvent virulentes.

Autant les arguments avancés pour les premières cibles désignées plus haut permettent le recours à la comparaison théologique de textes, technique  exigeant  la pratique et la connaissance de ces mêmes textes, ce qui n’est pas le cas, pour les personnes concernées,  autant pour des populations pouvant répondre le recours à des techniques psychologiques éprouvées sera mis en œuvre, par exemple à Kfar Saba. On évitera alors la confrontation des arguments religieux et l’on se limitera à « l’émotif » par la présentation de données factuelles  où la globalisation permettra, du moins l’espère t-on,   d’éviter la « disputation » religieuse à l’issue incertaine.

Le recul de la pratique religieuse, par exemple, sera présenté comme donnée sociologique régressive sur laquelle on escompte la convergence. A partir de ce consensus il sera plus aisé de fournir  des constats culturels négatifs où les missionnaires s’efforceront d’établir,  non le recul de la pratique religieuse mais l’éloignement de la morale, donnée à portée laïque susceptible d’emporter l’adhésion des couches aisées et cultivées.

Une fois de plus, la réponse circonstanciée est entre les mains des rabbins qui seraient bien inspirés à faire savoir que quiconque est interpelé par les prosélytes doit recourir à des spécialistes, rompus aux techniques séculaires de la conversion.  Un numéro de téléphone qui serait affiché dans les résidences traduirait la volonté de ne pas permettre l’insolence d’être « relancé » par une idéologie de faux prophète  bien connue ici car venue d’Israël et définitivement réprouvée.

 

La  vertu qu’il faudra mettre à l’actif du général de Gaulle aura été, en l’occurrence,  de refuser de se laisser enfermer dans la désignation réductrice « d’homme de droite ou de gauche ! »  En référence à la position qu’occupaient à la Convention ceux qui étaient favorables à un progressisme à outrance et ceux qui étaient partisans du maintien de certains privilèges cette réalité n’est plus.

 

Par ailleurs, l’appellation de « droite » ou « gauche » reste tributaire d’une classification aux contours péjoratifs qui excluent par l’aveu même de la réalité identitaire une fraction non négligeable des composantes de la Nation.

 

La dénomination de « droite » ou « gauche » officialise un penchant arbitraire à la division en blocs de la réalité nationale et nul ne peut s’en prévaloir sans accuser une déviance rétrograde qui conduisit des années 60 à nos jours à renoncer, à l’exemple de « l’homme du 18 Juin, à leur emploi.

 

Les querelles intestines qui divisent actuellement la scène  politique française illustrent la nature du problème en révélant que la source de la difficulté est moins la contradiction entre Président de droite ou gauche que la refonte nécessaire de l’arsenal d’identification.

 

L’initiative du Président de la République aura permis cependant de faire apparaître l’absence de forteresses idéologiques au bénéfice de la « droite » ou de la « gauche » et de confondre les tenants du maintien d’appellations obsolètes dans une même désignation où l’unité indispensable récuse des identifications artificielles. Le « génie présidentiel » est là, rien que là !

UN SECRETARIAT D’ÉTAT CONTRE L’ANTISÉMITISME.
Au moment où les instances en charge de la nouvelle politique de la France se préoccupent de diviser les missions de l’Exécutif républicain, en autant de ministères et de secrétariats d’Etat que nécessaire il serait salutaire et équitable de consacrer à la lutte contre l’antisémitisme l’effort que la France n’a jamais pu opérer, notamment par la « mise en marche » d’une pédagogie d’avant garde qui désignerait l’antisémitisme comme péril national. Dans cet esprit, un secrétariat d’Etat contre l’antisémitisme marquerait la volonté de rupture avec le laisser faire qui ne peut qu’opposer au « réveil de la bête » une indifférence coupable et une complaisance de mauvais aloi

Les sources irrationnelles du pouvoir : Le droit de grâce.

 

Comme c’était la tradition à l’époque où le roi inaugurait  son règne  (après avoir été consacré en la cathédrale de Reims,)  par l’exercice de grâces, distribuées selon sa seule appréciation,   le Chef de l’Etat nouvellement élu devrait procéder à l’exercice du droit de Grâce, à l’occasion de la Fête nationale, moment privilégié et consacré par l’usage à l’exercice de cette prérogative, résidu du droit régalien.

 

Outre les modalités pratiques par lesquelles ce droit s’exerce il est intéressant d’observer un principe établi qui « extrait » le demandeur de la Grâce royale,  des règles de droit et de justice en le soumettant à la décision présidentielle. Par l’article 17 de la Constitution, stipulant que le Président de la république n’a pas à motiver sa décision,   nous sommes en effet,  renvoyés à une règle fondamentale et royale qui ne fournissait d’autre motif à l’embastillement de quiconque que, « parce que tel était « le bon plaisir du souverain ». Et c’est,  selon cette même règle que le « plaisir » du roi inspirait la motivation de la Grâce royale.

 

Le droit de Grâce, véritable incursion d’une  donnée irrationnelles dans un  processus qui devrait, par principe s’en affranchir est la manifestation persistante que le Président de la République n’est pas seulement détenteur  de l’autorité politique conférée par le peuple. Il est aussi dépositaire d’un pouvoir de type monarchique qui a sa source dans l’aveu que les rois sont les rois, ils font ce qu’il leur plaît ! »

 

 

jerusalem

Jérusalem est Juive, n’en déplaise à l’UNESCO !

Il faut éviter le piège « d’ouvrir débat » sur la nouvelle résolution de l’UNESCO sur Jérusalem !

 

Considérant la régression que serait un nouveau débat sur la validité de  la souveraineté juive sur Jérusalem,  gardons-nous de débattre à ce sujet en faisant le jeu de l’antisionisme le plus rétrograde.

 

Le droit des Juifs sur Jérusalem n’a plus à être démontré. Il s’agit   d’une donnée d’évidence liée à  un droit reconnu d’abord et essentiellement par la culture universelle . Se soustraire à cette donnée immédiate de la conscience historique  serait accepter de discuter  d’un  droit que les Nations font semblant de méconnaître !

 

Dans son Encyclique «  Mysticis corpori Christi » Pie XII soutient que lorsque Jésus périt sur la Croix, le « voile du temple se déchira ». S’il ne s’agissait pas du temple des Juifs, peut être concernait-il le sanctuaire du Ridicule dans  lequel les antisémites de tous les temps sacrifient la vérité à la « haine du Juif ! »

 

Non !  Il n’y aura pas de débat sur le caractère  éternellement Judéen de Jérusalem !

La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Un grand absent : le Juif ès qualité de spolié de la Nation Juive et privé de ses droits historiques depuis l’an 70 !

Cette Déclaration solennelle inaugure l’entrée au coude à coude du Français et du Juif dans la « Cour des Droits » Moment ultime qualifié de « moment messianique » par Manitou.

 Et, en effet, cette perception qu’il fallait associer au Renouveau de la nation Française les  Juifs par la reconnaissance citoyenne s’inscrit dans le mouvement émancipateur qui couronne la Révolution Française des lauriers de la grandeur universelle.

Une ombre cependant !  Cette Déclaration concerne des hommes ayant même origine et confondus dans une même identité. Le texte consacré s’applique à légiférer sur les droits reconnus à chaque homme. Et de la liberté de penser à la liberté religieuse tout concourt à garantir l’exercice de ces droits.

Viennent des précisions embarrassantes à propos de la propriété notamment !

Art 17 : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige évidemment et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. »

 

Le rédacteur de cette Déclaration démontre qu’il a manqué du talent réparateur qu’imposait sa volonté de restaurer la Justice. Il s’agit là d’une étape seconde alors que l’initiative première devait être la restitution de la Judée dont les Juifs furent spoliés.  

 

Les Juifs avaient certes  à gagner de cette reconnaissance citoyenne et si son bénéfice éloignait définitivement toute perspective de Retour à Sion, l’état de désolation où ils croupissaient depuis des siècles enjoignait d’y souscrire sans réserve.

Le législateur savait-il  que le prix à payer pour cette reconnaissance citoyenne sacrifiait toute perspective de rétablissement de la nation Juive ? Ou l’a-t-il envisagé sciemment et estimé que la reconnaissance citoyenne garantissait du Renouveau historique Juif?

 

DUPLICATION INTERDITE à www.juif.org et www.europe israël

 

 

     Extrait de : « Les causes inavouables de la haine des Juifs en chrétienté » par Arnold Lagémi. »           A paraître prochainement.

 

 

L’identité Occidentale est inséparable de la « haine du Juif ! » Les circonstances qui la firent naître échappent au caractère  religieux des faits circonscrits.  Essentiellement « émotive » pour être transmissible,  cette haine     se dotera du formidable pouvoir d’adaptation à des cultures diverses,  voire   agnostiques. Elle trouve son  origine    dans la crucifixion de Jésus,     traumatisme majeur  et  dévastateur de l’identité Occidentale.   La constante historique par laquelle elle se manifeste,  quels que soient les principes et les attendus de la culture dominante,  est la démonstration de la permanence du mal antisémite!  Cette profonde aversion  reste donnée patrimoniale, transmissible par atavisme et changeante par nécessité.  Elle peut revêtir selon les époques et les circonstances un caractère religieux ou laïque,  celui-ci subtilement libéré  de l’hypothèque théologique des origines.

 

Bien qu’il est établi que les Juifs ne sont pas « partie prenante » dans la mise à mort de Jésus et que  les arguments en renfort de cette thèse sont nombreux, je n’en citerai toutefois qu’un seul   :  la crucifixion n’est  pas un supplice Judéen mais une pratique romaine. Le Golgotha est un fait désignant exclusivement  Rome ès qualité de puissance occupante.   Il n’en demeure pas moins qu’on  ne peut effacer les Juifs de toute implication     dans la passion du Christ sans bousculer la volonté de cohérence théologique de la filiation nécessaire avec la Tradition d’Israël !

 

L’accusation de « peuple déicide » ayant constitué durant des siècles le principal argument de l’antisémitisme chrétien  (ou antijudaïsme) il importe d’en cerner  les contours essentiels  et,    notamment les résonances psychologiques désastreuses  afin de bien comprendre que la « haine du Golgotha »dépassera le  contexte qui l’a généré en s’inscrivant dans une blessure de la conscience affective, seule atteinte susceptible d’échapper au déterminisme historique.

 

Le Golgotha inaugure la légitimité (au regard de ses pourvoyeurs) des pulsions meurtrières manifestées envers les Juifs. C’est en ce sens  que les répercussions psychologiques sont calamiteuses.

 

 

Rendre les Juifs acteurs  de la crucifixion justifiera  les voies de fait à leur encontre dans des cultures qui, même éloignées de la morale évangélique n’en restent pas moins attachées à leur patrimoine. 

La « mise à mort » de Jésus n’est pas appréhendée par la Nouvelle Alliance (pour des raisons stratégiques et tactiques) sous le biais de la « conscience objective ou contemplative » mais essentiellement perçue sous l’angle critique  de la réaction au  ravage psychologique causé par la crucifixion et sa dévalorisation inhérente.

 

L’Evangile selon Mathieu désigne les Juifs en commanditaires de la mise à  mort de Jésus. Et Vatican II n’hésite pas à proclamer que les Juifs sont innocents de ce crime. Cette innocence reconnue bien tardivement     malmène cependant  jusqu’àCRUCIFIXION  rendre incohérents  les fondements même de l’Eglise dans sa relation avec Israël    L’interprétation du chapitre 53 d’Isaïe évoque « le messager souffrant ». Cette notion   va loin, très loin !     Elle sous tend la punition d’Israël : « Que son sang retombe sur nos têtes. »

 

L’accusation de peuple déicide oblige à intégrer   des données vengeresses dans la transmission patrimoniale.

                                       

     Dotée  d’une capacité sans égal aux adaptations historiques,   si tant est que cette réalité ait un précédent similaire, ce qui n’est pas sûr,   cette résurgence  puise sa vigueur renaissante dans le traumatisme apocalyptique qu’a été la mise à mort du « sauveur ».     Elle impose d’être appréhendée sur les désastres individuels  causées chez le Chrétien  par « l’exécution de Dieu. » Délibérément ignorées par l’Eglise, pour des motifs évoqués plus avant, ses conséquences s’imposent cependant par le caractère permanent  de leur renaissance.

  Cette donnée reconnue sinon admise, imprègne la conscience d’un fardeau qui, prenant des allures novatrices  donne illusion qu’il  apparaît, de façon originale,  alors qu’il    se réduit, en vérité,  à une renaissance incessante!  Vouloir isoler toute forme   d’antisémitisme  de l’environnement patrimonial qui l’a suscité, c’est tenter d’accréditer l’erreur mensongère et diffamatoire  selon laquelle le « mal judaïque » renaît nécessairement.

 Le prétendre c’est occulter   la spécificité atavique  du mal qui  n’a  pu être éradiqué par toutes les mutations de société dont la Révolution Française. La « haine du Juif » atteint l’Occident dans ses fondements les plus intimes y retrouvant l’humiliation qu’a été l’adoration du sauveur dont l’image est altérée par la faute des Juifs. Reconnaître en Jésus le Rédempteur c’est accepter un Messie loqueteux sur lequel on peut frapper.    Il  était   impératif de délivrer  un argument libéré des contingences de la conjoncture, un motif intemporel en quelque sorte.

 Il fallait atteindre « l’identification » à Jésus et celui-ci fait « homme » ouvre la  possibilité  quasi illimitée de la soumission aux aléas de la condition humaine. La messianité contestée est une donnée conjoncturelle qui soumet au débat contradictoire. La crucifixion est la foudre qui s’éloigne de « la dispute théologique » pour rejoindre l’émotion intemporelle. Elle touche     la conscience d’une atteinte de nature émotive seule  susceptible d’être offerte aux générations suivantes.

Dieu fait homme ! Le Chrétien, en s’identifiant au sauveur est appelé à partager l’idéal fait homme !  La « mort de Dieu » va permettre à l’homme de la Nouvelle Alliance d’offrir le Juif en sacrifice expiatoire, seul châtiment recevable à l’assassinat de dieu !  

« Dieu  frappé, battu, humilié transporte le Juif  vers le gouffre de l’identité meurtrière. Et quand surgira l’humanité des positivistes, l’identification au sauveur sera remplacée par la compassion envers le « messie souffrant. . Dieu devient objet de pitié,  là est le signe patent du « génie du Christianisme »

Cette compassion permettra  la sauvegarde d’un atavisme identitaire qui saura s’adapter à tous les changements. L’anti judaïsme s’éteindra et deviendra  antisémitisme ou antisionisme.  En dépit de la présentation  de   la « mort du sauveur » comme  consécutive aux pêchés de l’homme, celle-ci est d’abord l’aveu d’un malaise annonçant la vengeance inquisitoriale.

Il était nécessaire que les Juifs se rendissent coupables d’une faute gravissime telle « l’Assassinat de  Dieu » et  dépassant ainsi la limite du   tolérable  pour justifier d’un antisémitisme à outrance. Cette faute irrémissible occupe une place centrale dans les griefs séculaires  contre le Judaïsme, bien plus que les données théologiques. L’essentiel du rapport judéo-chrétien a reposé des siècles durant sur les conséquences de l’exaltation Chrétienne de faire  payer les Juiveries pour avoir osé ! 

CE TEXTE EST INTERDIT DE REPRODCTION A www.juif.org et www.europ israël.com

La guerre!

Oui, la guerre est à nos portes !  Elle devrait requérir nos forces vives car elle est prévisible et se prépare. Au lieu de quoi les  candidats à la magistrature suprême  la relèguent à un contenu qui s’identifie plus à l’option qu’à l’inévitable obligation.  Car, ne nous y trompons pas, le futur Chef de l’Etat sera Chef de Guerre ou ne sera pas !
Et la  toute prochaine consultation électorale opposera l’inexpérience au pragmatisme ! Se rappeler maintenant que la lutte contre le terrorisme est la priorité absolue, observer bien tardivement que cet enjeu vital est oublié, éloigne tous les apprentis sorciers de la magistrature suprême à l’exception notable de François Fillon, seul candidat à inclure son éradication dans son programme de gouvernement, tout comme la volonté de garantir la sécurité d’Israël et le combat répété contre l’antisémitisme ! Outre la courte vue qui ne permet pas de distinguer que seul Fillon dispose d’une majorité parlementaire sans laquelle « gouverner » n’est que vue de l’esprit, le bon sens le désigne comme « Chef Suprême des Armées » Quant aux « affaires » le Président de la République n’a pas vocation à être le disciple d’une morale bigote mais à être le Chef d’une France dont il a su démontrer qu’elle ne cédait pas aux pressions. Révélé dans l’adversité François Fillon est le seul à s’identifier au pays et à mériter d’en être le Chef pour un mandat dont la GUERRE sera l’ultime ornement !

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François FILLON S’ADRESSE AUX Français D’ISRAËL.

http://www.lemondejuif.info/…/video-fillon-aux-franca

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LA GRANDEUR D’UN PAYS !

La grandeur d’un pays, c’est d’abord l’idée qu’on s’en fait mais c’est SURTOUT la dimension personnelle des hommes et des femmes en charge de désigner leurs chefs. Or, personne n’a songé à requérir des candidats Présidents l’obligation de composer un gouvernement d’Union Nationale en vue de faire face à la prévisible guerre ! Il est vrai que sanctionner les costards de Fillon est prioritaire! Quand la France est grande, ça se sait,  mais quand elle est pitoyable ça se proclame! Et le temps est aux Proclamations !

SOUS RÉSERVE DE VÉRIFICATION.

L’auteur de l’attentat aux Champs Elysées avait été condamné en 2005 à 15 ans d’emprisonnement pour tentative d’homicide sur un policier! Fait particulièrement grave qui impose de savoir pourquoi il était en liberté hier encore et pour quelle raison, le crime perpétré ET JUGE n’a pas entraîné son bannissement?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ONU bloquée dans son impuissance chronique à corriger les excès de sauvagerie syriens n’empêche pas le Président US de prendre seul les devants. Il vient de frapper la Syrie d’une cinquantaine de missiles Tomahawk et « rase » la base d’où s’est envolée l’escadrille qui a atteint les populations civiles syriennes par des projectiles chimiques  dévastateurs.

 

Il confirme ainsi qu’il n’existe pas, entre lui et Poutine  de liens privilégiés. Les USA restent « maîtres du jeu » sans devoir en référer à quiconque.

 

Cela confère au débat sur l’élection du Président de la République un arrière-goût suranné et obsolète. En effet, les priorités absolues sont complètement occultées et négligées, comme la prévisibilité d’une guerre à outrance contre le terrorisme dans laquelle la France sera obligatoirement impliquée.  La politique étrangère obligeait à une prise en compte prioritaire, de ces éléments incontournables parce que l’enjeu est vital !

 

Le débat présidentiel tourne à la confrontation franco-française alors que le danger de mort est d’abord dans nos rues. Oubliée la sauvagerie du Bataclan ?   Oubliée la voiture  bélier de Nice ? Oublié l’attentat d’Orly ? Oublié le Carrousel du Louvre ? Oublié l’hyper casher ? Oubliée la condamnation à mort de la France ?

 

 Qui peut garantir que, sorti de chez lui, il y retournera sain et sauf ?  Et le pays se confond en pâmoison à l’évocation de « l’immunité ouvrière » !  Foutaises coupables pour une opinion publique qui n’apprend plus à repérer les « dangers de mort ! » parmi les amuses gueule pitoyables qu’on lui présente quand on ne veut pas voir que l’heure est à la « mobilisation générale » parce que la « Patrie est en danger ! »

  Cette omission gravissime  confirme que les  plus vives inquiétudes sont légitimes devant des débats d’autruches qui, pour  ne pas prendre en charge ces impératifs n’enlèvent rien à la probabilité de leur survenue.  Gouverner c’est prévoir, et le refus de la lucidité obligera, une fois de plus à subir !

terrorisme                      Tout d’abord on est frappé par la naissance en Europe de la terreur islamique que l’alignement des Etats Européens sur la question Palestinienne ne laissait ni redouter ni entrevoir. Et pourtant, celui-ci a pris ses quartiers avec une telle détermination qu’y réfléchir, ne serait ce qu’un court instant permettrait, peut-être,  d’entrevoir la raison qui a permis son émergence.

 

Il semblerait que cette volonté de « porter préjudice » s’explique d’abord par le désir de conquête qu’une certaine facilité d’émigration a  réveillé et encouragé. Par ailleurs, le choix des principales puissances Européennes comme cibles, avec le classement de la France en première position s’entend comme une hiérachie comunément admise par laquelle, victime de sa notoriété et de son histoire, la France  est présente dans la mémoire des peuples comme figure emblématique à vocation fédérale et donc entraînante pour les autres. L’impact du gaullisme dans l’anti sionisme est révélateur à cet égard.

 

Conquête balbutiante relayée ensuite par la volonté religieuse de conversion.

 

Jérusalem, Tel Aviv, Paris, Bruxelles ou Berlin, tout terroriste lors de son passage à l’acte prend Dieu à témoin et proclamera : Allah hou Akbar ! » Singulier n’est-ce pas ?  Cette référence à la transcendance confondant Paris et Tel Aviv projette l’acte de terreur perpétré comme   marque d’une irrépressible convergence de conviction.  Par ailleurs, les victimes Israéliennes et Européennes sont désignées  ès qualité de membres d’une entité coupable à leurs yeux et non comme personnes responsables d’une faute ou d’un crime ! Chaque Juif est donc impliqué tout comme l’implication de tout Européen est avérée.

 intifada   L’Intifada,  Europe incluse, est la stratégie conquérante de la Nation Arabe ! Israël et le monde libre ont le même ennemi ! Hommes libres, si vous existez encore,  l’heure du réveil sonne !

 

 

Abattre les mécréants en Occident et « jeter à la mer » les sionistes confirment que  l’Intifada, tous fronts confondus, reste la  stratégie d’attaque  préférée  de la Nation Arabe ! On s’est souvent trompé,  souffrant de  mal voyance chronique sur les  intentions réelles de la Nation Arabe et de ses pièges inhérents. On a cru en la  reconnaissance du privilège immérité de l’amitié prodiguée. On a cru que la Nation Arabe  se dispenserait d’être ingrate envers l’Occident bienfaiteur. C’était là se méprendre gravement.  Car, selon le mot fameux de Churchill, outre la guerre inévitable parce que prévisible et  dont on se croyait immunisé   le déshonneur viendra couronner une naïveté coupable.

Tout se passe comme si le même coefficient d’irrationnel situait  à la même place Occident et Israël, tous deux inspirant la même hostilité et frappés avec la même sauvagerie. La  grande erreur de l’Occident est de croire que la nationalisme Arabe a une réalité !  Il n’y a pas des nationalismes   Arabes mais il y a la Nation Arabe ! Le « chancre sioniste » doit être éradiqué tout comme le « cancer Occidental » Et ne pas comprendre que le terrorisme de tel ou tel Etat est chimère parce que la Nation exclut la différence est une illusion qui commence à coûter cher ! De facto, l’Europe et Israël ont le même ennemi, il est grand temps de l’admettre !

Que le terrorisme soit l’expression de la volonté délibérée d’un Etat,  ou qu’il reste  la volonté d’un seul homme    ne change rien à l’appréciation finale, si ce n’est que la motivation individuelle échappant à la structure du groupe,  est aveugle dans sa tactique et limitée dans sa portée.   Les objectifs stratégiques guidés par la seule opportunité échappent à toute prospective  L’instruction de DAECH par laquelle, les combattants se dispenseront de rejoindre le terrain d’opérations mais agiront SUR PLACE avec les moyens dont ils disposent LAISSE  CHAQUE TERRORISTE habité par une vocation de kamikaze.

La volonté « d’abattre les mécréants » oblige à investiguer sur les motifs de belligérance. L’Occident est présenté comme objet d’aversion qui ne parviendra à éviter sa chute que par la conversion salvatrice. La Charia d’amplitude planétaire risque de devenir la Charte universelle  du Nouvel ordre mondial.

 

L’élection à la magistrature suprême en France est révélatrice de cette passivité et de cette insouciance face aux dangers,   dans la mesure où les candidats présentent leurs programmes dans l’ignorance des priorités ultimes.

 

HOMMES LIBRES,  REVEILLEZ VOUS !

reine
 
 
 
La reine sera représentée, en effet, à l’anniversaire de la Déclaration Balfour en Israël
Du point de vue du Droit International, mais surtout de la morale, la légitimité du sionisme et son aboutissement par la création de l’Etat d’Israël posaient question par le silence entretenu par la couronne britannique à ce sujet. C’est la Reine qui est garante de l’intégrité du royaume, et quand bien même elle ne dispose que d’un pouvoir exécutif limité c’est sa signature qui lève toute ambiguïté sur la légitimité de l’Etat Juif. Mais, comme pour tout le reste, il semblerait que la force du destin oblige à ces voies de traverse que rien ne laissait prévoir!
 
Cette initiative faisait défaut. Toutes les démarches pro-sionistes ne valent pas approbation royale. La reine n’ignorant pas que le futur souverain de Grande Bretagne sera Juif par sa mère, puisque Kate Middleton l’épouse du Prince William est juive, se devait d’adopter la cohérence nécessaire en contraignant la diplomatie britannique à offrir au futur roi, la possibilité de l’option sioniste sans que celle ci soit entachée d’irrégularité.
 
C’est chose faîte!
 
En un mot la Princesse Kate, de par sa lignée matriarcale, est juive et, par voie de conséquence, le futur Roi d’Angleterre sera Juif selon la Halakha et ce, à part entière!
 
Sans arrière pensée, nous pouvons proclamer: God save the Queen!

 

Inimaginable en Israël !

L’APARTHEID EST PERSONA NON GRATA » A LA KNESSET ET DANS TOUT ISRAEL
On pouvait assister récemment sur la chaînapartheide TV KNESSET à un échange en langue arabe entre le Président de séance, manifestement un Arabe Israélien et un député de la même référence
. Parallèlement se tient cette semaine en France un vaste mouvement visant à exprimer la « condamnation » de l’apartheid Israélien ! L’incident relaté plus haut  n’est-il pas la réponse cinglante à ces divagations accusatrices ?  Voire la confirmation   de la  bienveillance de l’Etat d’Israël à sa minorité Arabe ?   Ces conditions de vie exceptionnellement tolérantes qui n’existent dans aucune juridiction Arabe ne récusent elles l’idée même de L’apartheid Israélien ?

Même L’ONU a banni de son vocabulaire l’insulte diffamante! N’oublions pas! Le statut des Juifs en 1940, a été sans discussion possible,  le point culminant par lequel une certaine France a rejoint la dimension la plus radicale de l’apartheid ! Alors de quoi parle-t-on ?

Quand va-t-on cesser ces amalgames grossiers visant à diaboliser l’Etat Juif par des accusations  limitées  à des diffamations grossières qui témoignent avant toute autre approche de la manipulation éhontée des faits ?

 

ACCUSER ISRAËL D’UN TEL « CRIME » N’EST PAS SEULEMENT ATTESTATION D’ANTISÉMITISME, C’EST PROUVER QU’ON NE FAIT PAS LA DIFFÉRENCE  ENTRE L’IGNORANCE DEVENUE VERTU ET L’IMPUNITE DIFFAMANTE POUR QUI LA PRATIQUE!  

 

N’oublions pas!  Une certaine France QUI, par le statut des Juifs en 1940 a mis en pratique un apartheid radical!

de gaulle à mort« Imagine t-on le général de Gaulle « mis en examen ? »

Non seulement il est légitime d’imaginer pareille éventualité mais il est nécessaire de savoir et d’apprendre que le général de Gaulle a fait l’objet non seulement d’une inculpation (terme qui recouvre l’ancienne désignation de « mise en examen)  , mais que :

« le  2 AOÛT 1940 le Tribunal militaire permanent de la 13e Région, séant à Clermont-Ferrand, a condamné par contumace, le Général de Gaulle, à la « peine de mort, à la dégradation militaire et à la confiscation de tous ses biens présents et à venir, ainsi qu’aux frais envers l’État, pour trahison, atteinte à la sûreté extérieure de l’État, et désertion en temps de guerre. »

Cette condamnation légale présentant, à la fin de la guerre le   risque surréaliste d’être estimée en attente d’exécution  a du  faire  l’objet d’une annulation prononcée par la  CHAMBRE DE REVISION DE LA COUR D’APPEL DE RIOM par son   Arrêt du 11 janvier 1945 portant révision de la condamnation prononcée le 2 août 1940.

Imagine-t-on plus légitime et conforme à l’histoire, une condamnation à mort du chef de la France Libre pour trahison ? Et pourtant !

monarchieL’éradication de la monarchie vaut disqualification de la civilisation. Modifier radicalement la source de l’autorité par la suppression de la liaison au sacré n’annonce pas qu’un « pouvoir nouveau » mais  modifie radicalement la psychologie des hommes concernés.  En effet,  La « mise à mort » de la monarchie, en Occident, a transformé  cette éradication en suicide culturel,  voire spirituel.    La civilisation se nourrissant de  l’identification au trône,  restait redevable au monarque,  à bien des égards, de la source sacrée  de l’autorité  politique et  de la dimension sacrilège que signifierait toute tentation de la limiter. Aujourd’hui  subsistent dans la désignation même du pouvoir républicain des résidus régaliens, tel le droit de grâce,  qui s’inscrit comme une prérogative irrationnelle s’opposant aux principes de la République laïque.

C’est ainsi que s’explique, pour partie,  le fondement identitaire de « l’appel du 18 Juin » par lequel le général de Gaulle fondant l’origine de son autorité sur l’identification à la France renoue  avec le pouvoir monarchique. 

Tant en France, qu’en Russie ou en Angleterre,  il est significatif d’observer que les changements de régime politique, exception notable en Grande Bretagne, s’inscrivent dans un contexte  d’une sauvagerie féroce. La décapitation de LOUIS XVI et  l’assassinat de la famille ROMANOV, au-delà des faits ponctuels ne saurait dissimuler un questionnement de fond.

La cruelle  sauvagerie qui présida  à l’abolition était-elle nécessaire? Oui, si l’on estime que l’exercice spectaculaire de l’autorité royale imposait en préalable à son abolition,  l’humiliation de la dévalorisation de la fonction.

 Comment comprendre que les titulaires du trône royal ou impérial avec qui le peuple entretenait des rapports d’affectueuse dévotion , voire davantage,  si l’on considère,  que la fusion identitaire était   d’une amplitude telle  que ce que le Roi ordonnait valait parole de Dieu ?  Comment donc accepter  que l’abolition de la monarchie en France et du tsarisme en Russie s’accompagna d’un rituel barbare et macabre envers des « entités » qu’une tradition millénaire  désignait comme sacrées par le fait de devenir dès le sacre,  Représentants de Dieu sur terre ?

Pour l’Angleterre,  pas de sauvagerie envers les personnes mais peu de considération pour le système. Le roi n’est   la source de toute autorité   que par son pouvoir historique et son aptitude à désigner seul la politique du royaume.     Si ce pouvoir est nié,  la réalité royale s’estompe ; ne subsiste qu’une donnée citoyenne et la monarchie devient parlementaire, élégance subtile valant mort et abolition. 

Aussi l’arrachement monarchique sera porteur d’un trouble, d’un malaise !  Le régicide apprendra  de son crime que  « pour grands que soient les Rois, ils sont ce que nous sommes » et le  nouveau détenteur de l’autorité  avouait par la vulnérabilité, une égalité  de moyens dans laquelle  le peuple était partie prenante et agissante.  Première étape d’un nivellement,  l’abolition de la monarchie renvoie à l’éradication du « sacré »  de la conscience humaine.

Le pouvoir des nouveaux Chefs devenait critiquable par essence et limité par nécessité .  L’altérabilité de cette nouvelle définition du Pouvoir obligeait à vaincre certaines  inhibitions. Ainsi naîtra l’insolence de Diderot : « D’où te vient Louis le droit de commander aux autres ? »  Un pouvoir qui s’entendait limité et amputé devait démontrer que craindre de s’attaquer à lui était superstition. Ainsi s’explique la férocité dans l’éradication de la monarchie absolue en Occident.

REPRODUCTION INTERDITE A  www.europeisraël.com  et www.juif.org

*   Le personnage de « mon père » est pure fiction littéraire, tout comme mon propre rôle » La réalité  que ces termes recouvre est, par contre, d’une bien affligeante réalité !

 

 la haine des juifs

Remonter dans le temps, afin d’y rechercher l’origine explicative  de cet indigne ressentiment, se soldera   d’une bien  fatale incurie.  Des indices historiques certes, mais point d’exposé rationnel qui livrerait l’hostilité anti-juive. L’apprenti enquêteur en sortira déconfit.  Il ne parviendra pas à mettre à jour la    trace de son initiation à l’antisémitisme, par l’exposé dogmatique et raisonné qu’il s’attendrait à trouver.  Cette malveillance, dans la plupart des cas, sera perçue comme l’expression d’un tel enracinement dans la conscience universelle que l’examen doctrinal sera superfétatoire.

 Seul le concours de la « psychologie des profondeurs » expliquera   le recours à une gestuelle signifiant d’origine familiale,  paternelle bien souvent,     avec connotation  substitutive  de  l’examen rationnel.     Oui, paternelle car le père étant symbole et instrumentalisation de la Loi,  assurera la transmission  patrimoniale de la haine, bien plus dévastatrice dans ses attendus informels que  « Meïn  Kampf »  la « France Juive » ou le « Protocole des sages de Sion. » Prise en charge rarement relayée par les mots mais par une attitude, bref, une gestuelle ! L’aveu antisémite ne sera pas  discours mais praxis implicitement probante  !

L’investigation scrupuleuse renverra, toutes données culturelles volontairement mêlées à un Chef d’accusation implacable dans ses conséquences et religieux dans sa nature : Le meurtre de Dieu ! Une telle énormité accusatrice peut se dispenser d’exposé doctrinal des causes ou motivations  car en elle- même elle est d’une telle conviction que l’énoncé du crime suffit à lui seul à générer des représailles qu’on n’hésitera pas à qualifier de légitimes : « Dieu assassiné » !

 Faisant des Juifs un peuple à vocation spécifiquement pourfendeur de la transcendance d’abord,  par son nom  « Israël », vainqueur de Dieu,  (mais qu’est-ce que le nom,  sinon un projet ?)  Et poursuivi par le grief impardonnable du crime irrémissible de lèse divinité.  Si l’histoire du Christianisme a quelque cohérence, c’est attester de la réalité  que les Juifs se sont rendus coupable non seulement de sacrilège  mais d’avoir atteint l’idée même que les hommes  se font de Dieu !   Là est la clef de voûte ! La haine d’Israël, du moins sa genèse n’est que là ! Se rend on bien compte de cette vérité surréaliste par laquelle les Chrétiens désignent leur Dieu, victime effective  de « voies de fait » imputables aux Juifs ! Reconnaître Dieu en Jésus c’est incorporer à cette prétendue vérité le ferment insatiable de la vengeance ! La semence haineuse est plantée !  Elle fera route !

 Mon père était un authentique anti-Juif  (j’entends par « authentique »   sa qualité de victime inconsciente de cette gestuelle, garante d’une profonde imprégnation) ne  prenant, toutefois, aucun risque avec le danger pénal  que serait   l’expression d’une haine frontale et objectivée. Il préférait opter pour le haussement d’épaule, manifestation hautaine de mépris souverain et attestation du dégoût que lui inspirait  bien inconsciemment  le crime perpétré au Golgotha. Autant de clichés que son propre père pratiquait à son encontre et qu’il renouvellera sans l’hésitation du doute salvateur.

La fréquentation d’antisémites parfois illustres et rencontrés pour la plupart parmi des « plumitifs »  est venue me confirmer que l’antisémite que fut mon père avec sa haine avalée et toujours   insufflée par une attitude singulière et délibérée   est la référence communément admise et pratiquée par tous les protagonistes et tenants de l’infamie.   

FONDEMENTS DE LA GESTUELLE ANTISEMITE

Préférant l’induction à la déduction, le père devenait ainsi maître   souverain du jeu initiatique. L’argumentaire anti sioniste que l’enfant que j’étais n’assimilait pas encore et qui est intervenu beaucoup plus tard dans mon parcours,  impliquait une symphonie, toutefois,  si haineuse et   d’une telle force qu’elle ne pouvait être  que justifiée selon les critères  d’appréciation de l’enfance.    Et faute de la comprendre dans tous ses prolongements je fus tout naturellement conduit  à en apprendre  par cœur les tenants et aboutissants que je répétais, tel un pieux balbutiement   à la première confrontation. Ces répétitions s’imprimeront dès l’enfance et constitueront le socle des « données immédiates » de la conscience anti juive.   Ainsi l’antisémitisme prit possession  de moi, de nous,  préparant le terrain à son adaptation laïque et agnostique contemporaine : l’antisionisme !

Depuis l’enfance, j’ai toujours été antisémite,  anti Judaïque donc, et, comme signalé,    plus par suggestion que par démonstration.  Mon père, tout comme les autres chefs de famille,  m’a initié à la haine par des gestes de mépris, et j’assure que ce fut efficace. La  puissance de l’aversion  est toujours réduite à l’ émotion ainsi qu’à l’état d’âme. Son « aura » résidant essentiellement dans le « ressenti » plus que dans le « réfléchi. » Son déclenchement échappe à la raison objective, même chez les fondateurs des « écoles de  haine. »   Cette animosité pour le Juif prendra son envol dès lors qu’elle sera suscitée par l’affect déguisée en réflexion.

 

Quand  par exemple,   au catéchisme,  le prêtre soutenait avec véhémence qu’il fallait choisir entre la Nouvelle et l’ancienne Alliance,   que la Loi de Moise ne pouvait être fondée en vérité face au Golgotha, il faisait semblant de réfléchir mais visait à générer une multitude d’émotions quasi physiques ,  dont il n’était probablement pas conscient mais dont il savait d’expérience que les effets espérés seraient  effectifs. Son  sourire carnassier  en était le signe avant-coureur. La disqualification des Juifs était assénée après des préliminaires vaseux où le pourfendeur  de la Loi Mosaïque écumant de rage contenue ne parvenait à s’apaiser que lorsqu’il reconnaissait que la providence veillait à conjurer le mal et empêcherait le danger de voir la Nation Juive ressuscitée. Et lorsque je tentais, en dissimulant mal l’hypocrisie de ma question   « Mais le peuple Juif a été choisi !  Dieu ne peut renier son choix »  je devenais l’objet d’une tirade destructrice et dévastatrice sous les quolibets tout à la fois haineux et admiratifs de mes condisciples.  C’est  l’amour d’une Juive qui fut l’occasion d’une salvatrice remisela haine des Juifs 2 en question de cette pathologie qui m’a révélé que la haine peut être muette.

PUBLICATION INTERDITE A  www.europeisraël.com ainsi qu’à www.juif.org

Iln’y a pas d’extrême droite en Israël ! Il n’y a qu’un nationalisme dont la définition et la vocation excluent le rapprochement avec ce qui prétend à une équivalence.   Définir ce nationalisme par le cynisme « d’extrême droite »   c’est lui faire endosser, par une analogie suspecte,    l’héritage sulfureux de ce qu’il est entendu de désigner par « extrême droite ! »

 

 Celle-ci  est  une affirmation politique qui relève , selon qu’elle  qualifie  la réalité Européenne ou l’appartenance Israélienne d’une différence notable de nature.    Le classement Israélien « d’extrême droite » est « abus de langage » parce qu’il est volonté de l’assimiler à un modèle réducteur.  Aussi,  éloigné de sa sœur Européenne  par les  effets collatéraux humanistes qu’il implique et qui le rendent étranger à toute tentation de comparaison, le qualificatif d’extrême droite résonne avec l’irrépressible incongruité des attributs inappropriés. 

 

   Espérée et voulue délibérément en Israël par certains courants, elle est la marque d’une  indéfectible assimilation et intégration partout ailleurs. Qualifier d’extrême droite,  telle ou telle mouvance de la conscience politique d’Israël c’est greffer sur le militantisme nationaliste une réalité qui lui est étrangère,  importée d’une vision du monde qui se rattache à une conception  étrangère.  « Extrême droite » est une désignation lourde de fatales conclusions aussi étrangères au sionisme qu’affirmer que le Christianisme serait une option juive !

Pourquoi cette contradiction apparente ?

Comme si l’identité impliquée dans le Renouveau Historique Juif ne pouvait se définir sans recourir aux modèles Occidentaux ! Comme si la revendication de l’authenticité passait nécessairement par les références à la civilisation. Mais vouloir que les frontières d’Israël  relèvent d’une  mise à jour de nature biblique n’a rien à voir avec le courant politique et historique qui né en 1789 se distingua par une opposition farouche aux idéaux de la Révolution  Française, milita pour un antisémitisme véhément, s’opposa à la République, s’engagea  pour la restauration monarchique, bref se fit remarquer par le conservatisme et revendiqua  « l’extrême droite » en référence au positionnement des députés ultra conservateurs à la Convention.

 

Nul besoin de recourir à Charles Maurras !   Le peuple qui révéla au monde le droit et la Loi dispose d’un véritable arsenal de désignations consacrées qui, sans pour autant devoir recourir à des emprunts témoignant de la promiscuité, confirmerait ainsi,  bien plus la recherche véhémente de l’authenticité que le fourvoiement dans la promiscuité !

 

Pour recourir à une formulation lapidaire, « Rentrer chez soi, vouloir que ce « chez soi »  s’inscrivît dans le cadre prioritaire de la Renaissance de la Nation Juive relève d’une des définitions du sionisme, pas de l’extrême droite fascisante.

 

PUBLICATION INTERDITE A www. Europe Israël et www.juif.org

Dès 1789, Clermont Tonnerre avait prévenu : « Tout aux Juifs en tant qu’individus, rien aux Juifs, en tant que Nation ! » La République naissante entendait préciser qu’elle n’accorderait pas sa reconnaissance  au nationalisme Juif, ainsi qu’à celles et ceux qui s’en réclameraient.    Le Renouveau Juif ne pouvant donc ignorer l’aversion qu’il inspirait à la République. Il  devait néanmoins s’évertuer à démontrer que l’expérience suffirait  à  en établir  la fausseté  de ce jugement,  ce  refus n’étant qu’une  dimension chrétienne rebaptisée aux vertus laïques et  républicaines.

Voilà les Juifs, où certains d’entre eux du moins, embarqués dans l’obligation de rassurer leurs concitoyens sur leur fidélité à la France sans pour autant renier leur attachement à la renaissance nationale Juive.  C’est le début, le démarrage d’un malaise qui ne parviendra qu’épisodiquement à ses fins, sans pour autant parvenir à supprimer complètement l’agacement de certains non Juifs à la perspective d’être placés dans une situation proche de la concurrence.

Si le vote Juif atteste    de l’ambigüité de la sollicitation, c’est précisément par l’obligation prioritaire de rassurer quant à la contradiction apparente d’un comportement qui pour légitime qu’il  soit  n’en reste pas moins étranger à la culture Française. La patrie unique impliquant une restriction de l’idéal patriotique,  réservé, pour l’essentiel, à l’une des deux options. Ce véritable malaise obligeant parfois, en retour,  les détenteurs de l’autorité publique à pratiquer une véritable surenchère de la définition des « enjeux patriotes » en affirmant que l’attachement  pour la France peut être complémentaire de « l’amour de Sion »

Les efforts, de part et d’autre, n’effacent, pas pour autant une culture, une éducation enracinées dans le tréfonds de la conscience collective. A cela s’ajoute   depuis de récentes années, l’impact grandissant d’impératifs sécuritaires  par l’importation  en France du conflit israélo-Arabe.   Celui-ci   vient rappeler, en l’aggravant,  des siècles  de cohabitation où, en Europe,  la « présence juive » fut bien plus tolérée,  c’est le moins qu’on puisse dire, que réellement admise.

Ce danger oblige les Juifs par la motivation autre de leur  vote à moins rechercher des  candidats « bons » pour Israël et « meilleurs » pour la France qu’à désigner en premier lieu, celles et ceux qui les  feront bénéficier d’une  sécurité renforcée, objectif prioritaire pour une Communauté qui, se faisant, rappelle aux dirigeants qu’avant la sauvegarde d’intérêts réductifs,  la mission première d’un gouvernement est la protection des biens et des personnes.

 

 

                              dieu frappeIl en va des hommes comme des civilisations ; la dégénérescence commence toujours par un processus de décomposition qui finit par la déliquescence et la mort. Paraphrasant Victor Hugo, nous pourrions soutenir que la jeunesse de ce siècle n’empêche pas « Massada de percer sous Montoire » L’indigence est chronique, l’impuissance patente et la pulsion mortifère

 

 Discernez-vous encore la France de Malraux, ou celle de Camus, dans les gesticulations et les vociférations des prétendants et prétendus successeurs ?  L’enjeu est démesuré et, au motif de présentation des technologies d’avant-garde est servi un détestable cocktail de substitution où la culture laisse progressivement sa place à la caricature d’elle-même !

 

Dans les années 70 on persévéra dans la médiocrité ne cherchant même plus à faire diversion car imiter sans admirer ne saurait perdurer sans trahir manifestement !    Les Grands étaient encore tièdes dans leur tombe et si l’on restait insensible au déshonneur on se souvenait encore de la morsure de la honte. Aussi s’ingénia-t-on à éviter toute comparaison.     L’appel du néant décelable malgré les vains efforts pour le cacher laissait deviner ce que réservait la confrontation avec les JuifsCar les historiens et les sociologues savent que toute tentative d’en découdre avec les Juifs est toujours cotangente d’un appauvrissement de soi même.

 

Qu’en est-il aujourd’hui ? Quand on a entendu « Mort aux Juifs » dans les rues de Paris on sait que ce résidu infâme ce  quelque chose d’infect prend la route de la haine endémique !  Parce que « ceci » explique « cela », on n’ignore pas, quand bien même, ne le souhaitant pas, que  Disraéli le prophète de l’ère victorienne exhorte au repentir avant que d’assister à ce que les Nations « soient traitées comme elles ont traité les Juifs ! »

 

 

                             JESUS   Ne pas reconnaître la légitimité du sionisme, c’est nier les bases de la civilisation Occidentale ! Nous serions les « frères aînés » qui se verraient refusés « leur terre » ! « Leur havre et leur refuge ! » Et les cadets garderaient le silence !

 

Ne pas reconnaître la légitimité du sionisme, revient à revendiquer la permanence de l’argument théologique. Car toute argumentation rejetant le droit d’Israël de « poursuivre sa route » à partir de la terre qui est sienne et reconnue comme  telle par les Nations est volonté délibérée et criminelle de priver le seul peuple Juif du droit à l’auto-détermination,   droit pourtant consenti à tous les peuples devenus libres et souverains après qu’ils se soient soustraits de l’emprise et de la domination coloniales.

 

Si le sionisme est d’abord le droit d’être Nation, de vivre sur une terre dont les Juifs ont été chassés et ne pas conférer à cette réalité les droits d’une restitution  nécessaire, c’est inviter à l’interrogation ultime des fondements  du droit du Retour.  Et ce questionnement ne manquera pas d’éclairer les mesures anti juives du Premier Empereur Chrétien d’Occident, Constantin de la seule explication qui vaille :   « La panique de la Chrétienté de devoir compter avec la Nation juive renaissante. »

eglise et sionisme

 Pourquoi ? Parce que, dans ces conditions, rien ne garantit l’Occident que le recours aux aspirations messianiques ne sera pas ressuscité par les Juifs.  Ne pas l’admettre c’est s’acheminer vers la certitude complaisante que le peuple Juif a « volé sa terre aux Arabes » C’est ouvrir à la perspective de la guerre Israélo-Arabe un caractère permanent dont l’éradication de « l’entité sioniste » est l’objectif que plus personne ne dissimule.

 

Il y a là une erreur et une faute attestant d’un jugement dévoyé et perverti. Car contester le sionisme  sur des attendus de mise en pratique ne met pas en cause le droit d’être chez soi mais soulève  des critiques circonscrites à des circonstances  qui peuvent être légitimes parce qu’elles relèvent de la péripétie. Tandis qu’une réprobation de fond conduira à cette incohérence de voir des dirigeants d’Israël, non réputés pour leur attachement à la tradition être contraints de justifier  le « caractère Juif de l’Etat » par le recours à des arguments  souvent irrationnels que les rabbins ne désavoueraient pas.

 

Il faut bien admettre que le débat théologique ne peut être  écarté à l’avantage de la prétention au « vol de la terre » car si quelqu’un sait que les bases de cette forfaiture sont mensongères et diffamatoires c’est bien l’Eglise !

 

J’ai demandé mais en vain, qu’on m’éclaire sur la portée de la condamnation à mort de la Tradition Juive telle que formulée par PIE XII dans « MYSTICIS CORPORI CHRISTI »

 

Pour certains  non Juifs, l’exil reste inséparable de la condition juive. Parce que hors de l’histoire les Juifs ne pèsent pas lourd.  L’antisionisme en est l’attestation sociale,  historique et… théologique ! Il  reste, fondamentalement nostalgie de l’authenticité !

https://archive.org/details/ChurchillEtLePeupleJuifUneDiscrteAmitii

« Le sionisme est d’abord restitution ! » Sir Winston Churchill.

 

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En notre temps, plus qu’en aucun autre, ce film  consacré  au combat véhément de  Sir Winston Churchill,  pour la réhabilitation juive et sioniste atteste que le « vieux lion » ne fut pas seulement le seul qui resta à affronter Adolph Hitler mais le dirigeant  exclusif d’Occident qui  considéra  que le sionisme est un « idéal de restitution ». Ce « film  témoignage »  devrait être jugé, estimé par tout homme libre comme complément indispensable à la connaissance  des circonstances qui conduisent   la perversion à   prendre le  contrôle des Nations et des hommes.  Les rabbins devraient décréter que l’avoir vu, revu et appris par cœur est MITSVA car, un « homme qui oublie son passé n’a pas d’avenir ! »

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Connaître le parcours de cet homme providentiel  conduira à ce niveau où la connaisse de l’histoire rejoint ces cimes où l’amour pour Israël n’est  plus un privilège réservé aux seuls Juifs mais sollicitation universelle pour celles et ceux qui savent que sionisme loin d’être offrande est d’abord le « droit d’être chez soi ! »

 

Un droit dont l’usage fut mis en pratique par Sir Winston au point d’enjoindre personnellement aux pilotes de la RAF de bombarder les voies ferrées autour d’Auschwitz. Ordre qui ne parviendra  jamais aux administrations concernées !

 

 

 

 

https://archive.org/details/ChurchillEtLePeupleJuifUneDiscrteAmitii

« Le sionisme est d’abord restitution ! » Sir Winston Churchill.

 

 

                                       churchillEn notre temps, plus qu’en aucun autre, ce film  consacré  au combat véhément de  Sir Winston Churchill,  pour la réhabilitation juive et sioniste atteste que le « vieux lion » ne fut pas seulement le seul qui resta à affronter Adolph Hitler mais le dirigeant  exclusif d’Occident qui  considéra  que le sionisme est un « idéal de restitution ». Ce film  témoignage  devrait être jugé, estimé par tout homme libre comme complément indispensable à la connaissance  des circonstances qui conduisent   la perversion à   prendre le  contrôle des Nations et des hommes.  Les rabbins devraient décréter que l’avoir vu, revu et appris par cœur est MITSVA car, un « homme qui oublie son passé n’a pas d’avenir ! »

Connaître le parcours de cet homme providentiel  conduira à ce niveau où la connaissance  de l’histoire rejoint ces cimes où l’amour pour Israël n’est  plus un privilège réservé aux seuls Juifs mais sollicitation universelle pour celles et ceux qui savent que sionisme loin d’être offrande est d’abord le « droit d’être chez soi ! »

Un droit dont l’usage fut mis en pratique par Sir Winston au point d’enjoindre personnellement aux pilotes de la RAF de bombarder les voies ferrées autour d’Auschwitz. Ordre qui ne parviendra  jamais aux administrations concernées !

 

                           rire Dans son essai sur la signification du rire le grand philosophe Henri Bergson soulignait que le rire est toujours lié à l’évocation de l’homme saisi dans une approche risible.

Une mer calme ou agitée ne fait pas rire, un coucher de soleil ne fait jamais rire, mais un homme qui se retrouve par terre parce qu’il n’a pas vu que la porte de l’immeuble était transparente, c’est cruel mais ça fait « rire »!

Bergson est trop radical. Des situations relèvent du risible et l’homme est pourtant concerné. Les « manif de Washington après qu’un procès ait été intenté à Donald Trump pour des initiatives qu’il n’a pas encore prises sont d’un ridicule si risible qu’une des causes à l’expression comique est précisément consécutive  au ridicule que l’homme reçoit en prime quand il est si éloigné de lui même qu’il en perd l’auto critique qui seule lui permettrait de l’éviter.

Cessons pour un temps, je dis bien pour un temps seulement de penser que Hitler est un barbare sanguinaire,  et considérons seulement ses gesticulations accompagnées de vociférations où seul un bouffon retrouverait un langage familier.

Mais c’est à « mourir de rire » !

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« Le droit à la guerre » et ses conséquences !

 

Considérant que le 15 MAI 1948, les armées régulières de huit pays Arabes, pénètrent dans « l’espace national » de l’Etat d’Israël,  en vue de « liquider » définitivement « l’entité sioniste ».  proclamée  «Etat  indépendant » dans l’après midi de la  veille,  soit le   14 Mai 1948 par David ben Gourion,

 

Estimant que cette initiative justifie une réplique appropriée opérée au nom de légitimes représailles, en vertu du droit de se  défendre  accordé  à  chaque Etat   dans la mesure où  la disproportion n’entache pas l’initiative défensive  d’irrégularité

 

Considérant  que l’agression du 15 Mai 1948 ne visait pas la rectification ou la correction de frontières mais entendait poursuivre l’achèvement de la « Solution Finale » ou extermination de la « présence juive » dans le monde, en l’occurrence,  le monde Arabe, les soussignés entendent se prévaloir des avantages, bénéfices et conséquences du « droit à la guerre » tels que définis par les lois en vigueur et, notamment par les « Conventions de Genève » lorsque celles-ci s’établissent sur des mesures conservatoires propres à empêcher toute récidive,

 

Dans cette approche où l’Etat d’Israël  s’étant limité à une opération défensive, d’un conflit qui lui fut imposé par la contrainte armée, la modification des frontières qui occasionna le bénéfice de   28% des terres palestiniennes à l’avantage d’Israël sera jugé légitime et consécutif aux attendus meurtriers résultant du refus  Arabe d’accepter le plan de Partage  voté par l’ONU  en 1947.

 

Prenant acte que  l’abandon unilatéral par la Grande Bretagne de sa mission de « maintien de l’ordre » en Palestine, tel que définie par l’ONU, rendait impératif le renforcement nécessaire de la viabilité de l’Etat Juif,

Attendu  que ce renforcement s’avérait, de pure évidence tactique et   être à la charge exclusive d’Israël,

 

Que l’ONU acceptant l’infamie qu’Israël puisse ne pas être reconnu ès qualité d’Etat membre de l’ONU et n’adressant pas même une remontrance à la Grande Bretagne pour avoir délibérément fait négligence de ses devoirs d’assistance et de maintien de l’ordre envers les populations civiles.

Les soussignés déclarent que le droit à la guerre ne serait pas établi s’il ne s’accomplissait pas sous l’allure contraignante de la perte de territoires.

 

A ce sujet, ils rappellent que le problème des « réfugiés Palestiniens » est directement lié à un conflit imputable aux seuls belligerants Arabes. Et le droit à la guerre qui, en l’occurrence  fut imposé à Israël est la consequence directe d’un conflit né de l’hostilité Arabe dont la « libération »   de territoires reste la  conséquence morale et légale inévitable

 

Enfin, considérant que le droit à la guerre défensive s’accompagne parfois de sanctions portant sur la détention de territoires, à la seule appréciation du vainqueur s’il est patent que son intervention est essentiellement défensive  les soussignés jugent qu’un plan de paix présentant les critères du succès doit être  précédé immanquablement d’une reconnaissance d’Israël confirmée par tout le monde Arabe !

La haine des nations n’empêche pas l’Etat Juif se poursuivre sa route !

          US_embassy_Tel_AvivDéjà un signe fort émanant de la 3ème chambre de la Cour d’Appel de Versailles dans son arrêt statua nt  sur le  CONFLIT  OLP   ALSTOM VEOLIA reconnaîssait  la possession de la Cisjordanie aux seuls Israéliens.

 

La promesse du futur président TRUMP DE TRANSFERER A JERUSALEM L’Ambassade  US   est manifestement l’indice le plus probant que les « choses sont en train  de changer ». Car la promesse américaine au-delà de l’opportunite qu’elle représente sur le plan diplomatique signifie la reconnaissance établie de la souveraineté juive sur Jérusalem.

 

 Balayée la querelle sur « le mont du temple », oubliée la décision  honteuse de l’UNESCO, pulvérisées les réserves identitaires sur la légitimité Israélienne.

 

  Israël recueille aujourd’hui   par la décision Américaine le fruit cueilli en 67.

 

 Abbas ne s’est pas trompé  en écrivant au Président Trump pour lui demander de revoir sa décision au motif que le maintien du transfert constitue une menace pour toutes les ambassades US au moyen orient.

 

 

Le sionisme recueille ses lettres patentes d’ambassadeur titré du peuple juif ! Les constructions pionnières peuvent aller de l’avant ! Qui s’opposera avec légitimité à la mise en valeur de la capitale d’Israël dont  la première nation du monde vient d’établir le statut reconnu !

 

 

Le Président Trump inaugure une légitimité enfin reconnue. Il avait raison de soutenir récemment : «  Je suis la meilleure chose qui pouvait arriver à Israël »

imagesTous les pays, toutes les idéologies savent qu’en période de guerre, la volonté de maintenir les règles de la démocratie cache mal les pulsions suicidaires.

 

 Que vaut la considération citoyenne consentie à la minorité Arabe Israélienne quand celle-ci se réclame, d’une vision de l’histoire où Israël n’est pas, ou plutôt Israël « n’est plus » ?

 

Dans cette perspective, Israël apporterait sa caution à une authentique « 5ème colonne » , notoirement hostile à l’Etat Juif et qui, de surcroît, serait au regard des conceptions historiques des protagonistes un aveu de faiblesse sinon d’impuissance. L’intolérable atteint ici des sommets !

 

Dès lors qu’un groupe de résidents  est, par un singulier automatisme administratif considéré partie intégrante du corps électoral sans l’avoir demandé, on s’expose aux conséquences inéluctables  d’une citoyenneté imposée et non voulue, à un statut administratif plus qu’à une appartenance citoyenne.

 

Dans ces conditions, comment s’étonner de la démarche Arabe frappant à coups redoublés sur cette citoyenneté imposée et, par voie naturelle d’extension, sur cet Etat, usager d’une naturalisation forcée envers une population non demanderesse.

 

C’est l’autorité de l’Etat qui est en jeu et c’est à l’Etat d’imaginer la façon d’y pallier.

 

 

 

 

L’autorité de l’Etat est incompatible avec une loyauté non confirmée de la minorité arabe Israélienne !   Par Arnold Lagémi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tous les pays, toutes les idéologies savent qu’en période de guerre, la volonté de maintenir les règles de la démocratie cache mal les pulsions suicidaires.

 

Que vaut la considération citoyenne consentie à la minorité Arabe Israélienne quand celle-ci se réclame, d’une vision de l’histoire où Israël n’est pas, ou plutôt Israël « n’est plus » ?

 

Dans cette perspective, Israël apporterait sa caution à une authentique « 5ème colonne » , notoirement hostile à l’Etat Juif et qui, de surcroît, serait au regard des conceptions historiques des protagonistes un aveu de faiblesse sinon d’impuissance. L’intolérable atteint ici des sommets !

 

Dès lors qu’un groupe de citoyens est, par un singulier automatisme administratif considéré partie intégrante du corps électoral sans l’avoir demandé, on s’expose aux conséquences inéluctables  d’une citoyenneté imposée et non voulue, à un statut administratif plus qu’à une appartenance citoyenne.

 

Dans ces conditions, comment s’étonner de la démarche Arabe frappant à coups redoublés sur cette citoyenneté imposée et, par voie naturelle d’extension, sur cet Etat, usager d’une naturalisation forcée envers une population non demanderesse.

 

C’est l’autorité de l’Etat qui est en jeu et c’est à l’Etat d’imaginer la façon d’y pallier.

 

 

 

 

 

 Stéphane n’avait aucun des « signes forts » qui posent la conviction de la vocation. Irritable par nature et intraitable par faiblesse,  la propension au dialogue paraissait tout aussi éloignée de ses façons de faire que le serait la fraternité pour un aristocrate.

 

 Il semblait, au contraire, désigné pour s’intégrer à la cohorte des formateurs, bien plus qu’à celle des éducateurs. Et, quand je le rencontrais,  je ne pus refreiner l’appréhension à lui confier une classe, tant je percevais que sa rigueur excessive génèrerait une inévitable incompatibilité. Je découvris, au fil du temps, qu’il demandait à être estimé sur d’autres critères que l’apparence illusoire de l’impression.

 

D’abord, par la connaissance intuitive   de l’échec scolaire,  facilitant cette « proximité » avec la « victime » et qui ne trompe pas l’œil averti.  Pour toute réplique à la dévastation de l’échec, il entraînait l’élève en préliminaires moqueurs vers   le recours à la dérision. Savoir amener l’élève à ôter tout crédit à une manière de faire qui privilégie fermeture à ouverture. C’est ce qu’il fit. Le tout, en s’abstenant de discours moralisateur, de sentences lapidaires, devenant exemplarité sans s’en rendre compte.

 

 Seul moyen de délégitimer la prétention au jugement, voir à la disqualification  il avait pour règle première de persuade l’ado que le « prof » qui condamne est lui-même condamnable car un enseignant qui  juge se fourvoie !                                 

 

 Il avait importé d’une scolarité plutôt marginale les attestations d’une sensibilité qui ne pouvait faire place au compromis ou à la concession. D’où la volonté de provocation pour extirper tout ce qui lui restait de vengeance à assouvir !

 

Je le désigne par un prénom usuel quasi anonyme Non pas que Stéphane  ne soit pas le « bon » mais il me paraît opportun d’entretenir l’équivoque, car j’ai la certitude  orgueilleuse d’être le père de nombreux « Stéphanes » ! Et, pouvoir l’identifier, c’est réduire. C’est nuancer le rêve : Mais Stéphane, prof de Maths occupe une place, et quelle place, dans ce qui fut la « gloire de ma vie ! »

 

Celui-ci a su s’imposer et prendre place parmi les pionniers !

 

Comblé pour avoir fait naître une vocation, j’ai un mot à lui dire : « Merci ! »

Confidences!

arnoldQuand bien même on ne s’est jamais vu, au fil de ce que j’écris, vous avez pu imaginer un profil, voire plus. Quelle que soit votre estimation, vous avez, à coup sûr, discerner des erreurs, des approximations sans omettre, cependant,  le bénéfice   de cette qualité ultime, l’objectivité, vertu entre toutes, car maladie mortelle du fourvoiement qui n’est évitable  qu’au prix d’une périlleuse mais indispensable acrobatie. 

Et s’il y a parfois des propos insultants, fanatiques mais limités, ils n’empêchent pas que des liens s’établissent  par devers les invectives. Parce que la conception que j’ai de l’écriture est proche du « don de soi » en  plaçant le respect qui vous est dû  au niveau le plus subtil de la complicité. Et l’on hésite toujours à impliquer qui vous respecte par-delà vos idées.

C’est au nom de cette complicité que je crois établie que de vous informer que, le 21 courant, le professeur Zvi Israël « m’installera » la deuxième électrode dans le cerveau en vue de réaliser et d’achever la « stimulation cérébrale profonde » qui devrait  neutraliser les effets  malveillants,  de ma rencontre il y a vingt ans avec le funeste …Parkinson !

Je sais ma propension à aimer prendre des risques mais je sais aussi les enjeux d’une telle initiative. Aussi si vous croyez, vous aussi, qu’il arrive parfois à la Providence de voyager sur terre, périples que ceux qui ne savent pas, désignent par la « coïncidence », joignez-vous à ma prière, pour faire savoir et rappeler que j’aimerais encore bénéficier d’une « providentielle coïncidence » dans les combats que j’engage contre le mensonge, l’imposture, l’antisionisme et l’antisémitisme.

Le Maître des destinées répond toujours, dit-on, aux voix de l’âme.  Gageons que les réponses iront dans le sens de la Vie car j’ai l’aplomb de soutenir qu’il y a de « belles âmes » parmi vous.

Soyez assurés de mon indéfectible loyauté, et de mon intérêt pour le sionisme, garant de la condition juive parce que porteur de tous les dangers.

Arnold Lagémi

amerique La volonté de changement de cap Moyen-Oriental des USA est rappelée chaque fous que l’occasion devient opportunité. Le « clou vient d’être enfoncé » par une confirmation. David Friedmann désigné par le futur Président pour être son ambassadeur en Israël vient de déclarer qu’il lui tardait de commencer son travail de rapprochement, à partir de son bureau à Jérusalem, capitale éternelle d’Israël !

 

L’expérience enseigne la prudence et tant que la chose n’est pas officielle, « ne vendons pas la peau de l’ours… » Toutefois, cette confirmation faite par David Friedmann en personne a de quoi troubler les chancelleries Européennes.

 

Le Président Trump paraît décidé à changer la donne à la politique moyen-orientale des USA. Changer le lieu de résidence de l’ambasade US est un signe flamboyant de volonté d’en finir avec une frilosité devenue chronique. Ce changement a une suite, ce sont les conséquences incontournables de cette initiative.

 

D’abord, l’Europe qui ne perd pas l’occasion de condamner Jérusalem y réfléchira à deux fois avant d’entrer dans le chœur des « oiseaux de malheur »vomissant » l’entité sioniste. » S’il est probable que des renversements d’alliance soient prévisibles, nous n’en sommes pas encore là et les USA restent la première puissance mondiale avec qui il faut compter.

 

Et que celle-ci tienne à confirmer que le nouveau président n’a pas changé la fidélité qui le lie à Israël  est un  signe fort de renouvellement des liens Israëlo-Américains.

     islamLa prospérité de la communauté Musulmane Française pourrait peut être permettre de classer l’Islam première religion de France. Les prochaines consultations électorales diront si l’impact y afférant est à prendre en compte et, si oui, quels sont les domaines d’influence ou de conquête   prévisibles. La naïveté, voire la stupidité créditeraient la sphère religieuse comme zone de vulnérabilité prioritaire. Ce serait naïveté, voire stupidité de le croire. Les intéressés , seraient, dans ces conditions, d’un poids tel qu’ils pourraient se dispenser d’engager la lutte sur un terrain où de fortes présomptions semblent indiquer des risques de réaction.   En effet, toute réforme qui menacerait par des bouleversements éventuels la vie quotidienne étant susceptible d’entraîner des « troubles à l’ordre public. 

 

La ressource stratégique est d’avancer  en toute légalité grâce aux possibilités qu’offre le respect des règles démocratiques, dont le suffrage universel. Ainsi, une communauté aux particularités civilisationnelles définies comme différentes pourrait arbitrer le résultat d’une consultation qu’il était prévisible d’escompter,  dès lors que l’égalité des droits avec les autres  citoyens devenaient garantie constitutionnelle.

 

L’enjeu est néanmoins caractérisé par des réalités spécifiques qui débordent le cadre hexagonal. L’Islam de France milite pour la Palestine. Ainsi, il a su impliquer à la revendication religieuse et, en l’y mêlant l’engagement « politique » aux côtés des Palestiniens.   Et, s’il est assurément la première religion de France, il est aussi et surtout une force qui s’est engagée par la qualité citoyenne reconnue  aux côtés d’une mouvance radicalement antisioniste.

 

Trop « jeune » pour revendiquer d’ores et déjà dans ce domaine sensible   tout pourrait changer par le verdict électoral qui, plaçerait en perspective  l’Islam de France parmi les courants politiques Français, lui donnerait droit d’avoir un avis sur la politique extérieure de la France, domaine où la prudence invitait jusque-là à la discrétion. On pourrait être surpris que le verdict prévisible du suffrage universel permette de rentrer dans les arcanes politiques et s’abstienne d’engager une querelle religieuse, jugée infructueuse à bon escient parce qu’impopulaire !

 

Le projet d’’anéantissement de l’« entité sioniste » quand bien même chimérique  à court terme,  possède encore une indéniable force d’attraction.

 

 

 

          israelParce que le camp que soutient l’Europe n’est pas pour les demi-mesures. Celui-ci ne s’accommode pas de « l’entité sioniste ». Il l’a dit, promis.  Sa  volonté ne permet pas  l’ambiguïté.  Chaque fois que l’opportunité s’est présentée, le monde Arabe a rappelé qu’il « vomissait l’Etat Juif ».

 

Et l’Europe, loin d’assortir son soutien   à des conditions qui préserveraient Israël, approuve globalement le projet d’anéantissement. Alors, quand cesserons-nous de vivre d’illusions ? Là est le danger !  Là est le catalyseur de la haine ! Là est la politique mondiale à l’égard d’Israël !

 

Les « frontières sûres et reconnues » sont pièges à naïfs. On ne peut y prétendre en dénonçant le « caractère Juif » de l’Etat d’Israël ! On ne peut être crédible en dénonçant systématiquement à l’ONU les initiatives de Jérusalem !

 

L’Europe a choisi ! Pas de place pour Israël. Quant aux Juifs, s’ils maintiennent fidélité à leur histoire renaissante, l’Europe tentera de  les « balayer » en cohérence avec ses principes séculaires. Tout comme en 1933, c’est la lucidité qui est requise, rien que la lucidité !

INTERDIT DE REPRODUCTION/ www.juif.org   et europe israêl

pedagogie   « Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre et, quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. » Proverbe 226.

 

Libre réflexion.

 

Le roi Salomon énonce ici un principe qui conduit l’éducateur à considérer que toute pédagogie est d’abord connaissance de la nature de l’enfant et ne peut, par conséquent, être indistincte sans s’exposer à la disqualification. Celle-ci signera  tout   recours à  une éducation globalisante et non adaptée. Perdre de vue que « faire apprendre » ne peut s’inscrire  dans un système  anonyme,  quand bien même  prétendant à  l’unicité, c’est condamner des générations à la pratique de la simplification. Et contrairement aux apparences,   cette uniformisation trahira l’idéal républicain d’égalité, car le nivellement, loin de de le générer en le stimulant  l’appauvrira par une réduction notable.

pedagogie

Le XIXèm siècle est responsable d’un empoisonnement  singulier, notamment en répandant l’artifice politique selon lequel la pluralité serait synonyme de division, qu’il n’y aurait pas plusieurs chemins qui conduiraient au « bonheur ». Un seul s’impose dans le gouvernement des Peuples et Nations. Il s’appelle DEMOCRATIE !

 

Toutes les fonctions relèveraient de ce principe d’unicité  qui, par certains aspects rejoint la catholicité universelle . La pédagogie n’y échapperait pas !  Avant 1789, seule l’Eglise conservait l’exclusivité de propagation de  la vérité.  Après la Révolution Française, ce rôle   sera dévolu aux élus de la nation qui veilleront au maintien de cette unicité, seule garantie aux lensemains.

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La pédagogie devint une, parce que la nation était une ! On ne voulait pas admettre que la richesse et la puissance dépendent aussi    d’une façon de voir multiple, polyvalente et plurielle. Aussi cette ouverture, loin d’encourager la désunion et le désordre garantit au contraire  le respect de la différence de chacun.

 

C’est parce qu’il est plus difficile de s’adapter à chaque enfant qu’en renonçant à la pédagogie différenciée, la pédagogie se dirigera vers d’autres autels où les Dieux anéantiront cette pédagogie de la différence pour un service nivelé, uniformisé, où l’unicité réelle sacrifiée à l’égalité à « tout va » produira une pédagogie asexuée où l’enfant, et l’homme devenu, finiront par admettre le caractère quasi sacré de la pédagogie et le sacrilège de leur demander comptes.

 

 

  • EXTRAIT DU DICTIONNAIRE LAROUSSE  «  Ensemble des méthodes utilisées pour  « éduquer » les enfants et les adolescents. »
  • Or l’étymologie de pédagogie renvoie à l’assistance individuelle.

étymologie éduquer  : du latin ex-ducere, guider, conduire hors (Larousse)

Or, la notion de guidance entraîne la mise en place d’une pédagogie individuelle, personnifiée. Les élèves ne s’y trompent pas. Interrogés sur « Qu’est ce qu’un « bon prof » ? Ils répondent avec leur vocabulaire : « celui qui parle à la classe mais qui donne l’impression de s’adresser à chaque élève. »

 

 

 

       rabbin-1Les conditions dans lesquelles l’entité sioniste désignée par « Foyer national Juif » laissera la place à l’Etat d’Israël sont mystérieuses, relèvent de l’imprévu et signent un « fait accompli » qui s’est imposé face à la stupeur du monde.

 L’indifférence des historiens à cet égard traduit un trouble  à mettre en évidence une réalité qui s’est imposée par une suite de péripéties qui échappent au libre choix  des acteurs en rejoignant une donnée qui s’était éclipsée durant deux mille ans : le destin  de la Nation Juive.

 Essayez de déterminer les conditions dans lesquelles le « Foyer National » voulu par Lord Balfour s’appellera « Etat d’Israël » Vous vous perdrez en conjonctures. L’hypothèse la plus vraisemblable semble s’imposer lors de la désignation des parties en cause, débats qui aboutirent au plan de partage en 1947. « L’Etat d’Israël » ainsi désigné, fut la première appellation nommée ainsi par les nations.

Quand Ben Gourion reprit la définition, dans la proclamation d’Indépendance, le 14 Mai 1948.  Il ne fit que saisir « une opportunité historique » déjà admise. Mais il  marqua, cependant, sa véhémence singulière,   à souligner, la nécessité  (oui, Ben Gourion, le père d’Israël désigné dans la conscience du monde comme Etat laïc, ) de proclamer l’Etat Juif huit heures avant la fin de l’expiration du mandat, celui-ci coïncidant avec la rentrée de Chabbat.

Car l’Etat voulu par Ben Gourion, se réclamait du Chabbat !

Et la Proclamation fut ainsi annoncée au monde : Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution recommandant la création d’un État juif en Palestine. L’Assemblée générale a demandé aux habitants de ce pays de prendre toutes les mesures nécessaires pour l’application de cette résolution. Cette reconnaissance par les Nations unies du droit du peuple juif à établir son État indépendant est irrévocable. C’est là le droit naturel du peuple juif de mener, comme le font toutes les autres nations, une existence indépendante dans son État souverain. En conséquence, nous, membres du Conseil national, représentant la communauté juive de Palestine et le Mouvement sioniste mondial, sommes réunis en assemblée solennelle aujourd’hui, jour de la cessation du mandat britannique en Palestine, en vertu du droit naturel et historique du peuple juif et conformément à la résolution de 1’Assemblée générale des Nations unies.

NOUS PROCLAMONS LA CREATION DE L’ÉTAT JUIF EN PALESTINE QUI PORTERA LE NOM D’ÉTAT D’ISRAËL.

 

L’appellation officielle, si elle est établie à partir d’un « fait accompli, » aux modalités pratiques procédant du « coup de force, » la Déclaration d’Indépendance » balayera les dernières réticences.

 

 

 

 

  » Si j’avais à écrire ici un livre de morale , il aurait cent pages et 99 seraient blanches. Sur la dernière , j’écrirais :  » Je ne connais qu’un seul devoir et c’est celui d’aimer.  » Albert Camus

 

albert-camus Aimer serait devoir, selon Camus ! Pulvérisée l’inclination de l’âme, neutralisé le penchant naturel ! Aimer serait la source et la fonction de cet impératif exclusif !

Comment le mettre en œuvre puisqu’il est objet de désaccord quant à sa pratique. Pour les uns, sélection interdite, pour les autres choix inévitable et donc rejet !

Fourre tout ou aristocratie ? Camus semble déterminé en indiquant la voie : Aimer est devoir. Il s’agirait donc d’un impératif et, par définition, exclurait le débat.

 Nous savons la part d’illusion et d’erreur d’une telle approche. Sauf à fixer les préalables qui rendraient vivable le devoir ! Il semblerait que l’optique de Camus soit la réalisation de conditions où le problème ne se poserait pas. Un seul moyen, semble t-il !

 S’obliger à ne pas voir « l’autre » dans l’optique de la critique. Effectivement éviter de juger permettra d’avoir le même regard. Et l’amour peut trouver sa place car s’il cesse de juger, l’amour jette un œil sans hiérarchie. Et aimer peut être devoir pour tous. Voir sans abattre c’est pouvoir sans distinction. Aimer devient devoir !

      christ Il est dans les prérogatives de chaque peuple  de condamner et de rejeter toute attitude qui contreviendrait  aux fondements de sa vocation. C’est dans cet esprit qu’il faut estimer la tentative chrétienne de détournement de l’histoire d ‘Israël et de la réaction judaïque qui s’en suivit. Ce que le peuple  Juif affirme avec véhémence,  c’est la volonté d’usurpation de Jésus de Nazareth, se  prétextant  continuateur exclusif  de la dimension sacerdotale d’Israël.

Ce que les Nations contestent,  c’est l’exercice du  droit fondamental exercé par Israël dans le « refus » de Jésus.  La Nouvelle Alliance fondant  l’illégitimité de la position juive sur la poursuite de sa  dimension rédemptrice,  comme si le messie était toujours attendu. Elle déniera   aux Juifs  le droit  à  la dénégation. 

Que pour des raisons  géo-politiques et partisanes, Jésus fût livré au bras séculier, Rome en l’occurence et « expiât » par la crucifixion est un autre problème qui ne sera pas abordé ici. Nous resterons préoccupés par la nature formelle de la Nouvelle Alliance et des réactions qu’elle ne manquera  pas de susciter. Un risque d’hérésie menace Israël dans son projet eschatologique. Les instances juridiques évaluent le risque, se prononcent et décident de rejeter le » hors la loi ».

Il est surréaliste de faire état de la mauvaise foi Juive : C’est le peuple concerné qui se prononce contre le projet, lui seul pouvait le faire! C’est le peuple impliqué qui jugea Jésus pour le danger de destitution. Quoi de plus légitime qu’un peuple vivant sa loi et   appelé à décider des suites, parce que c’est de son histoire dont il s’agit. L’histoire  de la Nouvelle Alliance est une page de l’histoire juive certes, mais elle n’a rien à voir avec l’histoire du peuple juif qui se poursuit, par ailleurs!

La Nouvelle Alliance pratique la politique du « fait accompli », impose sa reconnaissance de Jésus comme péripétie messianique. Nulle part elle n’éprouvera  le besoin de demander aux Juifs sur quoi est établi le rejet du prétendu Messie! Cette religion s’établira sur le Judaïsme sans pouvoir attester d’une filiation quelconque avec Israel!   Que cette reconnaissame  soit légitime au nom de ce qui le permettrait de droit: la liberté ! est moins préoccupant que le recours aux pressions visant à dissuader les Juifs de persévérer dans une « attitude condamnable. « 

 

 

camus-sartre

malrauxNon, parce que la vertu qui les décorait tous d’une ineffable étreinte était la fierté de faire ! Et, aujourd’hui la France ne fait plus rien : elle se plaint !

Quand le  soutien à Israël apparut à Sartre avec une inéluctable nécessité c’est avec sa compagne, Simone de Beauvoir qu’il allait à la sortie des métros distribuer en les commentant les « Temps Modernes » 

WIKIPEDIA : ( Albert Camus  ne se dérobe devant aucun combat, protestant successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d’Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur, ou prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme et des objecteurs de conscience5).

Il est une des plus grandes consciences de son temps.

Malraux, a fondé l’escadrille ESPANA, libéré Strasbourg, à la tête de la Brigade Alsace lorraine Etc…. Et quand sa fille tente de recueillir sa signature pour protester contre la torture en Algérie, Florence Resnais s’entend dire : « Madame, de mon temps, quand on soutenait une cause, on prenait d’abord les armes !

Ces hommes n’étaient des militants que dans l’action ! Aujourd’hui, de fortes présomptions laissent à penser qu’ils auraient fui un pays où la grandeur fait peur à des hommes privés de moyens qui  n’ont d’autre façon de garder la face qu’en proclamant des idéaux éculés ou des projets avortés.

On se surprendra à constater que, dans ces conditions il ne reste plus que la querelle de personnes pour alimenter le débat public. Ainsi tel journaliste publiera un plaidoyer pour Pétain, n’ayant plus que la provoc’ pour le promouvoir et assurera que grâce à Vichy on a limité la casse !

La France a rapetissé sous les coups de boutoir de l’histoire, laissez là faire sa vie. Toute seule elle descendra dans la fosse aux lions, pardon, pour l’image erronée, dans l’égoût plus sûrement. Je crois, qu’elle sera saisie par son odeur dont jusques à présent elle jurait que ce n’était pas la sienne ! Expérience salutaire qui l’invitera à savoir ce qu’ont fait, Sartre, camus Malraux ! Et lorsqu’elle se surprendra à son questionnement , le soleil d’Austerlitz l’éclairera d’un jour nouveau. Et Sarte, Camus et Malraux seront à l’aise à nos côtés. Car ils seront fiers de nous !

 

      france 2Il y a un arrière-goût d’inachevé dans l’émancipation de 1791 qui reste présent dans le malaise actuel et qu’on a dissimulé des décennies durant. D’abord, quelque chose de formel, voire d’esthétique : La période généreuse de reconnaissance ne s’accorde pas avec le refus déclaré, dès lors que les Juifs sont désignés en tant que « peuple. » On veut bien accorder aux Juifs s’ils affirment, par ailleurs, que le peuple est « mort. »

  Difficile de ne  pas entrevoir dans ce refus notifié à la Nation Juive, l’enseignement des Pères de l’Eglise !  Reconnaître les Juifs, c’est accorder droits et faveurs à des Juifs. Y inclure la Nation, voire le Peuple, c’est élargir à une entité des faveurs qui ne sauraient lui appartenir sans référence inévitable aux connotations théologiques.

« Rien aux Juifs en tant que Nation ! » Il eût été conforme à l’esprit de l’époque de s’abstenir de refuser un avantage, légal de surcroît, à une Communauté qui paya, un prix exorbitant pour devenir française. « Tout aux Juifs en tant qu’individus », va dans le sens de l’histoire.

 Mais il devient périlleux de ne pas y voir une reconnaissance accordée à une identité tronquée, à une désignation frustrée de la reconnaissance pleine et entière de ses origines historiques.

Il y a plus. « Rien aux Juifs en tant que nation ! » ne parvient pas à effacer un reliquat suspect d’agressivité. Comme une revanche sur cette Emancipation qui n’était pas reçue par tous avec le même enthousiasme. Une affirmation que s’octroie le plus fort quand il sait que sa position lui accorde cette supériorité que l’histoire ne lui a pas appris encore à limiter l’usage, tant qui est fort aujourd’hui sera bien présomptueux de prétendre que demain, il le sera encore !

 

 

 

 

republiqueAlain Juppé considère que » l’Etat Juif est un problème. » Mais, y a t-il complexité à ce que les Français  veuillent se constituer en  République ? »

 Car la République Française se singularise  par une une multitude de particularités nationales, voire nationalistes qui limiteraient ses prétentions universelles.

                                                 _____________________

EXTRAITS DE LA CONSTITUTION DE LA Vème REPUBLIQUE

La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée      
La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales.

Titre premier – DE LA SOUVERAINETÉ

ARTICLE 2.

La langue de la République est le français. 

L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge. 

L’hymne national est « La Marseillaise ». 

La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ». 

Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple

L’affirmation  d’un caractère national Français qui s’exprimerait dans le cadre de la république pose tout aussi problème que l’ETAT JUIF.  Tout cela n’est pas très sérieux!

Mentalité, troubles mentaux, et santé mentale. (FREUD SUITE)

 

 le-fou-1Par une singulière  intuition prophétique, grammairiens et linguistes lient la mentalité (« ensemble des habitudes intellectuelles, des croyances et des dispositions psychiques » LAROUSSE, ) à des déviances comportementales.  Pourvoyeurs habituels de troubles mentaux, les dysfonctionnements de mentalité relèveraient donc, au départ d’une attitude qui, convenant à la civilisation ambiante resterait néanmoins génératrice de distorsions. Il semblerait donc que les « égarements » soient liés (pour partie) à des ( « attitudes sociales qui, par devers le libre arbitre s’inscrivent dans la violation de principes.le-fou-2

 

Ces violations ne restent pas sans conséquences. Là s’entrevoit la différence entre les civilisations, du point de vue de ce qu’elles signifient pour l’homme. Parce que la civilisation  est d’abord le cadre déterminant   « des données existentialistes »  ou pour le dire simplement, la Tradition qui donnera naissance à la civilisation est d’abord nécessairement moralisante, parce que seule la morale échappe au déterminisme de la distorsion fautive.le-fou-3

 

Ignorant,  par habitude de pensée liée au dualisme, à la dichotomie, les Occidentaux estiment que les troubles mentaux relèvent d’une autre application que l’établissement d’un lien pathologique avec la « faute de mentalité. »

 

C’est là qu’intervint le Professeur Baruch, psychiatre éminent, membre de l’Académie de Médecine,  qui diagnostiquant la relation entre troubles mentaux, et mentalité,  jugera que tout commençant par une distorsion principielle, celle-ci s’inscrira dans la définition d’une maladie transmissible qu’il conviendra de soigner.le-fou-4

 

Il y a des comportements familiaux fautifs où, par exemple, le vol est banalisé, les fautes sexuelles habituelles commises sans la conviction que, non résolus, les problèmes pourront sauter la  présente génération mais jamais disparaître.

 

Tout devra commencer par la capacité à VOIR qui  s’exerce  par le VIDOUÏ, technique permettant de prier en se rattachant au sens authentique de « prier » L’EÏTPALEL se juger !  le-fou-5

atheisme 5En acceptant l’Acte d’Emancipation, (sept 1791) les Juifs accordèrent à l’Etat laïc ce qu’ils avaient   farouchement refusé à la monarchie absolue de droit divin : LA CONVERSION !

 

   l’Emancipation, par une promotion exclusivement interne,  sacrifiait la possibilité de relever la « nation juive ». Cela s’opèrera malgré tout  par devers elle !  L’Emancipation donnera force et vigueur au sionisme en dépit de ses intentions.  Et Talleyrand, Portalis, Barnave étaient des Juristes éminents qui savaient que  par effets collatéraux l’Emancipation pouvait redonner de la vigueur  au seul danger qui depuis Constantin obsède la chrétienté : la constitution (la reconstitution) de la nation Judéenne. Ce relèvement sera d’actualité quand la mode sera aux nationalismes

 

La laïcité, la République et la Démocratie feront plus qu’il n’y paraît  pour empêcher  la nation Juive de naître   On ne restaure pas le droit sur une part sacrifiée de soi-même !

 

 

  Voici, un royaume qui décide que ses Juifs ont les mêmes droits que les autres citoyens,  mais que ceux-ci ne sauraient cependant aller jusqu’à permettre de recouvrer la conscience citoyenne ou l’autonomie politique ravis par les Romains. Il eût fallu pour  cela reconnaître l’exil des Juifs.  Par ailleurs, nous savons que le « la nation Juive » était la première « émotion » que suscitait Israël. Il est curieux que les Juristes et Conventionnels qui assirent le monde moderne n’aient pas pensé à se prémunir contre le » danger »  que représentait la déviance judeenne nationaliste.

 

 

 

 Somme toute, l’Emancipation fut le traitement symptomatique qui n’eut pas l’envergure d’aller jusqu’aux causes effectives du mal. Prendre le mal en surface n’a fait que renforcer le réflexion qui débouchera sur la conscience du problème à affronter  Notons l’extrême indigence de l’apport des Juifs de France au sionisme. Les Juifs de France crurent en la France. Le Renouveau Français pouvait avoir quelque ressemblance avec le sionisme mais de là à le confondre…

le salut vient

Ces propos traduisent les limites de 1789 qui entendait maintenir  au-delà de la Déclaration des Droits de l’Homme, l’esprit qui  prévalut à propos des Juifs en terre chrétienne.

 

Avec une nuance à ne pas perdre de vue toutefois. Sauf dans les milieux radicaux et fondamentalistes, cette opinion, quand bien même, réservée à l’égard du peuple Juif ne s’accompagnait pas nécessairement de manifestations antisémites.

 

.On considérait que la promotion que fut l’Emancipation était bien réelle, à condition que les Juifs jouassent le jeu. Pour Clément Tonnerre et Cie accepter de faire bénéficier les Juifs des avantages consentis aux autres Français suffisait à lever toute suspicion  d’antisémitisme que pourrait suggérer l’opposition à la Nation Juive. Et l’on avait raison.

 

La France de 1789  estimait devoir relever les Juifs, pas de ressusciter la Nation Judéenne ! Elle estimait que « rehausser » la condition juive était la REPARATION suprême.

 

Agissant dans le cadre de la PAX ROMANA, Clermont Tonnerre imposa une paix à son image. Il ne se préoccupa nullement de déterminer l’importance que prendrait le réveil de la Nation Juive au XIX ème siècle. A-t-il fauté ? On pourrait lui opposer de ne pas être un visionnaire, au nom du principe que « gouverner c’est prevoir »

 

 

 

Il faut bien reconnaître que, dans ces conditions, la France a réussi, là où d’autres se sont fourvoyés ! Être antisioniste, SANS DEVENIR ANTISEMITE. Mais cette France n’est plus et,  en 2016, être antisioniste est manifestement le signe d’antisémitisme!

     chantParce que l’hymne n’est pas un discours qui s’adresse à la raison. Il n’est pas, non plus, l’affirmation d’un credo. Il n’édifie rien. Il n’articule pas un projet politique, même si…Il ne proclame pas une vérité souveraine incontestable et  incompressible!

 

Alors quelle est sa raison d’être, tout en sachant bien que  le réciter, c’est le défigurer! « Allons enfants de la patrie »est d’abord un chant. Il y a peu j’ai compris pourquoi la tradition juive interdisait à un homme d’écouter une femme chanter. Je  l’ai immédiatement relié à notre question.

 

Le chant relie celui qui chante ou écoute à la  partie la plus dissimulée de lui même. Au delà des paroles, chanter c’est courir le risque d’exciter le pire ou le meilleur. 

 

Parce que le chant court circuite les transmissions habituelles de la pensée. Il va très vite, saute les obstacles, et transmet des émotions plus qu’il ne facilitera la réflexion.

 

Quelque chose est atteint. Le meilleur, le pire? C’est l’histoire et rien que l’histoire qui répondra! Chanter l’hymne national c’est exalter le « corps mystique de  la Nation. » C’est faire du spiritisme laïc. C’est pourquoi beaucoup ont le sentiment du sacrilège quand ils assistent à des manifestations d’irrespect.

REPRODUCTION INTERDITE / EUROPE iSRAEL et juif.org

 

 

explosionLe Président Poutine ne s’encombre pas !  Refusant des faux débats où l’évidence serait niée, il se retourne contre les  détenteurs d’explosifs ayant caché dans un lieu de culte des engins meurtriers.

 

En effet, dans « Résistance républicaine » sous la plume de Paméla Geller, nous apprenons que, près de la ville de Samara, en Russie, les autorités ont fait   « exploser »  « les lieux mêmes » où étaient  entreposés   des engins meurtriers.

 

 Ne prenant aucun risque avec une manipulation dangereuse, les Russes inaugurent ainsi un radicalisme offensif sans concession  Ils  confirment que, pas plus la disproportion que le crime contre l’humanité ne sauraient être opposés à une réaction de légitime défense.

 

« L’Etat d’urgence Français paraît réticent a cette perspective. En étant magnanime avec les terroristes ne risque t-on pas d’encourager le crime ?

 

Les Russes viennent de donner leur avis !

   coup-detatIl est juste de soutenir que les moments qui jalonnent notre quotidien nous apparaissent relever de l’épopée. L’itinéraire qui conduisit Ben Gourion de sa Pologne natale à la fondation d’Israël ou le parcours très éloigné du respect des règles démocratique, qui transforma de Gaulle en pourvoyeur d’un destin qui s’imposait comme irrépressible, impliquent plus qu’il n’apparaît que soit prise en considération la question : Les grands hommes suscitent-ils  les grands moments ? »

 

C’est-à-dire, la « taille, l’épaisseur » d’un homme d’Etat peuvent-elles suffire  à susciter des engagements hypothéquant l’avenir ? Ou, est-ce le cataclysme inévitable qui jouera le rôle d’appel à la grandeur et jettera l’homme de l’histoire sur la scène?

 

IL Y A MOYEN DE LE SAVOIR ! C’est lorsque les critères de  choix sont bouleversés. Lorsque le pouvoir est détenu par des hommes que rien  ne désignait à la magistrature suprême, Quand les hommes de pouvoir inspirent plus qu’ils ne convainquent .

Lorsque des carrières sont niées et que des vocations s’imposent. La singulière stratégie du « coup d’Etat » devient acceptable et annonciatrice.  Dire : VENI, VIDI  VICIT  indique la volonté de rébellion. Et ceux qui mettent en doute s’ils ne sont pas garantis d’être grands, ouvrent la porte à la volonté, vecteur de nouveauté !

Le caractère durable de l’épopée, la place grandissante d’Israël, l’élection à la Maison Blanche d’un Président  « prometteur » invitent les hommes nouveaux à se manifester.

Dans « Alternativ international » sous la signature de Jonathan Cook, les Arabes d’Israël ne peuvent éviter que leur position soit examinée au regard de la cohérence citoyenne et qu’elle génère de nombreuses réserves. Les trois grands partis politiques Arabes représentés à la Knesset ont deux objectifs contradictoires. D’abord, ils entendent promouvoir, l’objectif est prioritaire, la réalité palestinienne. Secondairement, ils déclarent lutter pour la reconnaissance de leurs droits, au sein de la réalité Israélienne.

 

Si le premier objectif implique une donnée rédhibitoire, se suffisant en elle-même pour  bloquer toute avancée, le second laisse entrevoir la possibilité démentie de collaborer avec le sionisme, perspective à objectif essentiellement démagogique.

 

Le militant Juif d’Europe Centrale, membre du Congrès sioniste, regarde-t-il, avec la même fierté son passeport Israélien que ne le ferait un citoyen Arabe de la Nation Juive ? Il est, manifeste, qu’au travers des motivations,   s’insinue une hiérarchie de facto qui ne permet pas de classer dans la même appartenance Bargoutti, député Arabe et, tel fils ou petit fils de militant sioniste ! En effet, « Selon que vous soyez Juif ou Arabe la cohérence nationaliste avec implication nécessairement sioniste colorera votre participation à la vie de la nation, d’un rationalisme efficace. Dans le cas opposé vous persévèrerez dans l’incroyable acceptation de soutenir le principe de la députation dans un Etat que vous ne « reconnaissez pas ! »

 

Le problème n’est pas posé par l’adéquation des principes mais par le sens des mots. En Mai 1948 par exemple, les Arabes d’Israël prirent les armes  pour en chasser les sionistes, pas pour édifier les structures qui permettront d’édifier un Etat Juif.

 

L’abus de langage est « criant » ! Si le député « représente » la Nation, quelle  est la nature du  mandat confié    par les citoyens Arabes d’Israël à ce même député ? Etant entendu et rappelé qu’il n’y a pas de mouvement d’identification de la masse Arabe d’Israël avec le mouvement sioniste !

 

Tant que la validation du retour d’Israël sur sa terre n’est pas « proclamé » par la Nation Arabe, celle-ci ne saurait se prévaloir d’acquis légitimes réservés aux défenseurs du Droit de la nation. Ne pas accepter l’Etat dans lequel on réside est insolite, surréaliste et…stupide !

Parce que ce soi-disant catalogue d’intentions humanistes méconnaît la valeur suprême figurant ès qualité de motivation ultime de mouvements à vocation similaire en apparence : la fraternité !

 

 Longtemps  comparée  au mouvement de libération des Noirs d’Amérique de MARTIN, LUTHER KING, la mouvance palestinienne s’en distingue cependant, tant par la stratégie libératrice que par les recours tacticiens.

 

Le crime, l’élimination physique des Juifs,  s’identifient à une longue histoire illustrée, entre autres, par l’amitié qu’entretenait le mufti de Jérusalem, parent de Yasser Arafat avec Adolph Hitler.

 

Le leader noir estimait, par contre, que l’étape qui finaliserait la confrontation raciale entre blancs et noirs, serait la reconnaissance des droits de la minorité noire. Dans tous ses discours, une seule recherche alimente la querelle, la conviction que « tous les hommes sont frères ! »

 

Avons-nous entendu une seule fois pareille confession d’un leader palestinien ?

 

Comparer ces deux manières de voir l’histoire, c’est insulter la mémoire de Martin Luther King.

martin-luther-king  L’Humaniste

 

La cause palestinienne n’a pas de légitimité                                                                                                 yasser-arafat

 

      triniteIl faut nourrir méfiance et suspicion pour toute proclamation limitée au seul domaine des prérogatives divines. Car, la notion d’exemplarité, complexe et subtile, dispose d’un arsenal offensif novateur et singulier. Découvrir que le principe d’unicité entraîne l’homme au devoir « d’imitation » est une « tentation » souvent fatale contraignant l’homme à évoluer dans une dimension où l’implication du sacré expose l’homme à de sévères déconvenues.

Ainsi en est-il de la vérité dogmatique de la Trinité. Initiée par Tertullien, la Trinité se présente comme soutenance du principe selon lequel l’unicité divine serait constitutive de trois affectations spécifiques, pouvant, le cas échéant, agir au nom de la seule fraction représentée.

« Face à la révélation de la Trinité, il ne nous est pas demandé seulement le silence mais aussi la stupeur et la joie, car il s’agit, oui, d’une réalité inaccessible, infiniment plus grande que nous, mais aussi d’une réalité lumineuse: elle éclaire l’homme dans son esprit et dans son cœur, dans la contemplation et l’action.

         Cette révélation ne vient pas simplement satisfaire notre besoin de connaître Dieu; elle touche directement au destin de l’homme et de la création. Le salut, en tant que communion d’amour entre Dieu et l’homme, reflète les caractères des deux interlocuteurs qui la constituent: Dieu et l’homme. Alors l’homme ne peut être compris sinon à partir de Dieu: fait à l’image de Dieu, il est façonné sur le Christ, image parfaite de Dieu (Col 1,15). Les questions et réponses sur Dieu sont donc d’une importance fondamentale pour comprendre l’homme. 

            En connaissant le Père (l’Aimant[2]), le Fils (l’Aimé) et l’Esprit (l’Amour), nous entrevoyons que, dans son intimité la plus profonde, Dieu est dialogue, une vie d’amour entre trois Personnes. C’est ici que réside l’originalité de la conception chrétienne de Dieu, et c’est ici que l’homme trouve l’explication la plus vraie sur lui-même. » (extrait de ZENIT, le  monde vu de Rome)

 

 

Il est établi que ce principe ne peut être regardé que sous le biais de l’exemple donné. Or, quelle incidence historique peut tenir face à l’exemplarité de la Trinité ? Comment l’homme peut-il donner sens à sa vie si la Trinité est d’abord exemple ?

 En regardant  toute espèce de rapprochement historique, en l’occurrence politique, comme manifestation attestée de cette vérité théologale. Dans ces conditions la conscience politique n’est pas, accessoirement une potentialité plurielle, mais sa multiplicité doit être vue comme injonction morale absolue qu’encourage, sans défaillance le mystère de la « très sainte trinité. »

Monsieur, je suis chrétienne (née juste après la guerre) et j’ai un amour immense pour les Juifs, Peuple de mon Dieu et pour Israël,  Terre de mon Dieu. Je ressens une grande souffrance quand je lis ce qui s’est passé et, même si je ne puis rien faire d’autre, je vous dis Dieu a recueilli chaque larme.

Je vous demande pardon pour tant de malheurs même si je n’en suis pas responsable. J’ai tellement honte de savoir que des Français ont fait cela. Mais la justice de Dieu vient sur la France en ce moment, car nous avons « touché à Son Peuple ».
Joelle-Anne FABRE

En réponse à mon article reproduit ci après: « Au nom de la France, ils ont osé! »

 Remerciements à André   Hochberger 11-400-enfants-Juifs-deportes-de-France

 

(1)ochberger, ex directeur de l’Ecole Gilbert Bloch dOrsay qui m’a envoyé des « photos  tellement pas  photos, » qu’on croit reconnaître des  visages, des silhouettes, des rues, des immeubles.

https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/1558c15f91dca1c1?compose=new&projector=1

 

Des photos si pleines de vie, qu’on ne peut empêcher le « nez » d’être aux premières loges et de se « prendre » une bouffée de cet air si singulier fait de vieux café, de vieux bois, de vieux immeubles, bref, cet air de Paris, qui, quand il remonte du  pancréas vers la gorge, laisse cet arrière goût de bonheur qu’on était en hâte d’avaler jusqu’à étouffement.

 

A cette époque,  la France  était encore la France mais les photos qui suivent  sont des malheurs  que la France a voulus. Laval, le sinistre, n’a-t-il pas alourdi de l’exigence française, la déportation des enfants ?

 

Mais je me tais ! Et je relis mon titre ! Je ne vois guère matière à corriger, parce que  ’s’il y a lieu de juger. corriger c’est souvent pardonner !

 

France, ces enfants avaient confiance en toi ! France tu as piétiné l’héritage de tes pères. France tu as bafoué les droits que tu jurais d’imposer au monde. France, TU as trahi tes Juifs !

 

varsovie 2

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      proletairesCertes le monde change.  Il est, tout de même, stupéfiant qu’une puissance libérale de la taille de la France, conserve au  parti Communiste une place qu’elle  est seule à maintenir en Europe.  Nombre d’entre eux, il est vrai, eurent, lors de l’occupation et de la collaboration qui suivit   une attitude  courageuse et héroïque. Mais ce consensus accepté vaut presque  témoignage que « certains Français » ont cru que la Russie communiste serait la mère de « lendemains qui chanteraient ! »

Que serait la Résistance Française et ses divers maquis sans la participation de ses composantes communistes ?

A-t-on oublié cependant les bases motivantes de l’extrême gauche?perdu de vue qu’après la guerre on s’attendait à ce que la prochaine confrontation militaire interpelle les forces révolutionnaires anti-libérales qu’elles soient constitutives d’un pays ou non ! La guerre froide était une terreur dont il fallait s’accommoder les faveurs ! 

Qui aurait pu prévoir que le « rideau de fer » serait pulvérisé dès que l’Empire Soviétique accorderait un soupçon de liberté qui ne pourrait endiguer les flots déferlant, d’une liberté qu’on étouffait depuis 1917 ?

Et pourtant, rien n’y fait. Les communistes sont là, même s’ils professent une idéologie dépassée. Staline a pu proclamer, recevant le premier ambassadeur d’Israël : « Les Juifs ont déposé au cœur de chaque homme cet idéal de paix sociale qui a fait de tous  les réformateurs sociaux les continuateurs des prophètes d’Israël ».  Après cet aveu « du petit père des peuples  le parti communiste est devenu,  malgré tout, antisioniste par manque d’ambition,  de volonté et de fidélité.

Que l’Etat d’Israël veuille poursuivre son caractère de spécificité juive, il n’en faudra pas plus pour alimenter ce vieil antijudaïsme qui, naturellement se transformera comme tous les bourgeons antisémites affirmés ou non en « tartes à la crème antisioniste ! »

Car, le Parti Communiste reste attaché dans la mémoire des alliances  à la collusion bolchévique à laquelle son détachement consommé ne suffit pas à chasser la suspicion . Mais certaines idées sont tenaces.  Et à part ce vieil ennemi judaïque de toujours, dont on hérita avec les pères fondateurs et auquel   on réagissait en Russie tsariste   par le pogrom ou les vagues d’arrestations arbitraires, le Parti Communiste n’a guère de nouvelle croisière à envisager. Aussi, reste-t-on antisioniste en attendant que le paysage s’éclaircisse ! 

communisme-2

Certes, si l’ambition manque de conviction, elle peut encore séduire quelques rescapés de l’antisémitisme de jadis, prêts à « manger » du Juif sioniste, sous la houlette du parti, comme de bien entendu !

                  ussichkinLes « Bondieuseries » au placard, MENAHEM USSICHKIN parle, s’identifiant  à tous ces vibrants plaidoyers, qui,  tant au XIXèm qu’au XXèm siècle  zèbrent le ciel d’exil d’authenticité ; C’est un de ces textes que je voulais vous transmettre, parce que on est peu interpellé par l’âme Juive. Aussi, quand elle est là, on se lève et on écoute ! A méditer par les responsables et les… irresponsables !

De Renée Néher Bernheim, « Feu vert à Israël » page 27. Editions Louis Musin.

De:

MENAHEM  USSISHKIN  Délégué sioniste aux côtés de Haym Weizmann,  à la conférence de la paix, ce discours qu’il tint à prononcer dans un hébreu impeccable devant un parterre de Ministres :

« Au nom de la plus importante des Communautés juives, celle de Russie, je suis devant vous, dirigeants du monde, pour formuler ici la requête historique, du Peuple Juif :

 le laisser revenir dans ses frontières,  redonner aux enfants d’Israël le pays qui leur a été promis, il y a quatre milliers d’années par la PUISSANCE SUPREME ? LE PAYS Où NOS ANCËTRES ONT HABITE    ET Où ils ont créé une culture magnifique et éternelle, au sein de laquelle, plus tard, toutes les Nations de la terre ont puisé le meilleur de leurs richesses spirituelles.

 

Le pays a été par la violence arraché aux Juifs, il y a mille huit cents ans par les Romains, les maîtres du monde de l’époque. Le peuple juif fut exilé de son pays et dispersé à travers le monde.

 

Et moi, aujourd’hui,  fils de ces exilés, au nom de mon peuple mutilé, je viens devant vous, qui êtes les héritiers à la fois politiques et culturels des Romains, pour vous formuler ma requête. RESTITUEZ-NOUS l’objet de ce brigandage historique

                                     ______________

OUI, IL FALLAIT DU COURAGE ET SURTOUT A UN JUIF DE RUSSIE HABITUE DEPUIS DES GENERATIONS A ÊTRE OBJET DE RISEES ET A ËTRE TRAITE EN PARIA QUAND CE N’EST PAS EN MARTYR ,  POUR OSER VENIR ET PRENDRE LA PAROLE DEVANT LES MINISTRES DES AFFAIRES DES PLUS GRANDES PUISSANCES

  

                   

A Nazi SS-man inspects a group of Jewish workers in April 1943 in the Ghetto of Warsaw. In November 1940, the Germans established the Warsaw ghetto. The Jewish population still living outside was brought inside the special area, and the Polish living within the designated ghetto boundaries were ordered to move out. On November 15th no Jew was allowed to leave the Jewish precincts. In the Summer of 1942, about 300,000 Jews were deported to Treblinka. When reports of mass murder in the killing center leaked back to the ghetto, a surviving group of mostly young people formed an organisation called Z.O.B. (Zydowska Organizacja Bojowa, Jewish Fighting Organisation) calling for the Jewish people to resist. On April 19, 1943 the Warsaw ghetto uprising began after German troops and police entered the ghetto to deport its surviving inhabitants. Seven hundred and fifty fighters fought for nearly a month. But on May 16, 1943, the revolt ended The Germans had slowly crushed the resistance. Of the more than 56,000 Jews captured, about 7,000 were shot, and the remainder were deported to killing centers or concentration camps. (FILM)  AFP PHOTO

A

FAIRE PAYER SA VIE DU PRIX ULTIME N’A PAS D’EQUIVALENT DEPUIS L’OCCUPATION ROMAINE ! Et encore, il y avait espoir ! Mais à Varsovie, c’était la mort assurée. C’est  une page nouvelle qu’écrira Anielewitche et ses compagnons.  Le SAVOIR c’est comprendre : POURQUOI, EN QUOI et PAR QUOI la génération « AUSCWITZ TEL AVIV » est la plus grande de l’histoire ! Bien Plus grande que NAASSE VENICHMA !

En appelant « au secours » le général Jurgen Stropf et ses avions, contre l’insurrection armée du ghetto de Varsovie    Hitler, savait que résister dans  la conception juive,  c’est bien plus opposer une façon de vivre qu’une résignation à mourir. Et les insurgés du ghetto en prenant le parti de la lutte jusqu’à la mort,  décidaient d’écrire une page nouvelle de l’histoire juive. Cette page  , pour novatrice qu’elle fût gardera son pendant dans des initiatives sionistes,  absurdes en apparence, car l’homme n’aime pas faire quand il se croit incapable de prévoir! Savoir n’empêche pas de faire, même si faire entraîne l’inévitable sacrifice !varsovie-4

  Par l’inexistence de motifs la fondant.  Que l’aviation du Reich ait été requise pour une issue connue de tous, confirme que la résistance juive ne se rendrait jamais. 

Cet apport inconnu jusqu’alors accordait  dans la vision ju un questionnement. La résistance armée du ghetto  indique au-delà du cadre même du ghetto où elle naquit que  «des temps nouveaux sont bien là ! » Des temps où les visions classiques, les clichés galvaudés  doivent être abandonnés. Que des Juifs  s’arment, est déjà en soi une incongruité mais que les Juifs décident de lutter, sachant que la mort les attend à Varsovie, va dessiner les contours d’une identité que rien ni personne ne laissait entrevoir.

 Choisir la mort n’est pas un cheminement Juif. Sauf si le choix  de la mort s’inscrit dans un processus où il témoigne que ne pouvant vivre sans la  dignité, impose la mise à jour des priorités.

  En effet, Varsovie, ouvre la page du REFUS JUIF ! Sentons l’insubordination du mot ! A part Massada ,  nulle équivalence ! Rien n’égalera le paroxysme de la génération qui part ! L’histoire Juive démarre de nouveaux horizons et de la même façon qu’Israël se remet en question en refusant de payer n’importe quel prix à la conservation d’une existence indigne, les nations prennent la mesure, « Qu’il y a un temps pour pleurer et un temps pour rire ! » Et qu’apparemment, ce serait folie que de croire que le temps des larmes n’a pas cessé !

 

varsovie-1 FAIRE PAYER SA VIE DU PRIX ULTIME N’A PAS D’EQUIVALENT DEPUIS L’OCCUPATION ROMAINE ! Et encore, il y avait espoir ! Mais à Varsovie, c’était la mort assurée. C’est  une page nouvelle qu’écrira Anielewicz et ses compagnons.  Le SAVOIR c’est comprendre : POURQUOI, EN QUOI et PAR QUOI la génération « AUSCWITZ TEL AVIV » est la plus grande de l’histoire ! Bien Plus grande que NAASSE VENICHMA !

varsovie-4

En appelant « au secours » le général Jurgen Stropf et ses avions, contre l’insurrection armée du ghetto de Varsovie    Hitler, savait que résister dans  la conception juive,  c’est bien plus opposer une façon de vivre qu’une résignation à mourir. Et les insurgés du ghetto en prenant le parti de la lutte jusqu’à la mort,  décidaient d’écrire une page nouvelle de l’histoire juive. Cette page  , pour novatrice qu’elle fût gardera son pendant dans des initiatives sionistes,  absurdes en apparence. Savoir n’empêche pas de faire, même si faire entraîne l’inévitable sacrifice !

 

  Par l’inexistence de motifs la fondant.  Que l’aviation du Reich ait été requise pour une issue connue de tous, confirme que la résistance juive ne se rendrait jamais. 

A Nazi SS-man inspects a group of Jewish workers in April 1943 in the Ghetto of Warsaw. In November 1940, the Germans established the Warsaw ghetto. The Jewish population still living outside was brought inside the special area, and the Polish living within the designated ghetto boundaries were ordered to move out. On November 15th no Jew was allowed to leave the Jewish precincts. In the Summer of 1942, about 300,000 Jews were deported to Treblinka. When reports of mass murder in the killing center leaked back to the ghetto, a surviving group of mostly young people formed an organisation called Z.O.B. (Zydowska Organizacja Bojowa, Jewish Fighting Organisation) calling for the Jewish people to resist. On April 19, 1943 the Warsaw ghetto uprising began after German troops and police entered the ghetto to deport its surviving inhabitants. Seven hundred and fifty fighters fought for nearly a month. But on May 16, 1943, the revolt ended The Germans had slowly crushed the resistance. Of the more than 56,000 Jews captured, about 7,000 were shot, and the remainder were deported to killing centers or concentration camps. (FILM)  AFP PHOTO

Cet apport inconnu jusqu’alors accordait  dans la vision ju un questionnement. La résistance armée du ghetto  indique au-delà du cadre même du ghetto où elle naquit que  «des temps nouveaux sont bien là ! » Des temps où les visions classiques, les clichés galvaudés  doivent être abandonnés. Que des Juifs  s’arment, est déjà en soi une incongruité mais que les Juifs décident de lutter, sachant que la mort les attend à Varsovie, va dessiner les contours d’une identité que rien ni personne ne laissait entrevoir.

 

 Choisir la mort n’est pas un cheminement Juif. Sauf si le choix  de la mort s’inscrit dans un processus où il témoigne que ne pouvant vivre sans la  dignité, impose la mise à jour des priorités.

 

  En effet, Varsovie, ouvre la page du REFUS JUIF ! Sentons l’insubordination du mot ! A part Massada ,  nulle équivalence ! Rien n’égalera le paroxysme de la génération qui part ! L’histoire Juive démarre de nouveaux horizons et de la même façon qu’Israël se remet en question en refusant de payer n’importe quel prix à la conservation d’une existence indigne, les nations prennent la mesure, « Qu’il y a un temps pour pleurer et un temps pour rire ! » Et qu’apparemment, ce serait folie que de croire que le temps des larmes n’a pas cessé !

                   colon-1Il est essentiel de d’estimer une vision comparative au regard des nouvelles appellations contemporaines d’Israël, que celles ci relèvent de la renaissance historique ou de la permanence de faits ayant rapport avec la civilisation.

 

Il ne viendrait à l’esprit d’aucun observateur de désigner les Corses, les Guadeloupéens ou les Martiniquais. de « colon »  Et pourtant un « colon » est un immigré ou  un descendant d’immigrés. La définition du mot renvoie à un statut qui, pour le mieux, désigne le colon comme un « occupant » provisoire.

 

                 colon-2Les réserves considérables du « capital » linguistique antisémite ont basculé en tout domaine où ils pourraient prendre un sens et concerner la nouvelle manière d’être Juif, à savoir se définir au regard de la renaissance historique. C’est ainsi que, très peu de temps, après la naissance d’Israël  et, par un consensus, largement convenu, tout comme il fut habituel pour les fils et les filles des classes dirigeantes de faire « séjour » en Israël, il fut un usage établi de s’associer aux « pionniers »Juifs.

 

La vision a radicalement changé! Et la « vocation antisémite » largement déplacé les indices théologiques qui l’avaient engendrée. Désormais et, depuis la Guerre des Six Jours, on reprend goût aux définitions qui,  pour être manifestement sulfureuses n’en conservent pas moins ce « goût d’Occident »auquel on s’est habitiué et  qui oriente et détermine   les éléments au seul regard de l’appréciation de « voleur de la terre Arabe.

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Dire que les Israéliens sont des colons, c’est leur ravir, avec des mots certes, mais, c’est une étape, un droit que dans leur candeur ils avaient imaginé consacré depuis 1948!

 

DIFFUSION INTERDITE A www.juif.org  et www.europe israêl.

 

 

                                 eric-zemourCommentant sur RTL une de ses dernières parutions, Eric Zemour, fait état d’une information stupéfiante: L’implication de TSAHAL dans la lutte que mène la France contre l’islamisation.

Zemour n’y va pas avec le dos de la cuillère: les lois sur le respect de la laïcité ne sont pas appliquées, la progression endémique de l’Islam sur certaines zones de non droit est lourdement préjudiciable.  Le tout reposant sur une donnée qu’il faut rappeler, selon Eric Zemour:  l’irrépressible incompatibilité de  l’Islam et de la République. La réaction doit être à la mesure du danger: FULGURANTE! Elle porte déjà un nom, toujours, selon Eric Zemour:  » OPERATION RONCES! »

Quel que soit le crédit à apporter à l’information que relaye RTL, la plus  grande prudence est requise, avant toute utilisation éventuelle,  car il n’aura  échappé à aucun observateur,  que l’information est de nature à constituer un facteur supplémentaire d’importation du conflit israélo-arabe en France.  Déjà menacés  par divers et multiples  courants radicaux,  les Juifs de France risquent de payer, une fois de plus,  la facture pour la propagation  de cette information dont ils se seraient bien passés assurément.

De plus,  la sympathie naturelle dont bénéficie l’Etat d’Israël et que témoignent  à chaque occasion les divers leaders Juifs était de nature à susciter une plus grande vigilance  pour une information qui, fondée ou pas,  est de nature à renforcer les pressions diverses qui, de l’islamisme au christianisme fondamentaliste en passant par des courants idéologiques radicaux, constituent le regrettable environnement de la Communauté Juive de France.

Cette information si elle était fondée, devait être transmise, par les services de la présidence de la république ou par le Bureau du Premier Ministre Israélien.

PAS, PAR ERIC ZEMOUR!

 

 

 

 

 

                            rabbin l de fLa loi rabbinique a-t-elle les moyens de devenir  une aide au renforcement des structures de l’Etat ?  

 

Ayant pris acte que parmi les options retenues, les communautés rabbiniques s’abstinrent dans leur majorité de retenir l’option préconisée par Théodore Hertzl, s’en suivit une importation d’habitudes, d’usages et de comportements qui, au fil du temps, oubliant le passé s’inscrivirent comme « parties de gouvernement »

 

Si le sionisme politique est passé de la conscience exilique, religieuse ou non, à la « conscience citoyenne » il en fut différemment pour le monde rabbinique qui est passé avec tous ses « bagages,  » d’un sionisme théologique,  dont il importait de suivre l’exemple,  à une autre forme de sionisme, différent selon quelques apparences  seulement, du conservatisme du ghetto ou du mellah.

 

Et c’est là que le bât blesse !

 

 Car ce Judaïsme de l’exil  dont les sages disent que le « maintien des mitzvots n’a d’obligation que pédagogique, afin de  se rappeler comment faire, une fois revenus sur la terre d’Israël » ou, pour aller plus loin « que le plus grand des sages vivant en exil se comporte comme s’il n’avait pas de D.ieu » et, pour conclure que « le plus grand des mécréants vivant en terre d’Israël a plus de mérite que le Juste vivant en exil » imposait une approche comportementale différente qui n’a été l’objet d’aucune considération !

 

Car, si nous allons plus loin dans les sous-entendus, nous ne serions pas loin de conclure, que « hormis la terre d’Israël » il ne saurait y avoir place au sacré !

 

Nous devons prendre acte que cette façon inadéquate de faire « Juif » devenait inappropriée chez les « sionistes politiques » qui ne purent s’empêcher d’appréhender   que l’identification à ces Juifs de l’exil ne permettait pas,  selon l’adage familier de faire « du neuf avec du vieux qui fait d’exil, n’avait d’autre ambition que de s’y maintenir !

 

Pour trouver sa place et tenir son rang, on pouvait s’attendre à des Etats  généraux de la Condition Juive qui auraient pris en compte la volonté légitime de l’adaptation.

 

Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire !

                              rabbin 1Les  Nations apprennent du caractère intemporel de la terre d’Israël que les « Judéens nouveaux » sont indéracinables ! Ce n’est pas gratuit qu’elles préfèrent « TERRE SAINTE » qui elle aussi est une intemporalité,  mais indépendante d’Israël!

 

Le peuple Juif est « indéracinable » de sa terre car,  ignorant la  « patrie », pour la « terre de sainteté » ils confèrent à la terre un statut de partenaire ! On a tout essayé, vraiment, mais aucune perspective n’est en mesure de confirmer que « déraciner » les Judéens est possible.  Parce que tous les peuples, sauf, peut être, « l’éminente » fraternité vaticane,   ignorent que le lien à la terre, implique chez les Juifs même agnostiques, une dimension singulière, assez proche de l’irrationnel, mais n’y relevant pas,  celle du sacré !

 

LORSQUE LES TITULAIRES DU DROIT DE POSSESSION PERDENT leur droit â la terre,  c’est cette dernière qui devient l’instrument de justice ; il est écrit : « ELLE TE VOMIRA »  La terre est PLEINEMENT SUJET DE L’ACTION ! C’est elle qui vomit et Nul autre en son nom !

BLAISE

MALHEUR A CELUI QUI INVENTERA UN ENFANT POUR CACHER L’ANEANTISSEMENT D’UN ENFANT JUIF!

 Shoah est là avec son cortège de fatalités, très proche encore des barbares et des « Français » qui trouvèrent en leurs complices l’opportunité  d’un Maréchal de France pour donner le sens du carnaval à la… tragédie!

 

 A l’hôtel  Lutétia, on accueillait  les derniers rescapés venus d’ailleurs. Pendant  que d’autres trains partaient pour une destination nouvelle, celle de l’Espoir d’une autre vie qu’ils se promettaient de construire le regard lourd et la mémoire encombrée par le cauchemar dissuasif de la Solution Finale.

 

Dès le premier jour, ils n’eurent pas même le temps de témoigner  qu’Hitler n’avait pu tenir son pari « Les Juifs nous vaincront ou nous les anéantirons. » MAIS ILS Reçurent  de quoi honorer le leur : des vieux fusils à un coup dont ils firent le meilleur usage puisqu’ils imposèrent la victoire.

 

La Campagne de Suez, la Guerre des Six Jours, Jérusalem enfin Juive. Mais ces combats ne suffirent pas. La victoire restait suspecte parce que les vainqueurs étaient Juifs. Et jamais on n’avait vu les Juifs se battre ! Quant à gagner on laissait ça aux mythes ! On changea de registre.

 En 1975, Israël connut l’ignominie de l’accusation  d’apartheid, accusation qu’on abandonna très vite, mais le grief  laissa des traces dans une mémoire affamée de reproches.  Le répertoire s’envola. Que restait-il ? On commença à s’attaquer à l’âme juive.  Seulement maudite, jusqu’alors, elle devenait objet d’analyse.

 

L’Etat Juif se vit notifier l’obligation de renoncer à la spécificité Juive de ses institutions. Le Premier Ministre Israélien alla expliquer aux sénateurs US pourquoi l’Etat Juif n’y renoncerait jamais. Du coup, stupéfaits, les sénateurs lui firent une « standing ovation » Puis, la promiscuité fut telle qu’on se fourvoya en « priant » le Président du Consistoire d’expliquer que la circoncision ne présentait pas d’incompatibilité avec la République .

 

Le « corps d’Israël », « l’âme d’Israël » !  Même la Shoah est dérision ! RIEN DE CE QUI EST JUIF n’empêchera de rire! Regardez les bien vos larmes encore transparentes. Bientôt elles seront rouges! Que six millions de martyrs ne vous dispensent pas de vouloir recommencer me fait penser à  cette réflexion de Manitou commentant que le « fin des fin » de la gastronomie était la viande faisandée, un rictus de dégoût au coin des lèvres, le maître lança: « Il ne peut être question de dissocier la culture qui est derrière! »

 

CE QUI TROMPE C’EST LE SOURIRE D’ISRAEL MAIS  LA GUERRE TOTALE EST EN COURS ! On ne veut plus d’Israël debout !

 

Publication interdite à :  www.europe israel   et www.juif.org

          JEAN GRENIER 2L’histoire du peuple Juif est inséparable de l’aveu des forces qui en constituent l’ossature. Aussi, prendra t-on garde à  ne pas espérer que l’aveu d’une vertu juive s’accompagnât  de toutes les conséquences qu’on serait en droit d’escompter dans une situation où la comparaison entraînerait d’inévitables effets.

On n’a pas suffisamment réfléchi aux incidences exceptionnelles par lesquels le Judaïsme proclame qu’il « n’est pas nécessaire d’adopter la loi de Moïse pour se prémunir de toute erreur d’orientation » Véritable intrusion insurrectionnelle dans le corpus d’une pensée que Jean Grenier, le maître en philosophie d’ALBERT CAMUS stigmatisa sous la désignation de « l’esprit d’orthodoxie » CETTE MALADIE DE LESPRIT A LAQUELLE LES jUIFS SURENT ECHAPPER!JEAN GRENIER 3

C’est ainsi qu’on se surprend à imaginer, voire à comprendre enfin, l’éternelle stupéfaction par laquelle les Juifs n’opposèrent pas à la « conversion forcée » un prosélytisme de même nature. Il me semble qu’il y a là aveu d’inadéquation, mais surtout, reconnaissance d’une consécration affirmée même par l’absence de questionnement à ce sujet.

ALBERT CAMUS

Pas un livre de théologie, pas un seul discours des Pères de l’Eglise ne renvoie à ce point doctrinal que les Juifs ne peuvent exiger de similitude rituelle des non-Juifs, sans trahir leur vision du monde et de la vérité. UN REGARD ATTENTIF EUT DEMONTRE QUE LE REFUS DE L’EXCLUSIVE REFERENCE JUDAIQUE place les fils de Jacob dans une relation psychologique  singulière avec toute autre civilisation,  où n’attendant rien des autres, tout était espéré d’eux !

jean grenier

On comprend que le reconnaître, c’est le « consacrer ». C’est surtout mettre l’accent sur une confrontation où l’aveu de la suprématie ne cache pas la reconnaissance d’un essentiel déficit !

 

 

rabbin 1Quant Rabbin retourne aux sources, qui peut égaler celui dont David rêva pour porter ses armes! Devant les députés, ce discours n’a fait ni sourire ni imprimer de dépit . Ces députés savaient ce qu’ils devaient à Rabbin

 

 

Une certaine « retenue » n’ose plus tellement se confier à propos de Rabbin. On a tellement entendu de choses qu’on ne sait plus ce qui s’admet, comme on ne sait plus ce qui relève de l’apostasie.

 

Il faut revenir aux textes qui font référence en la matière. Un texte fondamental que souvent on confond avec le dernier discours prononcé par Rabbin deux heures avant de tomber sous les balles de l’assassin. Il s’agit en effet du veritable testament de Rabbin prononcé en 1985 DEVANT LA kNESSETH. le ton surprend. Autoritaire, une autorité naturelle jamais prise en défaut. UNE AFFIRMATION QUI CLAQUE « Jamais Israël  ne reviendra aux frontières de Juin 1967! 

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Les amoureux du « petit détail » ceux pour qui un général en Chef déposant un petit mot dans les replis du Kotel n’est jamais un acte gratuit, apprécieront que l’ancien Chef D’Etat Major de Tsahal, l’organisateur du de l’opération ENTEBE, celui qui prit l’initiative de Bombarder Tunis,   celui dont les palestiniens se souviendront par ce QU’IL A eté le seul  LE SEUL a leur promettre des  » os cassés »,  a  commencé son discours en demandant conformément à la tradition que nombreux soient  les Juifs « inscrits » pour la vie.

 

Et puis celui qui fut traîné dans la boue, celui qui jamais ne lâcha un centimètre de terre, surprend et étonne ceux là mêmes qui hier encore l’accusèrent de pactiser avec le mal et de  promouvoir une génération qui s’était affranchie du sionisme et de la continuité biblique »   Ytsak Rabbin prophétise: Le peuple Juif qui a connu la souffrance et la douleur a également  

A su preserver sa foi son patrimoine et sa tradition pendant des milliers d’années d’exil et  a realise le rêve de la génération   NOUS AVONC AVEC NOS  PROPRES YEUX EU LE  PRIVILEGE DE VOIR LE RETOUR A sion, le retour des enfants à leurs frontières

ICI DANS LE PAYS D’ISRAEL NOUS AVONS ETEBLI UN ETaT  LA TERRE DES PROPhetes  qui a legue AU MONDE LES VALEURS DE LA MORALE LE DROIT ET LA JUSTICE A été APRES DEUX MILLE ANS REstauré SES PRPRIeTAIRES LEGTIMES »

 

Voilà qui nous avons à défendre, et, contre qui? Contre une poignée de fanatiques qui osent mêler Manitou et le Rav kkok

 

rabbin 1Par Daniel Haïk AKADEM

« Moi général Itzhak Rabin, matricule 30743, soldat de

de l’armée de la Paix,

 

 

 

Moi qui ai envoyé des bataillons au feu et des soldats vers leur mort, je vous dis ici, chers amis américains: « Nous entamons aujourd’hui une guerre dans laquelle il n’y a pas de tués ou de blessés, une guerre dans laquelle il n’y a pas de sang et de douleur. C’est la seule guerre à laquelle on aspire à participer: la guerre pour la Paix. » C

 

Ces propos émouvants et pleins d’espoir, Itzhak Rabin les a tenus en juin 1994 devant les deux chambres du Congres Américain réunies pour lui rendre hommage… Moins d’un an après la signature des accords d’Oslo et plus d’un an avant son tragique assassinat par un juif extrémiste. Comment le chef d’état major de la guerre des Six Jours est-il devenu l’artisan du processus de paix d’Oslo et cet homme d’état d’exception … C’est ce que je vous propose de voir ensemble. Il est né le 1er mars 1922 à Jérusalem.

RABBIN 2

Ses parents Rosa et Néhémia Roubitsov sont montés en Eretz Israel au lendemain de la première guerre mondiale. Son grand père maternel, dont il portait le prénom, était un rabbin Loubavitch, originaire de Biélorussie, opposé au sionisme. Mais sa mère, Rosa, s’était dégagée du milieu hassidique pour adhérer à l’idéologie socialiste à tel point qu’on l’appelait alors « Rosa la Rouge ». Elle sera, dès le milieu des années 20, membre active de la Hagana, l’armée secrète juive sous mandat britannique. En 1938, le jeune Itzhak est élève à l’école agricole Kadouri, la plus prestigieuse des écoles du Yishouv. Mais les émeutes arabes, entrainent la fermeture des écoles. La Hagana en profite pour initier les jeunes au maniement des armes.

 

« A l’âge des premiers amours, dira-t-il plus tard, on a mis dans mes mains un fusil afin que je me défende et malheureusement aussi, afin de tuer ». Un premier ministre assassiné Rabin, le soldat de la paix Par Daniel Haïk Texte du cours visible sur www.akadem.org/pour-commencer Novembre 2014 Discours de Yitshak Rabin à la Maison-Blanche lors de la signature des accords d’Oslo en octobre 1994. En 1941, il est l’un des premiers à s’enrôler dans le Palmah, l’unité d’élite de la Hagana. Il est arrêté le 29 juin 1946, par les forces britanniques lors du fameux « Chabat Noir » et il passe cinq mois dans un camp d’internement. En 1947, Rabin devient commandant des opérations du Palmah. En avril 1948, un mois avant la création de l’état d’Israël, alors qu’il n’a que 26 ans, il est nommé commandant de la brigade d’élite Harel, cette unité qui va tenter de forcer le blocus arabe autour de Jérusalem et dont les transports blindés sont toujours visibles aujourd’hui sur le bord de l’autoroute Jérusalem-Tel-Aviv. L’Etat d’Israël nait en mai 1948. Rabin rejoint naturellement l’état major du Palmah à Tel Aviv et il commande les forces sur place. Le 22 juin, en pleine guerre israélo-arabe, l’Altalena arrive au large de Tel Aviv. Ce bateau affrété avant l’indépendance par l’irgoun, le mouvement nationaliste de Menahem Begin, transporte armes et munitions. Mais depuis le 1er juin, l’Irgoun a rejoint sur ordre de Begin, les rangs de Tsahal, la jeune armée nouvellement créée. Dans son livre autobiographique, Carnets de bord, Itzhak Rabin affirmera que sur la plage circulait une rumeur selon laquelle les soldats de l’Irgoun s’apprêtaient à prendre Tel Aviv, un putsch militaire en quelque sorte. Sur décision de David Ben Gourion lui même, Rabin donne l’ordre de tirer sur le bateau rebelle. Le navire est coulé. Bilan: 16 tués, dont 13 combattants de l’Irgoun et trois soldats de Tsahal. Pour Rabin, 1948, c’est aussi l’année de son mariage avec la très jolie Léa Shlosberg. Ils auront deux enfants. Le jeune officier gravit ensuite tous les échelons de la hiérarchie militaire: général en 1953, commandant de la Région Nord en 56. Chef d’état major en 1963. Le 15 mai 1967, les forces égyptiennes ferment le détroit de Tiran et pénètrent dans le désert du Sinaï. C’est un casus belli. Rabin adopte un ton ferme. Trop ferme au goût de certains leaders occidentaux et israéliens qui l’accusent de précipiter le pays dans la guerre. Rabin est affecté par ces critiques.

 

Se situe alors un épisode court et mystérieux: le 23 mai, il convoque son adjoint Ezer Weitzman et lui annonce son intention de démissionner. Weitzman l’en dissuade, lui conseille de se reposer. On dira ensuite que Rabin a été victime d’un empoisonnement à la nicotine après avoir trop fumé. Il semble bien que l’homme a traversé une dépression aussi profonde que rapide. Quelques jours plus tard il se ressaisit. Le 5 juin au matin, c’est lui qui déclenche l’opération « Drap Rouge » qui entrera dans l’histoire sous le nom  » Guerre des Six Jours. »C’est encore lui, le natif de Jérusalem, qui donnera le feu vert à la conquête de la vieille ville par les parachutistes du colonel Motta Gour. Et c’est lui qui le mercredi 7 juin arrivera devant le Mur Occidental, le Kotel, aux cotés de Moché Dayan et du général Ouzi Narkiss. En six jours seulement Itzhak Rabin a conduit Tsahal vers sa plus grande victoire. Au lendemain de la guerre, et à sa demande, Itzhak Rabin est nommé ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, un poste qu’il occupera de 1968 à 1973. Une période de transition plus paisible qu’il va mettre à profit pour consolider les liens tissés entre Washington et Jérusalem. Durant ces cinq années les Etats-Unis deviennent le principal fournisseur d’armes d’Israël. A partir de 1973 Itzhak Rabin entame une seconde carrière, politique cette fois. Il adhère au parti travailliste. Il est immédiatement propulsé au 20e rang de la liste électorale du parti pour les Législatives prévues en octobre. Mais la guerre de Kippour va retarder ce scrutin, une guerre au cours de laquelle Rabin n’aura pas de responsabilité militaire malgré ses demandes répétées d’être réintégré dans Tsahal. Il est élu député en janvier 1974 et là l’histoire va s’accélérer. Sévèrement mise en cause par l’opinion publique israélienne pour n’avoir pas su prévoir la guerre, Golda Meïr démissionne. (Je vous renvoie au clip de cette même série sur cette période). Rabin brigue sa succession à la tête du parti. Il est élu devançant Shimon Peres. Moins de six mois après ses premiers pas en politique, Itzhak Rabin devient Premier ministre de l’Etat d’Israël !

 

A ce point de l’histoire, marquons une pause pour tenter de mieux cerner la personnalité de l’homme. C’est avant tout un sabra, le premier chef de gouvernement né en Eretz Israel. Et les sabras se reconnaissaient en lui. Ils apprécient son francparler. Y compris lorsqu’il ose qualifier les Yordim (ceux qui quittent le pays pour s’établir ailleurs) de « déchets et chiffes molles ». Ils s’identifient avec son caractère de battant, courageux, incapable de lâcher sa prise et admirent son intégrité sans faille.C’est naturellement, sans grands discours, qu’Itzhak Rabin impose son leadership, d’abord au sein de Tsahal puis sur l’échiquier politique. On disait de lui qu’il était crédible même lorsqu’il n’avait pas séduit. Pragmatique, capable de changer d’avis s’il sentait qu’il avait tort, il persévérait même si son approche n’était pas populaire. Son entourage était impressionné à la fois par sa capacité à initier les plus grands projets et par sa volonté d’en réfléchir les plus infimes détails. Rabin était un « faucon modéré »: à gauche sur le plan social mais plus à droite sur le plan politique. C’était avant tout ce qu’il est convenu d’appeler un « sécuritaire » qui plaçait la Défense d’Israël au dessus de toute autre considération. Tel est l’homme qui devient le cinquième Premier ministre d’Israël le 3 juin 1974. Deux ans après son arrivée au pouvoir, Rabin envoie les commandos de Tsahal jusqu’en Ouganda pour libérer les otages de l’avion d’Air France détenus par des terroristes à Entebbe. Ce sauvetage forcera l’admiration du monde libre et ajoutera au prestige déjà considérable du Premier ministre israélien. Pourtant, quelques années plus tard, le 17 mai 1977, l’incroyable se produit: pour la première fois la gauche israélienne perd les élections. Menahem Begin, celui la même qu’il avait maitrisé sur les plages de Tel Aviv au moment de l’Altalena, forme une coalition de centre droite. Itzhak Rabin devient à 54 ans simple député de l’opposition. Il profite de son temps libre pour publier son autobiographie Carnets de bord qui aura un vif retentissement et dans laquelle il règle ses comptes avec son frère ennemi Shimon Peres: « C’est un manipulateur insatiable » écrit-il avec son légendaire franc parler.

 

La Guerre du Liban et la formation du gouvernement d’union nationale en 1984, le ramène sur le devant de la scène. Il devient ministre de la Défense et réduit au minimum la présence de Tsahal au Liban. C’est à ce poste encore qu’il est confronté à partir de la fin 1987 à la première intifada. La dimension sécuritaire du personnage va prendre toute son ampleur. Il prône une politique de tolérance zéro et appelle les soldats de Tsahal à « briser les mains et les pieds » des terroristes. Il cautionne les arrestations massives et la destruction de maisons palestiniennes. Cette guerre larvée ne prendra fin qu’avec la signature des accords d’Oslo en septembre 1993. En 1992, le Parti travailliste le désigne à nouveau comme tête de liste et remporte les élections. Devenu Premier ministre, Rabin se refuse dans un premier temps à tout dialogue avec l’OLP de Yasser Arafat dont le siège est alors à Tunis. Il préfère les pourparlers bilatéraux de Washington, avec les leaders de Cisjordanie. Rabin reste d’abord très en retrait des négociations secrètes qui ont débuté six mois auparavant à Oslo entre représentants israéliens et palestiniens. Il se méfie des initiatives partisanes de Shimon Peres presqu’autant que de Yasser Arafat. Mais Rabin est, nous l’avons dit, un homme d’état pragmatique. Et finalement, durant l’été 1993, il adhère au processus après être parvenu à la conclusion qu’Arafat est incontournable. Mais il reste sceptique quant aux chances de parvenir à un règlement définitif du conflit et considère qu’un accord intérimaire est plus réaliste. Il exige toutefois d’inclure dans l’accord de principe qui se profile des clauses sécuritaires importantes. C’est cet accord révolutionnaire qui impliquera une reconnaissance mutuelle d’Israël par les Palestiniens et de l’OLP par Israël. Une chose est sure: jusqu’au dernier moment Rabin a hésité à se rendre à Washington pour signer le 13 septembre 1993, cet accord. Tout comme il a hésité devant le monde entier, avant de serrer la main d’Arafat ce jour là à la Maison Blanche… Cet espoir de paix au Proche Orient suscite un véritable engouement dans la communauté internationale. De retour de Washington, Rabin et Peres sont les hôtes du roi Hassan II du Maroc. Et quelques mois plus tard, ils deviennent avec Arafat, lauréats du Prix Nobel de la Paix 1993. Cette atmosphère de réconciliation conduira ensuite le roi Hussein de Jordanie à conclure avec Israël un traité de paix qui sera ratifié par Itzhak Rabin et Bill Clinton en octobre 1994. En dépit de la multiplication des attentats-suicides en 1994 et 1995 et en dépit de la campagne de dénigrement d’une violence incomparable, orchestrée par les radicaux de la Droite israélienne, Rabin progresse dans le processus d’Oslo.

 

En septembre 1995 Il fait voter de justesse les accords d’Oslo II qui prévoient le retrait de Tsahal des grandes villes palestiniennes. Cet accord alimente la controverse entre la gauche et la droite autour du bien fondé d’Oslo. L’opinion publique est de plus en plus sceptique quant au processus de paix. Pour le relancer, la gauche israélienne décide d’organiser le 4 novembre 1995, à Tel Aviv un grand rassemblement sur la place qui pour la dernière fois porte le nom de place des Rois d’Israel. La foule est dense. Rabin et Peres s’enlacent. Tous entonnent avec Miri Aloni la chanson de la paix. A 73 ans, Itzhak Rabin prend, pour la dernière fois, la parole et prononce un discours en forme de testament politique : « La voie de la paix est préférable à celle de la guerre. Et je vous dis cela après avoir été chef d’état major et ministre de la Défense. Je veux que mon gouvernement exploite toutes les possibilités afin de promouvoir cette paix. Cette paix a des ennemis qui tentent de la torpiller. Et c’est l’OLP qui a abandonné la voie du terrorisme. Elle devra remplir sa part du contrat et nous aussi… Ce rassemblement doit prouver au monde arabe et a la communauté internationale que le peuple d’Israël veut la paix…Merci » Quelques minutes plus tard, Itzhak Rabin descend les marches de la mairie de Tel Aviv. Il s’approche de sa limousine. Soudain on entend trois coups de feu sourds… Ses funérailles nationales sur le Mont Herzl réuniront les leaders du monde entier, dans une émotion profonde et manifestement sincère. La paix venait de perdre l’un de ses plus valeureux soldats.

Tsahal et

TERRE PROMISE/   CONNOTATION RELIGIEUSE ANTI JUIVE! Le Juif athée n’aura donc jamais sa place ici.  Il  faut très vite qu’aucun Juif ne soit invité à s’éloigner!

De la Déclaration Balfour  à la Guerre d’Indépendance, et de fin de la seconde guerre mondiale qui réduisit la Solution Finale à l’échec essentiel de l’hitlérisme, tous les ingrédients sont là pour affirmer que  calculs de probabilité, statistiques et déterminismes divers sont une fois de plus, laissés sur le seuil de l’histoire, avec injonction d’inadéquation pour incurie attestée.

 

On n’insistera jamais suffisamment pour dire, soutenir et proclamer  que la « génération de l’enfer »qui vit ses enfants arrachés, en même temps que lui fut extirpée toute velléité de survie déclara, quatre ans après que les crématoires eurent cessé leur diabolique mélodie,  qu’elle accordait à la vie la priorité absolue.

 

Et l’Etat d’Israël naquit!

 

Où ces hommes trouvèrent-ils la force d’entreprendre et l’audace pour mener le projet à ses fins! Quelle montagne  Ben Gourion  gravit-il pour y savoir qu’au sommet resplendissait la Renaissance de Jacob?

 

Le retour de Babylone, dernière étape des retours citoyens, avant que les décisions individuelles et théologiques firent croire que la Alyah d’un rabbin présentait quelque similitude avec celle d’un « sioniste politique », ne s’obtinrent pas à ce prix.

 

C’est à l’époque du plus grand des tourments que fut lancé le projet sioniste! C’est à l’époque de la plus grande   désespérance qu’Israël sut que c’était maintenant ou jamais qu’il fallait trouver le suprême courage.  Et l’on ouvrit le Livre des Supplices. Jetant vers un ciel qu’on crut vide car on ignorait que si  les larmes signalent la détresse solitaire,  les sanglots attestent toujours du malheur partagé.  

Palestine reste la terre promise aux Juifs. » LAMARTINE 1790-1869lamartine (1)

La France avait « ses voix juives »   Lamartine fut l’une d’entre elles, sioniste et cachère  de surcroît ! »

Somme toute, le XIXème fut l’une des périodes les plus fertiles dans le cadre de la confrontation  des apports à la civilisation. LE COUP DE TROMPETTE ANNONCIATEUR FUT CELUI DES « LUMIERES »Puis dégringolèrent sur l’avant scène VICTOR HUGO,CHATEAUBRIAND,LAMARTINE , ET BIEN D,AUTRES éclaireurs annonciateurs de progrès et  d’humanisme. La cavalcade de l’illustre prit faits et causes pour le Juif mais la condamnation  à  l’errance  séduisit PIE XII  qui composa un des derniers ecrits  anti  judaïques du XXème .MYSTICIS CORPORI CHURISTI.

et l’epopee sioniste transforma cette génération en la première rescapée de l’enfer. Qu’opposer à RABBI AKIVA? ANILEWICZ OU ANNE FRANCK,

BEN GOURION OU LE RAV KOOK?

 

L’antisémitisme social ou religieux du XIXème siècle n’a pu contraindre au silence de « grandes et illustres  voix » venues plaider la cause de la réhabilitation d’Israël, tant spirituelle que nationale.  Ainsi,

lamartine  offrit au peuple Juif, un des  plus beaux poèmes qui soient sur la cashroute

LAMARTINE ŒUVRES COMPLETES 16     215

Ces hommes pour apaiser leur faim

N’ont pas assez des fruits que Dieu mit sous leurs mains

 

Par un crime envers Dieu dont la Nature frémit,


Ils demandent au sang une autre nourriture.


Dans leur cité fangeuse, il coule par ruisseaux,


Les cadavres y sont étalés en monceaux.

 

Ils trainent par les pieds, des fleurs de la prairie


L’innocente brebis que leur main a nourrie,


Et sous l’oeil de l’agneau, l’égorgeant sans remords,


Ils savourent ses chairs et vivent de sa mort.

De cruels aliments incessamment repus

Toute pitié s’effaça en leurs cœurs corrompus

Le meurtre  par milliers s’appelle une victoire

C’est en lettres de sang que l’on ecrit la gloire

LAMARTINE

La récente convocation du Président du Consistoire devant la Représentation Nationale afin « d’expliquer le Judaïsme » est offense.

napoleon

D’abord,  comment aveu d’incompétence peut atteindre pareille amplitude.  CHRETIENS POUR LA PLUPART, il sufffisait à ces députés d’ouvrir les EVANGILES POUR APPRENDRE QUE JESUS fut Juif et que la circoncision en question lui fut imposée au huitième jour.

 INTERDIRE LA CIRCONCISION C’ EST D’ABORD  tenter de déjudaïser UNE DES BASES   DE LA CIVILISATION!

   

 VOULOIR une alliance judéo- islamique met sur un pied d’égalité des traditions religieuses qui, pour être proches échappent aux similitudes faciles et restent sans comparaison quant aux attestations citoyennes qui, exigées des citoyens Juifs exclusivement restent offense à la qualité citoyenne.  MAIS LE JUDAÏSME NE SAURAIT S’ASOCIER A quelque volonté artificielle.

 

Quand en septembre 1791, le Décret d’Emancipation accorda aux Juifs des droits identiques à ceux des Français, il imposa le serment par lequel tout Juif devenant Français reconnaissait aux lois de l’Etat un caractère prioritaire sur les devoirs religieux.

 

L’empereur Napoléon 1er alla plus loin dans l’investigation et voulut s’assurer que la pratique religieuse juive ne présentait pas quelque incompatibilité avec les lois de l’Etat. Et il réunit le Grand Sanhédrin à qui furent posées les douze questions:

        Première question : Est-il licite aux Juifs d’épouser plusieurs femmes ?

Deuxième question : Le divorce  est-il permis par la religion juive ? Le divorce est-il valable sans qu’il soit prononcé par les lois contradictoires à celles du code français

Troisième question : Une Juive peut-elle se marier avec un Chrétien et une Chrétienne avec un Juif ?

Quatrième question : Aux yeux des Juifs, les Français sont-ils leurs frères ou sont-ils des étrangers ?

Cinquième question : Dans l’un et dans l’autre cas, quels sont les rapports que leur loi leur prescrit avec les Français qui ne sont pas de leur religion ?

Sixième question : Les Juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ? ont-ils l’obligation de la défendre ? sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre les dispositions du Code Civil ?

Septième question : Qui nomme les rabbins ?

Huitième question : Quelle juridiction de police exercent les rabbins parmi les Juifs ? Quelle police judiciaire exercent-ils parmi eux ?

Neuvième question : Ces formes d’élection, cette juridiction de police judiciaires sont-elles voulues par leurs lois ou simplement consacrées par l’usage ?

Dixième question : Est-il des professions que la loi des juifs leur défende 

?Onzième question : La loi des Juifs leur défend-elle l’usure envers leurs frères

Douzième question : Leur défend-elle ou leur permet-elle de faire l’usure aux étrangers ?

TENTER DE REVENIR SUR LA VOLONTE IMPERIALE C’EST PORTER ATTEINTE AU  CHEF DE FRANCE QUI VOULUT QUE SES JUIFS FUSSENT PORTEURS DE DIGNITE. 

On remarquera que la volonté d’honorer la France n’a jamais dépendu d’une conscience sioniste. Vraiment, perdre ses Juifs serait lourd de conséquences!

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         antisemitisme  2Quand la plainte d’Israël n’a pas l’écho que suscite l’innocence qu’on malmène et que la démocratie se fourvoie dans la promiscuité , l’article 80 de la charte de l’ONU pourra soutenir toute l’incongruité  de l’arbitraire palestinien, rien n’empêchera le démarrage de l’articulation meurtrière qui s’opère sous nos yeux. Le réquisitoire que les Nations préparent présente la carence  de grouper dans une synthèse accusatrice l’ensemble des griefs,  en accordant à la « cause sioniste » l’impact majeur du prétexte essentiel.

Le vol de la terre Arabe restant  au centre de l’accusation, recouvre les autres motifs d’un voile pudique permettant d’y adjoindre des causes  qui, pour être accessoires n’en sont pas moins d’une extrême dangerosité par leur portée irrationnelle. La récente approbation du Parlement Européen à la dénonciation par Abbas du crime rituel, s’inscrit dans la retour malveillant et cohérent d’une accusation qui a su adapter le « besoin » de sang  chrétien à l’empoisonnement des puits palestiniens pour rester dans l’essentiel d’une accusation prometteuse: la crime contre l’humanité!

Durant deux  mille ans on s’est limité à un motif religieux mais essentiel,  le crime de « peuple déicide ». Par rapport à la centralité théologique du motif, des accusations de meurtres rituels paraissaient anodines. Un peuple capable de « tuer » Dieu est apte à justifier des griefs de toutes sortes, quand bien même, ils relèvent de l’irrationnel!’

Aujourd’hui, c’est le retour de la même procédure. L’accusation de « voler la terre Arabe » est fondée par le jugement sans appel qu’en a dressé le Général de Gaulle. Un peuple qui assoit son Etat sur un vol justifie la  suspicion par laquelle  « Il n’y a pas de fumée sans feu! » Pour arriver à ses fins, ne serait-il pas capable d' »empoisonner les puits? » Le monde justifiant l’accusation, on y adjoindra la réfutation de la Déclaration Balfour! ILLEGAL! RAISON DE PLUS POUR CHANGER OU ABROGER….

Israël est à la croisée de tous les dangers! Mais ces dangers désignent l’Europe pour les subir d’abord! » Dostoïevski disait si « Si D…n’est pas tout est permis! » Les

Palestiniens ont découvert il y a peu que « Si la haine est commune, tous les recours sont licites! » Le Juif n’est plus dans l’errance, mais dans la Délivrance! L’irrationnel n’est pas le conditionnel de la victoire! Il est la déchéance de ses servants!

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      meurtreVoudra t-on preuve plus étayée de la criminelle complicité qui se déchaîne dans la collusion entre Ramallah et certaines capitales Européennes? On l’obtiendra sans le ménagement qu’imposerait la pudeur de la monstruosité présentée. On pourrait même évoquer l’impossibilité d’apporter crédit  à cette dérive pathogène, compte tenu que le fait accusateur retenu: « accusation de meurtre rituel » a pour incitateurs, des pays qui n’hésitèrent pas, dans le passé à la pratique de ce  crime dont ils souhaitent aujourd’hui dans leur haine malveillante rendre, de nouveau, les Juifs  responsables

L’ignominieuse et indigne accusation!

Et, le dirigeant Palestinien qui ne dispose pas même de la légitimité qu’offrirait une élection au suffrage universel n’hésite  pas à « dire qu’un groupe de rabbins est prêt à  empoisonner l’eau des puits pour tuer le plus grand nombre de Palestiniens. »Ces propos ont même bénéficié d’une ovation de la part des députés. Une incitation irrecevable au massacre. Press TV précise qu’il reprenait là une accusation récente lancée dans un média turc..

 

Après avoir soutenu la connotation illégale de la Déclaration Balfour, et fait part de son intention de la faire annuler par la Cour de Justice Internationale, prétendu que le Mont du Temple n’avait aucune relation avec l’histoire Juive, et que cette ineptie travestie était reconnue fondée par L’UNESCO, que l’Egypte a confirmé que les dix plaies ouvraient droit à compensation de nature indemnisante, on peut affirmer et diffuser que l’inquiétude initialement préjudiciable aux seuls Juifs, s’applique à toute vie en Europe désormais. Constat est établi que la volonté de neutraliser bon sens et commune mesure,  sont telles que la conflagration est prévisible.

 

On pouvait cependant, se rassurer par la certitude que le « réveil de la bête » n’annonçait pas, pour autant, l’éloignement de cette autre France qui  devenue au fil du temps, muette se préparerait au réveil! Celui ci à moins d’être immédiat et d’allure prompte pourrait être contrarié  par ces voix illustres qui ne dissimulent plus les sanglots. Car  l’irrémédiable est là! Nous risquons la tragique déconvenue de ne pas avoir vu  que ce reste de France pouvait n’être qu’ un  résidu de cette  immortalité dont les Français ne veulent pas!

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Napoléon naquit deux jours après que la France acheta la Corse à Gênes. Croire que l’insignifiant cache souvent  un sens essentiel et qu’il  fallut un homme comme lui pour relever Les Juifs n’est plus secret!

Qu’il l fallut que ce « DICTATEUR » comprît l’identité juive pour devenir  premier  à soutenir le sionisme Que cette  Corse amie des Juifs, engendra ce « ferment » espoir de sa grandeur promise!

Qu’il ne serait pas « vue de l’esprit » sauf pour les défaitistes et les ignorants que d’imaginer que CETTE REGION DE FRANCE QUI IGNORA  LA DEPORTATION  DES JUIFS PERSEVERERA EN MONTRANT LA ROUTE DE L’EXEMPLE! 

 

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     einstein Il fallut Israël pour que la guerre cessât et EINSTEIN apparut!

C’est E=MC2 QUI FIT CAPITULER LE JAPON   PAS TRUMAN!

      antisemitisme 10La volonté « Palestinienne et le ressentiment Européen désormais manifeste  à l’encontre des Juifs tentent, en maintenant le recours à l’édification de l’Etat Palestinien, une exigence abusive de concéder à la realisation de ce projet infondé les bases d’honorabilité qui font défaut.

Cette  façon de faire dont usent les tenants de la Nation Arabe faisant mine d’en partager l’idéal,  rejoint  cet humanisme  qui, au cours de l’histoire affirma  que l’homme est bien plus grand, voire illustre, dans la rébellion que dans l’asservissement!

A dire vrai, cette volonté mensongère de revendiquer quand bien même exclusivement fraction de cette civilisation  condamnée par ailleurs, a un écho, dans les consciences Occidentales qui y voient l’influence et la continuité  des courants progressistes  marquant des points sur la mentalité politique Arabe. 

 

Cette volonté d’en terminer avec la Palestine ne  doit pas entraîner la désaffection de la lutte anti sioniste. La condamnation du caractère Juif de l’Etat d’Israël est une bonne marque mais les réserves sont épuisées. Il faut chercher ailleurs, mais vraiment ailleurs de quoi alimenter une querelle qui ne peut et ne doit flancher!

Il ne reste que le futile, le dérisoire et l’insignifiance à opposer au peuple dont la mémoire du monde  lui reconnait la créance  d’avoir initié les Nations et les peuples à l’exigence  d’abord et  à  la reconnaissance ensuite de devoir à Israël, « la noblesse d’être homme! »  Le sionisme échappe à cette fraternité, comme d’ailleurs les principes mêmes du Judaïsme, dont on ne cesse de souligner le caractère primitif. Se réfugier dans le mépris et la dérision traduirait  l’argumentaire qui fait défaut.

D’où confirmation de ce qu’on fait en face quand l’usage des moyens indignes ne dissuade pas Machiavel!  Etourdis, abasourdis on a quand même bien lu la  récente demande Egyptienne, de traduire devant la Cour Pénale  internationale, l’Etat Juif pour obtenir réparation  des préjudices subis par l’Egypte lors des « DIX PLAIES ».

 La conscience morale si elle existait générerait  un mémorable…fou-rire! 

 Comment comprendre que pareille requête n’inspire pas le déshonneur ? Se rend on compte que depuis la Golgotha la bombe« fauté » commise envers Israël relève du crime irrémissible d’avoir tenté de persuader les Juifs qu’il y a une culpabilité que l’Occident est, seul, à établir et qu’il sera seul à assumer, celle de l’infâme qui ne résulte ni de » faire » ou » d’avoir », mais seulement « d’être! »

 Les neuf premières plaies  préparaient la dixième, dont  seul l’ange de la mort avait l’usage!Les Juifs ne connaissaient pas l’agriculture. Ils ont appris! Ils ne connaissaient  pas la victoire. Rabbine leur a montré et Jérusalem fut libérée!

Qui eût dit qu’Israël fût capable de vaincre Hiro Hito?

Il fallut Israël pour que la guerre cessât et EINSTEIN apparut!

C’est E= mc2 qui obtint la capitulation du Japon, pas Truman!  

bibi

Le Chef de l’Etat récuse l’axe De Gaulle/Mitterand/ Repentance.

Commémorant le « Vel d’Hiv » « C’est crime commis en France par la France ! »

 

                        kippa 2Décidément le Président Français va, concernant la place qu’il accorde à Israël, de contradiction en surprise et de renoncement en confirmation. On se souviendra du communiqué de l’Elysée informant que le Président s’est incliné à l’évocation des morts d’Israël lors des affrontements de Gaza et que rectification s’est faîte trop tard pour étayer l’oubli palestinien!

 

On n’a pas oublié le concours de la France qui soutint le projet de l’UNESCO, déclarant une reconnaissance de propriété Palestinienne pour le « Mont du temple » fondée sur l’absence de tout lien du temple de Jérusalem avec le peuple Juif. Soutien que la France  annulera.

 

J’avais alors immédiatement écrit que l’Eglise détenait une des preuves de ce lien « Mont du temple/Peuple Juif » qui figurait dans l’Encyclique MYSTICIS CORPORI CHRISTI  écrite par Pie XII en 1943 et affirmant que, à l’instant où le Christ mourut, le voile du temple de Jerusalem se déchira. Quand bien même cela était destiné à démontrer l’abandon des Juifs, la première interprétation confirme le lien PEUPLE JUIF/MONT DU TEMPLE.

 

Mais le fin du fin, qui assiéra la maîtrise de l’usage de la volte face du Président et confirmera son amitié pour Israël, sera sa volonté de changer l’ordre du jour des questions qu’on pose habituellement au Chef de l’Etat lors de la Garden Party du 14 Juillet. François Hollande administrera alors une preuve incontestable d’amitié, quand il affirmera que la France n’est pas favorable à la détention de l’arme atomique par Israël. La France, membre du Conseil de sécurité, affirme par la voix de son Chef que toute vérification sur site devient inutile. Le président Français, Chef suprême des armées ne pouvait ignorer que c’est la France de Guy Mollet qui aida à doter Israël de l’arme dissuasive.

François Hollande a préféré le ridicule à la trahison !

 

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Le contexte accueillera le retour de cette exhortation figurant parmi les textes les plus lus en 2011!vive

La France ne réagit à l’offense que si elle atteint l’irrémédiable!

 « Parler d’histoire, ce n’est pas évoquer le passé, c’est parler d’avenir ! » Nicolas Sarkozy.Alès (Gard)  4/10/2011.

Assez de jérémiades ! Assez de pleurnicher ! Capitulards taisez- vous et écoutez ! De quel pays parlez-vous ? De quels hommes et de quelles femmes évoquez-vous le destin ? Où avez-vous appris que la France se rend à l’ennemi sans livrer bataille ? Jean Moulin, Léo Hamon, Emmanuel d’Astier de la Vigerie, Leclerc de Hautecloque, c’est la France qui vous interpelle et qui vous demande des comptes quand, par faiblesse, ou calcul sordide, vous la rabaissez au rang de nation commune. Si vous pensez ce que vous écrivez, Résistez , dîtes ou faîtes  ! Vous est-il arrivé à Paris de lever les yeux. Vous y auriez vu des plaques de marbre sur lesquelles, vous auriez pu lire : « Ici Un Tel a été fusillé par les Allemands. Il avait seize ans. Passant souviens toi ! » C’est aussi la France ! Celle qui vous, qui nous déçoit ! Mais être déçu impose, chez les hommes d’honneur,  la lutte,  pas le défaitisme. Alors expliquez moi ce que vous faîtes de constructif en critiquant de la façon dont vous le faîtes, ce pays, pour lequel vous « crevez d’amour. » En dépit de vos discours !

 Croyez vous que l’histoire de France a commencé à Montoire ?

Savez vous ce qu’avaient écrit sur les murs de leurs prisons,  les femmes des Cévennes, emmurées vivantes plutôt que d’abjurer leur foi protestante :Résistez ! Avez-vous entendu parler de Wagram, d’Austerlitz, de Sedan, de Joffre, de Foch, de Leclerc ? C’est aussi la  France ? Avez-vous vraiment cru que leurs fils déposeraient les armes avant de s’en servir ? A vous entendre, il semblerait que vous preniez plaisir à supputer sur les conditions de son délabrement. Parce que le pouvoir politique est faible vous en tirez pour conséquence que la France n’est plus la France. On peut avoir honte de la politique française sans pour autant méconnaître que les épreuves d’aujourd’hui sont des peccadilles comparées à celles de jadis.

Avez-vous entendu parler de la guerre des tranchées, de Verdun, du siège de Paris en 1870 ? Savez-vous les conditions que l’armée coalisée des royaumes européens imposa à la France à l’abdication de l’empereur en 1815 ? Les Français d’aujourd’hui sont leurs fils Savez-vous ce qu’il fallut de desespérance à un peuple pour racourcir un homme, représentant de D.ieu sur terre et, en même temps d’espoir et d’optimisme pour proclamer que « tous les hommes naissent libres et égaux en droit » Juifs d’Algérie, savez vous que vous devez votre Emancipation à la République Française d’abord et au ministre Crémieux ensuite.

Avez-vous pensé, peut être avec une jubilation malsaine que les fils de Lyautey, de de Lattre de Tassigny, de Juin s’étaient courbés devant l’ennemi ? Si oui, c’est que vous ne connaissez pas l’histoire de ce pays. Il y eut certes des jours sombres, mais si ces jours vous ont fait oublier les soleils d’une rare lumière, c’est que vous ne méritez pas la qualité de Français. Saviez-vous que le capitaine Dreyfus,  victime de l’antisémitisme le plus abject,  déporté à l’ile du diable continuait d’espérer en la France des droits de l’homme ?

 

Savez-vous que des villages des Cévennes qui n’ont pourtant pas leurs noms à Yad Vachem ont accueilli de très nombreux enfants Juifs, s’efforçant de rendre leur enfance aussi heureuse qu’ils le pouvaient ? Et vous, aujourd’hui, par faiblesse et veulerie vous annuleriez cette histoire de votre mémoire,  parce que vous estimeriez que cette histoire a cessé. Ignorants, ne confondez pas, un chemin de traverse avec une route ! Il y a des peuples qui réagissent et provoquent des cataclysmes à la première provocation.  Et il y en a d’autres moins ardents à donner la mort, peut être  parce qu’ils savent le prix de la vie ? Est-ce pour autant qu’il faut les insulter parce qu’ils donnent le sentiment de ne pas, de ne plus savoir se défendre ? Savez-vous la puissance de l’exemple français quand il décide de s’imposer ?

La France a toujours attendu l’irrémédiable avant d’engager la bataille, sur ce, elle n’a pas toujours raison, mais c’est là son destin. Quand elle regarde en arrière, si tout n’est pas édifiant et glorieux, de formidables exemples de Résistance et de grandeur s’imposent !  Rappelez-vous les premiers mots lancés par Eisenhower sur le sol français en 1944, « La Fayette Merci, La Fayette nous voici ! » La grande nation américaine doit beaucoup à la France, quand bien même la réciproque est aussi  vraie. Il faut apprendre la façon avec laquelle le peuple français réagit à l’outrage avant que de l’offenser parce qu’il n’est pas le cow boy de notre mythologie !

Quand vous ouvrirez les portes du ressentiment, n’oubliez pas que c’est la France, la première nation du monde,  qui a fait des Juifs,  des hommes libres, des citoyens émancipés. Cette seule vérité devrait suffire, si vous êtes de bonne foi à tempérer, à nuancer votre hostilité.

C’est quand tout paraît compromis, qu’il faut faire face à l’adversité que les caractères se révèlent et que les forces apparaissent sans masque ! La France d’aujourd’hui a moins peur qu’il y paraît parce qu’elle ne croit pas au danger qui la menace. Quand dans notre vie, nous avons à faire face, c’est souvent, l’image d’un père, d’un grand père qui se dessine, au-dessus de notre interrogation. Comment aurait-il agi à ma place ? Pour la France, le processus est le même. A l’image de ses voisins, le danger ne lui apparaît pas. Mais lorsque ce sera le cas, prenez-vous la mesure des cataractes d’exemples qui surgiront de sa mémoire, de l’hémorragie d’hommes illustres qui ne plièrent jamais et s’imposeront à elle. Après la conquête Arabe, il y eut la Reconquête. Après l’Occupation, il y eut la Libération. Pourquoi vous arrêtez vous au deuil ? Pourquoi faîtes vous halte devant l’Unesco qui est une faute, alors qu’elle n’est qu’une péripétie ? Si grande qu’ait été la faute de de Gaulle à l’égard du sionisme, ce fut tout de même, le Chef de la France Libre qui parmi les premières décisions prises à la Libération rétablit la validité du Décret Crémieux !

C’est son histoire qui sauvera la France, tout comme c’est dans sa famille que l’homme trouve des forces. Ce n’est pas parce qu’elle se tait, que la France n’a plus rien à dire !

Les hommes célèbres attendent que le point de non-retour soit atteint pour sortir de l’ombre. Les taxis de la Marne, Gambetta et son ballon, de Gaulle et son seul appel, Napoléon et son Code Civil, rien ne permettait de dire qu’ils échapperaient au destin. Et pourtant ! C’est à 76 ans que Georges Clémenceau, le Tigre, sortit de sa tanière  pour galvaniser des troupes au moral affaibli et fut appelé « le père la Victoire »  Alors…

  palestineSi le projet visant à permettre la naissance, l’installation et le renforcement de « l’entité palestinienne » était en cours d’exécution, d’abord on le saurait et, ensuite de multiples initiatives  en bien des domaines inviteraient à s’en rendre compte. Préoccupées  et fébriles les Nations Européennes lâcheraient quelque peu la pression sur Israël!

Au lieu de quoi, on observe que tels les vieux jouets,  le guignol Palestine ne motive plus grand monde  et   sa considération prend quelques distances   avec les priorités de l’heure, à savoir la lutte contre le terrorisme et  la terreur. Depuis le temps où les Parlements s’empressèrent de reconnaître la Palestine,  les peuples anesthésiés tout comme  leurs dirigeants, évitent de poser le  problème de telle façon que laissant perdurer la question: RIEN NE S’OPPOSE A LA NAISSANCE DE L’ETAT DE PALESTINE!  POURQUOI L’ONU REFUSE DE TRANSFORMER LE STATUT D’OBSERVATEUR EN STATUT D’ETAT MEMBRE?

Il faut donc redire que l’article 80 de la Charte ne permet pas cette naissance! Comment expliquer qu’en cette période d’instabilité ON N’EVOQUE MOINS LES PREPARATIFS DE LA NAISSANCE PALESTINIENNE QUE LA SUPPLIQUE DU CENTRE WIESENTHAL A HOLLA NDE, MERKEL ET MAY/ « DITES NON a la resolution de l’Union Européenne qui dénie les liens du peuple Juif avec le Mont du Temple! » 

Parce que la grossièreté et l’iniquité de la RESOLUTION EUROPENNE sont LA REPONSE DE L’Europe à l’impossibilité de faire naître la Palestine.  On sera sensible à l’rrépressible similitude du domaine choisi pour frapper Israël: Israël dit non à la terre Palestinienne! L’Europe dira « non » à la terre juive, celle qui présentait in caractère Juif confirmé,  universel et non soumis à débat:  LE MONT DU TEMPLE!

la patrie

2ème réponse à David : LA PATRIE EST EN DANGER !

Bonjour David,

Comme si les motifs de ton trouble n’étaient pas suffisamment légitimes s’y superpose le « massacre  niçois »perpétré le jour même où  l’anniversaire de la conquête  de la liberté résonne d’une bien singulière incongruité et rappelle que la « PATRIE EST EN DANGER ! »

Il me semble que ce qui se passe en France est d’une telle importance que le gouvernement  devra rectifier sa position.  Ainsi que je l’ai écrit, le terrorisme  aveugle  ne frappe  pas la France sans insister sur l’objectif prioritaire  qu’elle n’a jamais cessé d’être. Les attentats frappent tous les pays, mais la guerre totale, aveugle et dévastatrice, C’EST POUR LA FRANCE !  NO  PASSARAN !

 LE PAYS NE POURRA DIFFÉRER   DES DÉCISIONS  GRAVES, desormais incontournables ! Le laisser faire, le laisser aller,  ce n’est pas la France!  Sous emprunter la panoplie de « va t’en guerre », tu trouveras p  quelques  chants révolutionnaires! « Ces soldats qui avaient chassé vingt rois,  passé les  Alpes et le Rhin mais leur âme chantait dans des  clairons d’airain ! »

CHANTS DE LA REVLOLUTION Française :

  1. a) https://www.youtube.com/watch?v=1gC_152tUQo

Voudrais tu me fournir un mot d’éclaircissement sur ce que TU M’ECRIS :

 « Par contre on retrouve des phénomènes communs : l’exclusion, la haine de nations et l’utilisation de clichés pour délégitimer la valeur des peuples qui les composent. la patrie 2

Tout cela est très pernicieux et m’attriste. Comme vous je pense, ces phénomènes ne ressemblent pas à la France que j’aime. Mais je m’interroge. L’antisionisme et l’antisémitisme que vous dénoncez souvent est-il (pour ce qui est de la France en tout cas) une expression parmi d’autre d’un phénomène de repli identitaire et d’exclusion ou révèle-t-il (en France toujours) quelque chose de plus profond? 

Tu me dis aussi :Ce message peut parfaitement constituer une contribution à l’un de vos articles que vous jugerez le plus opportun. 

TON MESSAGE PAR SA STRUCTURE POLYVALENTE CONSTITUE UNE TRAME POUVANT convenir A TOUTE REFLEXION SUR UN DES THEMES JUSTIFIANT UNE TRES LEGITIME INQUIETUDE.

Je commenterai tes propos dès que j’en prendrais connaissance !

Je suis ravi d’échanger avec toi,

Courage et   VIVE LA REPUBLIQUE  !

 

15   7   2016     13h  28   MON COMMENTAIRE POSTE A FACEBOOK ET LE JUGEMENT DU DESTINATAIRE

SUPER CACHER VINCENNES, LE BATACLAN, NICE! même ennemi! L’alliance PARIS TEL AVIV EST INEVITABLE ET PREVISIBLE. PUISSE LA FRANCE RETROUVER LE COURAGE DE SON RENOM EN DISANT LE VRAI ! La France socialiste aida Israël! Et l’Israël de Bibi fait reculer la terreur! De Gaulle n’avait pas raison en proclamant qu’un Etat n’a que des interêts, sauf à reconnaître que la France est chère à Israël et que cette affection confirmée et utilisée aiderait la République de Zola à faire oublier le refus de la repentance d’une autre France qui se disant socialiste trahissait Jaurès, cette France c’était celle de Mitterand!

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Arnold Lagémi
Arnold Lagémi Léon Blum, Juif Français, CHEF SOCIALISTE VAINQUEUR DES LEGISLATIVES EN 1936. EST A L’ORIGINE DES CONGES PAYES

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        antisemitisme suite

          Arnold Lagémi répond à David Riccardi          

  David, TU SIGNALES DES MANIFESTATIONS DE HAINE INACCEPTABLES APRES UNE RENCONTRE SPORTIVE. MAIS LA HAINE EST UNE DES FORMES les plus pernicieuses d’une agressivité lointaine qui interpelle les démons dissimulés au sein même des vertus républicaines.  Elle se manifeste   rarement envers l’objet de son ressentiment  dans un affrontement direct,  mais toujours en prenant assise sur un prétexte.

« Il y a des peuples qui ne sont jamais si grands que lorsqu’ils le sont pour les autres » mais il y a des peuples qui, en dépit de la grandeur affichée  ont laissé les ferments  évoluer! J’entends souvent » mais tu évoques le passé, il faut dénoncer dans le présent ce qui est condamnable! »

Courte vue, peur de comprendre, car si l’histoire n’est que péripéties et anecdotes,  elle ne participe en rien au règlement des causes qui, délaissées reviendront! L’histoire c’est la compréhension,  la rationalisation des mécanismes qui éclairent la face cachée par laquelle une grande nation , transforme ses déjections en force unissante. 

antisemitisme 3

Vichy retient dans l’impunité une partie d’elle même qui s’est fourvoyée dans la la trahison. Couverte de flétrissures, elle est devenue indigne par les refus de proclamer la repentance de la république. Si la république Française ne demande pas pardon pour avoir collaboré avec le nazisme, si la France ne renie pas cette part corrompue d’elle même que Laval exalta en suppliant les Allemands de déporter AUSSI les enfants Juifs, cette fraction polluée distillera sans interruption ce venin, poison hérité de la volonté équivoque et suspectede ne pas sanctionner ressentiment et haine antisémites.

Les problèmes qui reviennent sont les problèmes qui appellent une solution dont on ne veut pas. N’oublions pas : aucun accusateur de Dreyfus n’a connu la prison! Loin d’étudier l’histoire, les Juifs doivent réactualiser les évenements charnières: voie royale du dépistage qui impose la réalité sioniste. La France préfère fleurir la tombe du vainqueur de Verdun et inviter Bousquet à l’Elysée.

Une naïveté coupable fait conclure à l’orthodoxie française quand Malraux évoquant le martyre de jean Moulin, appuyait avec une puissance incantatoire que la France n’était qu’à Londres! On ne voulait pas entendre que Drancy fut aussi la France!  Cette France anti thèse de l’autre relève la tête! Parce qu’on a voulu croire qu’en dépit de Pasteur la » génération spontanée » si elle disait une vérité approximative,  ne s’inscrivait pas, pour autant dans l’erreur avérée! Ce que tu dénonces David c’est la résurrection  de antisemitisme  2cèette réalité française  toujours vivace, au détriment de cette France qui fut immense quand elle comprit qu’on est bien plus grand par ce qu’on offre que par ce qu’on ravit!

Et ce qui t’inspire le dégoût c’est peut être cette naïveté d’avoir cru que 1789 était acquis alors que la Révolution ne faisait que désigner une direction, celle d’un rêve dont il dépend du seul homme libre de savoir que lui seul peut en permettre l’évolution!

PUBLICATION INTERDITE A:  www.juif.org    et    www. europe Israël

         sport et violences David RICARDI A Arnold Lagémi

Cher Arnold, 

Je vais prendre le temps de répondre à votre post mais je suis interpellé par un double phénomène que révèle la victoire du Portugal contre la France en finale de l’euro. 

Comme français , on peut, je crois être déçu du résultat, d’autant que le jeu portugais exclusivement défensif n’était pas flatteur et que leur but a vraisemblablement été permis par une erreur d’arbitrage.Pour autant le résultat est là et les enjeux restent en fin de compte limités : il ne s’agit que d’un championnat de foot ! 

Ce qui me choque c’est la haine que l’on voit en France, s’exprimer contre une nation toute entière et qui se diffuse ou bien par des violences physiques et verbales ou bien de façon plus diffuse, sous couvert, d’humour, par l’expression de clichés douteux (maçons, morues, femmes de ménage etc.). 

Et en sens inverse, je suis tout autant choqué par le comportement de nombreux portugais d’origine qui semblent aussi détester la nation française qui a accueilli les générations passées, les a fait travailler et à laquelle ils appartiennent a priori. J’ai souvent observé des personnes d’origine portugaise, français vivant en France, être contre l’équipe française par principe et peu important l’adversaire. 

Pourquoi partager ces états d’âme en particulier avec vous aujourd’hui? Parce qu’ils me renvoient à des discussions que l’on a pu avoir à propos de l’antisionisme. 

Bien sûr les enjeux sont sans commune mesure : une victoire sportive c/ la reconnaissance d’une nation et de son territoire. 

Par contre on retrouve des phénomènes communs : l’exclusion, la haine de nations et l’utilisation de clichés pour délégitimer la valeur des peuples qui les composent. 

Tout cela est très pernicieux et m’attriste. Comme vous je pense, ces phénomènes ne ressemblent pas à la France que j’aime. Mais je m’interroge. L’antisionisme et l’antisémitisme que vous dénoncez souvent est-il (pour ce qui est de la France en tout cas) une expression parmi d’autre d’un phénomène de repli identitaire et d’exclusion ou révèle-t-il (en France toujours) quelque chose de plus profond? 

Ce message peut parfaitement constituer une contribution à l’un de vos articles que vous jugerez le plus opportun. 

Bien à vous. 

 nietzsEt pourtant! Cet Etat de Palestine, n’a aucune chance de naître! D’abord, parce que la Palestine N’EST RECONNUE PAR PERSONNE! je pèse mes mots; La reconnaissance n’est effective qu’à l’initiative des Parlements, c’est à dire des seuls POUVOIRS LEGISLATIFS!

Les gouvernements, ne peuvent être l’objet d’aucune pression émanant des Parlements. En l’Etat, la reconnaissance du statut politique de la Palestine par les pouvoirs exécutifs reste un projet. Les divers représentants de L’OLP N’ONT JAMAIS EU LA QUALITE D’AMBASSADEUR! Par ailleurs, ainsi que j’ai plaisir et honneur de le démontrer l’article 80 de la Charte des Nations UNIES NE PERMET PAS DE METTRE EN DOUTE LA LEGITIMITE D’UN ETAT PRECEDEMMENT SOUS MANDAT.

Ce fut le cas pour ISRAËL, et seulement pour lui!

illusions

Les dirigeants donnent l’illusion d’approuver cette existence qui ne peut devenir effective  que si l’ONU se saborde. On peut ne pas approuver une revendication non fondée, par la justification historique sans tomber dans l’abus de confiance.

Faire croire que la Palestine est créditée de fiabilité, c’est insulter la naïveté de celles et ceux qui contraints de  gober des chimères défigurent leur restant de bon sens en soutenant   que l’impossible sera vrai, confirmant ainsi  que religion, politique et culture de l’Occident ne s’établissent que sur l’irrationnel et l’attente du miracle! Cette  pollution de l’esprit qui se sait inadéquat débouche nécessairement sur une manière de penser et de faire qui n’espère que dans la violence du miracle pour donner à  l’histoire une impulsion salvatrice.

Louanges et grâces aux juristes qui auront ce goût pour opposer les personnes, quand  les idées n’y parviennent plus!

L’ETAT DE PALESTINE NE  POURRA EMERGER DU GOUFFRE DES CHIMERES QUE DANS LA PERSPECTIVE DE L’ERADICATION DE TOUT ETAT DEMOCRATIQUE ET DE L’ABOLITION DE LA CHARTE DE L’ONU!

FAIRE CROIRE A LA NAISSANCE POLITIQUE DE LA PALESTINE EST UNE DES INSULTES LES PLUS CINGLANTES AU MONDE ARABE!

DIFFUSION INTERDITE A www.juif.org    et à  www. EUROPE ISRAËL

       crime contre 2« On oublie une règle élémentaire de droit et d’humanité que pratiquent celles et ceux chez qui le mot « conscience » résonne encore avec le souci de justice réparatrice, qu’on ne peut pardonner « qu’à celui qui demande pardon. »

Certains milieux inspirés de la pestilence révisionniste déplorent l’utilisation inflationniste de la Shoah et estiment que la référence appuyée des Juifs à voir l’antisémitisme dans toute critique formulée, tant à leur égard qu’à celui de la politique de l’Etat d’Israël, constitue un harcèlement d’une telle insistance qu’il en devient l’alibi empêchant l’exercice du blâme.

Dans la mesure où les évènements qui se sont déroulés en Europe, de 1938 à 1945 relèvent d’une tragédie de type racial, tout à fait exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité, par l’intention et la réalisation partielles d’anéantissement d’un peuple, il semble cohérent d’admettre que le traumatisme causé, outre la disqualification sous-jacente de la culture « productrice » d’une telle monstruosité qu’il implique, ne cessera que lorsque les rescapés et ayant droit estimeront le moment venu.

Mais que des individus n’ayant pas donné au Peuple Juif des gages de regret sincère et des signes tangibles de honte pour les horreurs perpétrées par la civilisation qui est et restera la leur, présente un arrière-goût d’équivoque et de suspicion légitime sur les raisons qui les conduisent à estimer « qu’on en parle trop. »

Cette appréciation est et restera à la seule appréciation des victimes !

Elle sera rappelée sans cesse et chaque fois que nécessaire.

Les « défenseurs de l’indéfendable » seront débusqués dès lors que l’opportunité en donnera l’occasion.

C’est, en effet, une inadmissible grossièreté de reprocher aux victimes directes ou non de la Shoah, de vivre encore les affres de l’inquiétude exterminatrice, et de dénoncer les signes de leur résurgence, quand la collusion arabo-occidentale, produit encore des fruits pourris et venimeux que les fidèles servants du nazisme et de la Révolution Nationale cultivent encore avec dévotion.

Quand on entend, auréolé de l’argument à deux sous, « qu’il faut savoir pardonner » on oublie une règle élémentaire de droit et d’humanité que pratiquent celles et ceux chez qui le mot « conscience » résonne encore avec le souci de justice réparatrice, qu’on ne peut pardonner « qu’à celui qui demande pardon. »

Or, les nostalgiques de la honte, n’ayant pas, pour un grand nombre d’entre eux, sollicité le pardon ou exprimé des regrets, il n’y a pas lieu de cesser de dénoncer le mal. Ils persévèrent dans l’hostilité anti-juive, convertie, pour l’heure en anti sionisme.

Ils entendront, donc, sans répit, la voix accusatrice d’Israël, répéter inlassablement, avec celle des prophètes : « 

Seuls ceux qui méritent  seront pardonnés! C’est mépris  de pardonner à quiconque ne supplie pas son obtention! A t-on bien entendu que le pape a demandé « pardon à D…pour les fautes commises envers D… » On était sourd! N’est ce pas? Vatican II: « Vous êtes chers, car vos pères étaient chers » Etait-il nécessaire d’insulter  pour nous faire comprendre que la Shoah doit, encore et encore être rappelée? 

Père Patrick DESBOIS, notre frère dans l’ordre du juste, parlez, ISRAËL, VOUS ECOUTE!

La « souffrance juive », par sa signification raciste et la portée diabolique par laquelle elle s’est singularisée durant la Shoah, confère à ses victimes et descendants un statut exceptionnel qui les transforment en témoins de l’indicible.

A ce titre, ils s’inscrivent dans une dimension aristocratique de la dénonciation qui leur donne le droit permanent de l’accusation dont, eux seuls, par le redoutable pouvoir qui s’y associe, pourront, le jour venu proclamer l’achèvement.

Parce que la haine remonte fort loin dans l’histoire de l’Occident, non dépourvue d’une habilitation « céleste »!

« Race incrédule et perverse, jusqu’à quand serai-je avec vous, et vous supporterai-je ? » (Jésus aux Juifs, Évangile Luc 9, 41)

crime contreSi antisémitisme et anti-sionisme, sont frères, le premier présente une variété identitaire qui, pour être meurtrière  s’éloigne cependant de la systématisation de l’anéantissement désigné par le second.  Relevons dans le Larousse les définitions s’y rapportant:

Antisémitisme: 

Doctrine ou attitude systématique de ceux qui sont hostiles aux juifs et proposent contre eux des mesures discriminatoires
En savoir plus sur http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/antis%C3%A9mitisme/4285#repzUesCCokw05GL.99

Antisionisme: Hostilité à l’existence ou à l’extension de l’État d’Israël.

 En savoir plus sur hhtp://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/antisionisme/4293#yv29CeRDR00jmcXM.9crime contre 2

La proposition de mesures discriminatoires dans la pratique de l’antisémitisme n’a pas d’équivalent dans l’antisionisme. Car si le premier s’accomode d’attitudes hostiles, par lesquelles  les manifestations du ressentiment  s’exprimeront, il n’est pas précisé l’intensité ou la volonté de nuancer la haine ressentie.  Par ailleurs, et la remarque pèse lourd dans l’appréciation, la connotation génocidaire n’est pas requise pour justifier l’antisémite.

Alors qu’il en est d’une toute autre estimation pour l’anti-sionisme qui d’emblée et, sans nuance notifie une notion principielle visant au refus de « l’EXISTENCE, à  la non reconnaissance de la NATION JUIVE. La justification de l’Etat Juif étant niée, l’anti-sionisme indique implicitement que le seul moyen requis pour la solution exclusive au problème posé est la LIQUIDATION DE L’IDEOLOGIE PERVERTIE.  Le sionisme est, par lui même, indication identitaire DE L’ORIGINE DU DYSFONCTIONNEMENT.

crimes contre 4

Son éradication ne ménage pas la radicalisation  des moyens nécessaires,  obligatoires et inévitables à mettre en place! « C’est l’entité sioniste qui est cause essentielle du trouble! » L’installation du peuple Juif sur la terre d’Israël est illégitime. Et si la connotation exterminatrice est inévitable, celle ci sera vue comme conséquence d’une implantation illégitime!

Aussi, l’anti sionisme restant hostilité à l’égard d’une ethnie déterminée doit être vu comme manifestation ségrégationniste dont les connotations  haineuses à caractère racial attestent notoirement de sa qualification en « crime contre l’humanité!crime contre 4

 

DUPLICATION INTERDITE  A     EUROPE-ISRAËL    ET   www.juif.org

LES ÉGLISES ALLEMANDES ET L’ETAT Nhitler et luther 3AZI

Le clergé catholique et les dignitaires nazis, parmi lesquels Joseph Goebbels (au bout à droite) et Wilhelm Frick (second à partir de la droite), font le salut nazi. Allemagne, date incertaine.

— US Holocaust Memorial Museum

En 1933, l’Allemagne comptait environ 60 millions d’habitants. Presque tous les Allemands étaient chrétiens, soit d’obédience catholique romaine (environ 20 millions de membres) soit protestante (environ 40 millions). La communauté juive représentait moins d’1% de la population totale du pays.

Comment les chrétiens allemands et leurs Eglises réagirent-ils face au régime nazi et à ses lois? Et en particulier face à la persécution des Juifs? L’idéologie nazie anti-juive et racialisée rencontrait un antisémitisme traditionnel, répandu à l’époque dans toute l’Europe, qui puisait ses racines profondes dans l’histoire chrétienne. Pour beaucoup trop de chrétiens, les interprétations traditionnelles de textes religieux semblaient conforter ces préjugés.

Les attitudes et les actes des catholiques et des protestants allemands à l’époque nazie n’ont pas été déterminés par leurs seules croyances religieuses, mais aussi par d’autres facteurs, dont:

  • une réaction violente contre la République de Weimar et les changements politiques, économiques et sociaux intervenus dans les années 20 en Allemagne. •l’anticommunisme. 
    •le nationalisme. 
    •le ressentiment envers la communauté internationale qui, après laPremière Guerre mondialeperdue par l’Allemagne, la condamna à payer de lourdes réparations.hitler et luther

Ce furent quelques unes des raisons qui poussèrent la plupart des chrétiens en Allemagne à se réjouir de la montée du nazisme en 1933. Ils furent également convaincus par “le christianisme positif” affirmé dans l’article 24 de la plateforme du parti nazi en 1920 :

Nous exigeons la liberté au sein de l’État de toutes les confessions religieuses, dans la mesure où elles ne mettent pas en danger son existence ou n’offensent pas le sentiment moral de la race germanique. Le Parti en tant que tel défend le point de vue d’un christianisme positif, sans toutefois se lier à une confession précise. Il combat l’esprit judéo-matérialiste à l’intérieur et à l’extérieur, et est convaincu qu’un rétablissement durable de notre peuple ne peut réussir que de l’intérieur, sur la base du principe : l’intérêt général passe avant l’intérêt particulier.

Malgré l’antisémitisme ouvert de cette déclaration et le lien entre la “liberté” confessionnelle et la morale nationaliste et racialisée, de nombreux chrétiens en Allemagne comprirent cette déclaration comme une affirmation des valeurs chrétiennes.

LES EGLISES PROTESTANTES EN ALLEMAGNE NAZIE luther et calvin
 
Dans les années 30, la plus grande Eglise protestante en Allemagne était l’Eglise évangélique allemande, composée de 28 Eglises régionales (ou Landeskirchen). Elle comprenait les trois grands courants théologiques nés à la suite de la Réforme: les Luthériens, les Réformés ainsi que l’Eglise protestante Unie. Plus de 40 millions de protestants allemands étaient membres de cette Eglise, bien qu’il y ait eu de plus petites Eglises protestantes dites “libres”, comme les Eglises méthodiste et baptiste.

Historiquement, l’Eglise évangélique allemande se considérait comme l’un des piliers de la culture et de la société allemande, avec une tradition théologique de loyauté à l’égard de l’Etat. Pendant les années 20, un mouvement vit le jour dans l’Eglise évangélique allemande appelé la Deutsche Christen ou les « chrétiens allemands ». Les « chrétiens allemands » adoptèrent de nombreux aspects nationalistes et racistes de l’idéologie nazie. Une fois les nazis au pouvoir, ce groupe demanda la création d’une Eglise nationale du Reich et soutint une version nazifiée du christianisme.

La Bekennende Kirche — l’Eglise confessante —
fut fondée par opposition aux « chrétiens allemands ». Sa profession de foi fondatrice, la Déclaration de Barmen, proclamait l’allégeance de l’Eglise non à un Führer terrestre mais à Dieu et à l’Ecriture sainte. L’Eglise confessante et les « chrétiens allemands » continuèrent de faire partie de l’Eglise évangélique allemande, ce qui créa unKirchenkampf (ou lutte de l’Eglise) au sein de l’Eglise protestante allemande. Ce furent des débats permanents et une lutte de pouvoir entre ceux qui voulaient une Eglise nazifiée, ceux qui s’y opposaient, et des dirigeants soi-disant neutres dont la priorité était d’éviter à la fois un schisme et des conflits avec l’Etat nazi.

Les membres les plus célèbres de l’Eglise confessante étaient le théologien Dietrich Bonhoeffer, exécuté pour le rôle qu’il joua dans la conspiration cherchant à renverser le régime, et le pasteur Martin Niemöller, qui passa sept ans dans des camps de concentration pour avoir critiqué Hitler. Ces ecclésiastiques n’étaient pourtant pas représentatifs de l’Eglise confessante car, malgré leurs exemples, leKirchenkampf protestant était interne et non tourné contre le national-socialisme. Dans l’Eglise confessante, la plupart des dirigeants cherchaient principalement à bloquer les ingérences de l’Etat et de l’idéologie dans les affaires de l’Eglise. Il y eut cependant des membres du clergé et des laïcs qui s’opposèrent et résistèrent au régime, et pour certains, cachèrent et aidèrent des Juifs.

L’EGLISE CATHOLIQUE ROMAINE DANS L’ALLEMAGNE NAZIE 
 
Il n’y eut pas de Kirchenkamp au sein de l’Eglise catholique car elle ne fut pas aussi fortement divisée idéologiquement que l’Eglise protestante. Les dirigeants catholiques furent initialement plus méfiants du national-socialisme que leurs homologues protestants. Le nationalisme n’était pas aussi fortement ancrée dans l’Eglise catholique allemande et la hargne anti-catholique de figures telles qu’Alfred Rosenberg, un important idéologue nazi au moment de l’arrivée au pouvoir d’Hitler, souleva des inquiétudes parmi les dirigeants catholiques d’Allemagne et du Vatican. Dans les années 20, le Parti du centre catholique avait, de plus, joué un rôle clé dans la coalition gouvernementale de la République de Weimar. Il s’était opposé au parti nazi dans sa lutte avec les sociaux démocrates et le parti démocratique allemand — classé à gauche — contre les partis de droite.

Avant 1933, certains évêques interdirent aux catholiques de leur diocèse de rallier le parti nazi. Cette interdiction fut levée après le discours d’Hitler au Reichtag en mars 1933 au cours duquel le christianisme fut salué comme fondement des valeurs allemandes. Le Parti du centre catholique fut dissous en juillet 1933 dans le cadre du concordat signée entre le Vatican et des représentants du gouvernement nazi, puis plusieurs de ses dirigeants furent assassinés lors de la Nuit des longs couteaux fin juin 1934.

SYNTHESE 
 
Dans les deux Eglises allemandes, il y eut des membres, dont des ecclésiastiques et des théologiens, qui soutinrent le régime nazi. Mais comme la pression du régime nazi s’accrut progressivement sur ces milieux, l’anti-nazisme augmenta. Les nazis virent dans les critiques de l’Eglise, à l’égard des mesures prises par l’Etat, une dissidence potentielle. Lorsqu’en mars 1935, un communiqué de protestation fut lu en chaire des Eglises confessantes, les autorités nazies réagirent violemment en arrêtant, brièvement, plus de 700 pasteurs. Dans les églises catholiques, la Gestapo saisit dans tous les diocèses du pays, les exemplaires de l’encyclique Mit brennender Sorge (Avec une brûlante inquiétude) après qu’elle fut lue en public.

Par tactique, les dirigeants des Eglises protestante et catholique en Allemagne restèrent prudents, dans la mesure du possible, dans les contestations et les compromis avec les dirigeants nazis. Au sein des deux Eglises, l’idéologie racialisée nazie et la notion d' »aryanisme » furent critiquées et des mouvements émergèrent pour défendre des membres de l’Eglise qui étaient considérés comme « non-aryens » en vertu des lois raciales nazies (par exemple, les Juifs convertis). Pourtant, tout au long de cette période, il n’y eut pratiquement aucune opposition publique ou aucune volonté de la part de dirigeants des Eglises de s’opposer au régime sur les questions de l’antisémitisme et de la violence exercée sur les Juifs. A titre personnel, des catholiques et des protestants protestèrent au nom des Juifs, et de petits groupes s’impliquèrent dans le sauvetage et la Résistance (par exemple, Die weiBe Rose — la rose blanche — et Herman Maas).

Après 1945, le silence des dirigeants des Eglises et l’importante complicité des « chrétiens ordinaires », obligèrent les dirigeants des deux Eglises à aborder la question de la culpabilité pendant la Shoah — un processus qui se poursuit à travers le monde jusqu’à aujourd’hui.

Copyright © United States Holocaust Memorial Museum, Washington, DC

Translation Copyright © Mémorial de la Shoah, Paris, France

 

 

MARTIN LUTHER
 Martin Luther  (1483-1546) théologien Allemand et Père  fondateur de la Réforme se distingua au regard des Juifs par une hostilité théologique qui, cependant préféra très vite les voies de fait aux « disputations »

Ci-après quelques positions de Martin Luther. On y observera d’emblée une hostilité anti juive sans nuance qui prend date dans l’enracinement de la haine !


–  « Comme les Juifs aiment le Livre d’Esther, qui correspond si bien à leur appétit de vengeance, à leurs espoirs meurtriers! Le soleil n’a jamais brillé sur un peuple plus assoiffé de sang, plus vindicatif que celui-ci, qui se prend pour le peuple élu afin d’avoir licence d’assassiner et d’étrangler les Gentils. Il n’y pas de créatures, sous le soleil, plus avides qu’ils sont, ont été, et seront – il n’est que de les voir pratiquer leur maudite usure. – Ils se flattent de l’espoir que lorsque le Messie viendra, il rassemblera tout l’or et tout l’argent du monde et le leur partagera».

 ( Martin Luther dans « Les Juifs et leurs mensonges », 1543).


–  «  Il est aussi facile de convertir un Juif que de convertir le diable. Car un Juif,  un cœur juif est dur comme un bâton, comme la pierre, comme le fer, comme le Diable ( Satan Bref, ils sont enfants du Diable, condamnés aux flammes.


( Martin Luther dans son livre intitulé en hébreu « Schem Hemphoras », 1542).


–  « Peut-être quelque sainte âme miséricordieuse entre nous Chrétiens sera-t-elle d’avis que je suis trop grossier avec ces pauvres et pitoyables Juifs.  O Seigneur, je suis bien trop petit pour me moquer de pareils diables: je voudrais bien le faire, mais ils sont bien plus forts que moi en raillerie, et ils ont un dieu qui est passé maître en l’art de raillerie, il s’appelle le Diable et le mauvais esprit». 


( Martin Luther dans son livre intitulé en hébreu « Schem Hemphoras », 1542).


-«  En outre, vous avez également encore les Juifs dans le pays qui font de grandes nuisances… C’est pourquoi, messeigneurs, vous ne devez pas les souffrir: mais les chasser. Là où ils se convertissent, abandonnent leur usure et admettent le Christ, alors nous voulons bien les tenir pour nos frères.  Il n’en sera pas autrement, car ils le font trop grandement : ils sont nos ennemis déclarés, ne cessent pas de diffamer le Christ Notre Seigneur, appellent la Vierge Marie une pute, le Christ un fils de pute“.

 

( Dernier sermon de Martin Luther, fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

-«  Ils nous appellent petits monstres ou veaux à consommer, et s’ils pouvaient tous nous tuer, ils le feraient volontiers». 

( Dernier sermon de Martin Luther, fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

-„ 
Nous voulons encore exercer l’amour chrétien envers eux et les prier qu’ils se convertissent, acceptent le Seigneur qu’ils doivent équitablement honorer devant nous. Si quelqu’un ne veut pas pareille chose, alors il n’y a pas de doute que c’est un Juif foncièrement méchant.

  
( Dernier sermon de Martin Luther, fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

-«   Si les Juifs veulent se convertir et cesser leur blasphème et ce qu’ils nous ont ordinairement fait, alors nous voulons leur pardonner. Sinon, nous ne devons ni les tolérer ni les souffrir“.

( Conclusion du dernier sermon de Martin Luther fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

DUPLICATION INTERDITE A    EUROPE ISRAËL ET www.juif.org

 

     interview pere desboisIl est parmi les prétendants  à la « fraternité judeo-chrétienne » un prêtre Catholique dont l’amitié pour les Juifs ne peut être mise en doute ou classée au service démagogique d’un prosélytisme de mauvais aloi. Il s’agit du Père Patrick Desbois, haut responsable Catholique du « terrain d’échange » entre  les  deux traditions, celle d’Israël et celle de la chrétienté. Interrogé très récemment par Paul Amar, le Père Desbois fit part d’une vive inquiétude inspirée par les sévices divers que subissent les Chrétiens d’Orient de la part des porteurs de la foi islamique.

 L’attitude du Saint Siège « dépassée » par la conception d’une  centralité romaine se comporte comme si elle  croyait encore, ou  du moins, ferait  semblant de nous inviter à  souscrire à une dimension où opposer au « monde qui vient » avec les attributs incontestables et quasiment incontestés de la conquête Arabe,   le dogme de « l’Infaillibilité pontificale » suffirait à confirmer la prééminence de l’ultramontanisme.  et,  la persistance d’un mythe dévastateur, et englouti : la toute puissance de l’Eglise Catholique et son illusion omnipotente.

       

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Cette projection de la « toute puissance » Catholique ne tient pas ou, plutôt ne tient plus, quand des hommes de « bonne volonté, tel que le Père Patrick Desbois témoignent! D’abord,  le pardon sans réparation est tout comme la reconnaissance Vaticane de l’Etat de Palestine: une supercherie! C’est ainsi que cet ecclésiastique en dépit de son implication nécessairement militante ne se dispense pas du devoir d’assistance  ou de correction envers la mémoire de la Shoah. Il a ainsi initié à la recherche des dépouilles Juives en Ukraine, organisé exhumations et inhumations dans le but d’accorder à ces victimes une mise en conformité avec ce que la tradition juive prévoit en pareille circonstance.

C’est dans cette perspective, qu’interrogé très récemment par Paul Amar, Le père Desbois a fait remarquer, que,  tout comme  en 42,  le silence est de règle: Tant que les intérêts immédiats ne compromettent, pas l’essentiel , croit-on, comprendre, la nécessité de réagir ne s’impose pas!  Or, en Syrie, en Irak, par exemple,  c’est à une éradication absolue du Christianisme qu’assiste  le monde silencieux. Le Père Desbois relate les circonstances de l’islamisation d’un village où « VOL ET VIOL » sont les initiatives préparatoires. Exposé simple et percutant!  Le Père Desbois  y  dénonce implicitement   l’apathie  de l’Europe qui préfère garder pour  la sauvegarde de l’islamisme Palestinien, la   sévérité discriminatoire  dont elle accable Israël!

L’expertise  en géo-stratégie n’empêchera pas, cependant la culture du bon sens d’imposer   la  certitude  prévisible que combattant le même ennemi,  les Juifs seront  les défenseurs très probables de la Chrétienté!

 

REPRODUCTION INTERDITE A EUROPE ISRAËL ET  www.juif.org

 

Interrogé par Paul

 Remerciements à André   Hochberger 11-400-enfants-Juifs-deportes-de-France

 

(1)ochberger, ex directeur de l’Ecole Gilbert Bloch dOrsay qui m’a envoyé des « photos  tellement pas  photos, » qu’on croit reconnaître des  visages, des silhouettes, des rues, des immeubles.

https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/1558c15f91dca1c1?compose=new&projector=1

 

 Des photos si pleines de vie, qu’on ne peut empêcher le « nez » d’être aux premières loges et de se « prendre » une bouffée de cet air si singulier fait de vieux café, de vieux bois, de vieux immeubles, bref, cet air de Paris, qui, quand il remonte du  pancréas vers la gorge, laisse cet arrière goût de bonheur qu’on était en hâte d’avaler jusqu’à étouffement. 

 

A cette époque,  la France  était encore la France mais les photos qui suivent  sont des malheurs  que la France a voulus. Laval, le sinistre, n’a-t-il pas alourdi de l’exigence française, la déportation des enfants ?

 

Mais je me tais ! Et je relis mon titre ! Je ne vois guère matière à corriger, parce que  ’s’il y a lieu de juger. corriger c’est souvent pardonner !

 

France, ces enfants avaient confiance en toi ! France tu as piétiné l’héritage de tes pères. France tu as bafoué les droits que tu jurais d’imposer au monde. France, TU as trahi tes Juifs !

 

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file:///C:/Users/arnol_000/Downloads/11-400-11-400-enfants-Juifs-deportes-de-France (1)enfants-Juifs-deportes-de-France%20(1)%20(1).pdf

 

10kiodd7lsv7xry41dwj-300x224LE  RAV ELYAKIM SIMSOVIC ME DEMANDE MON AVIS SUR UN TEXTE DE/  Jean-Claude Milner écrit (Dans « Les penchants criminels de l’Europe démocratique », – Editions Verdier, 2003 –, page 126,

« … L’antijudaïsme sera la religion naturelle de l’humanité à venir … « ,

puis page 130 :

« … Le premier devoir des Juifs, c’est de se délivrer de l’Europe. Non pas en l’ignorant (cela, seuls les USA peuvent se le permettre), mais en la connaissant complètement, telle qu’elle a été – criminelle par commission – et telle qu’elle est devenue : criminelle par omission sans limites …».

Arnold Lagémi répond au Rav: Tuer n’est pas la maladie de l’Europe, c’est sa vocation!

Au Rav Elyakim SIMSOVIC

La citation que tu rapportes étant  formellement conforme aux conditions exigées  pour la « critiquer »  je ne me priverai  pas de l’opportunité qui promet  le rejaillissement suscité par la production d’un texte rare, si l’on veut bien ne conserver pour appréhender ce mot que  les définitions  du ¨PETIT LAROUSSE : » « Qui n’est pas commun,  qu’on ne « voit pas  souvent »

Le texte produit par le Rav Simsovic tout en renforçant  la certitude que la curiosité polyvalente du Rav impose de ne pas négliger les textes qu’il repère, l’objet de son choix  rejoint , de surcroît la pertinence des plumes « consacrées.

En effet, le manquement disqualifiant « qu’est le crime sur  commission, quand, par omission, » il s’en laisse distraire, laisse deviner avec une subtilité consommée, que les périodes où le JUIF pouvait faire la sieste sous  son pommier,  n’ont été possibles que lorsque l’Europe « délaissant » l’idéal de « tuer », ne renonçait pas pour autant  à son goût des passions mortifères.  Elle interdisait, seulement  par omission de conférer au temps de quiétude,   la valeur synonymique  d » ère nouvelle. »

L’EUROPE CESSE D’être l’EUROPE, QUAND ELLE DELAISSE  LE CHEMIN DU GOLGOTHA.

Ne  se désistant pas de la participation délibérée de « punir les Juifs »  « QUE SON SANG RETOMBE SUR NOUS ET NOS ENFANTS » , l’Europe retrouvera les accents de fidélité de la « Justice anti judaïque »  laïcisée par l’exhumation de la haine raciale. Elle prendra la mesure du risque qu’elle  ne parviendra peut être  pas, en dépit d’une tentative peu crédible de différenciation des Israélites d’avec  les fils de la Nation Juive renaissante. Distraire les identités Judaïques et Hébraïques dans la nouvelle haine  à qui Pie XII donnera l’audace d’une revitalisation dans MYSTICIS CORPORI CHRISTI, ne peut tromper !

La réalité criante de l’oubli  que l’auteur laisse au lecteur le soin de compléter en le comblant par le mot juste manquant s’inscrit  dans la convergence d’une volonté de faire tomber les masques .  Elle découvre un réquisitoire implacable :

« QUAND LE CRIME SUR COMMISSION ET LE CRIME PAR OMISSION VALIDENT LA DONNEE PERMANENTE DU  CRIME,  COMME  ASSISE MATRICIELLE DE LA CIVILISATION, nous sommes  invités à combattre une des formes les plus dangereuses de la volonté de mort, celle qui relève de l’irrationnel :

« LA VOCATION » DE TUER !

 

 

 

 

v

 

« Le mensonge est à la Palestine ce que la propagande fut pour Goebbels :  un moyen de vaincre !

 

Le petit exercice auquel je me livre a pour principale raison d’accepter l’évidence ! Le sionisme est une cause, la cause serait plus  exacte, qui, assimilée au péril national, enflamme de manière constante, la haine du Juif,  exutoire consacré.

 

 Pour ces faussaires patentés, former l’opinion, c’est d’abord convertir les consciences, à la  certitude que le « Juif » est cause de dysfonctionnements majeurs. Le talent serait nécessaire pour le décrire si la pathologie antisémite n’était pas inscrite au bilan de la civilisation Occidentale, à la rubrique  des « Risque endémiques » gravissimes.

 

 Condamner par des propos, réprouver par l’invective, l’Occident sait faire. Le Démontrer serait renoncer à cette donnée irrépressible, constitutive de la réalité anti juive, renaissante par l’opportunité du sionisme. Ainsi, mensonge, contrainte et terrorisme essaieront -ils d’user du fatal préjudice pour achever la construction de l’enfer, n’imaginant pas, que la convocation d’une justice expéditive à forte donnée expansionniste est en route avec intention d’être enfin et pour longtemps cette realité attendue et espérée :La justice immanente!

 

Tant les Eglises que les Etats n’ont jamais opéré les mesures drastiques d’essence pédagogiques après les turbulence occasionnées par Vichy sous la dépendance tutélaire et dévastatrice de « La Solution Finale ! Un assassinat racial de cette origine ne cesse pas d’exister (comme on nous le fait croire si l’homme le veut !) Il doit d’abord  être la volonté expiatrice des peuples concernés. Cette volonté ne s’est jamais manifestée comme « ambition nationale. » La haine, toujours là attendait.

 

 Et le Juif, naïf, donnait au silence la valeur réparatrice et excessive de l’éradication. La définition identitaire de l’Etat d’Israël allait prendre, après la « période Judaïque » la connotation  de la réalité sioniste qui, elle aussi, déjouera les prévisions massadistes, les visées suicidaires des prophéties meurtrières et obligera l’antisémitisme à se laïciser  Les dirigeants de l’Etat Juif n’accordant aucune considération aux motifs à ne pas s’    aimer,  firent naître  à la stupéfaction des Nations,  l’Etat Juif qui 68 ans après sa naissance oblige les esprits forts, à se demander si les progrès des Juifs, en quelque domaine que ce soit ne justifieraient  pas qu’avec la Résurrection de la Nation, que renaisse ce sentiment dévastateur mais purificateur qui apaise par le juste tout en découvrant que pouvoir ôter la vie enjoi !nt l’impérieux devoir de ne pas en user. Ce sentiment qui  devient vertu par la morale de ses servants, c’est la JALOUSIE!

           sartrecamus 1Une pratique juive assurément dévoyée,  mise au crédit d’une vision surnaturelle et plutôt magique,   paraît accorder au changement de nom  d’une personne mourante  la priorité des initiatives visant à empêcher l’irrémédiable de se produire. L’idée qui s’y attache est cohérente,  dans une approche plutôt « magique » de  l’homme et de son histoire. Elle atteste d’une telle soumission  que la perspective d’une destinée a depuis longtemps été chassée et remplacée par un intolérable rapport de force où « plaire au Ciel » est le devoir suprême d’une créature dépendante. 

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La  procédure de « changement de nom » telle  qu’on la constate dans « Téfilatt Béné Tsion, Tolédot Haam, page 478 procède d’une toute autre considération et assimile IMPLICITEMENT  la possibilité décrite ci dessus comme pratique superstitieuse pour le moins et manifestation magique étrangère au Judaïsme, pour l’essentiel.

 

En effet, la référence tutélaire sur laquelle se fonde la possibilité de « CHANGER SON NOM », prend pour assise l’usage qu’inaugura  ABRAM, dont la révolte, à sa seule appréciation,  lui valut le droit, de soutenir  qu’Abraham le remplace,  parcequ’ABRAM n’est plus.   On est loin d’un caprice identitaire, de la volonté d’une  » nationalité autre. »  Au delà de tout formalisme, nous sommes dans la confrontation  d’une nature, d’une orientation, et d’une radicalité telles, que le  « nom initial, » indissociable d’une idolâtrie librement récusée et délibérément réfutée  s’inscrivait dans le  « souvenir d’un projet caduc »  dont il importait de ruiner le maintien et la confiance.  La révolte d’Abraham et, elle seule, eut le pouvoir de changer sa destinée en destin, conférant à l’homme la capacité  et le droit de repousser les fatalités d’une identité qu’il réprouverait.

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Aucune Révélation d’inspiration biblique n’accorde, sauf Israël, à l’homme un tel pouvoir. Assis sur une liberté d’une telle amplitude l’Hébreu sait-il qu’il ruine les mythologies les plus tenaces? Parce qu’il n’est pas encore démontré que renoncer à succession s’applique aussi aux déterminismes de nature!

 

La référence à la procédure de changement de nom livre un seul argument mais ce seul élément, est d’essence royale. Il contient tous les autres (kenegued koulam) : Huitième ligne du texte p 478:

« VOICI, IL EST COMME UN AUTRE HOMME » Et, immédiatement après,  le jugement sans appel qui confirme que changer son nom est le couronnement d’une Renaissance   « OUKHBERIA HADACHA »saisissant l’homme dans toutes ses constances. Une telle LOI, n’est pas que LOI, parce que, plus qu’allégeance, elle est Amour et aimer c’est reconnaître la nécessité! Comprenez vous mieux cette approche sépharade par laquelle la définition privilégiée de la Loi est d’abord THORAT LARZIZ?

Le  Héros, « Made in ISRAËL » Définition et profil.      HOMMAGES AUX PROFESSEURS ZVI ISRAËL et HAGGAÏ BERGMANN DE L’HOPITAL HADASSAHtsahal et enfant

 

Si « apprendre à tuer » reste  une garantie d’héroïsme, il n’y a pas de héros en israêl..

https://www.youtube.com/watch?v=v11c8yim6RE

Marines : aucun rappport !

Légionnaires : « Tu rigoles ! »

Commandos de marine ! » De quoi tu parles ?

 

« Je parle d’un pays qui le lendemain de son Indépendance dut affronter les armées de huit pays, sans pièce d’artillerie ! »  « Je parle d’un pays qui le soir de l’Indépendance proclamée vint sous les fenêtres de David Ben Gourion, chanter et danser  de joie « devant le vieux lion »  qui, interrogé sur ses raisons de pleurer, abandonna les pleurs pour les sanglots et dit avec une infinie tristesse : « La plupart d’entre eux mourront demain ! »  Le Dr Yéhouda David est héritier de ces combattants héroïques. Il vous livre ses confidences!

Le  héros Juif, même agnostique ne peut repousser des évidences typologiques qui, quand bien même auréolées d’un antisémitisme discret se confondant  à de bien   platitudes  évidences,  conduisent à admettre que la société juive est bien plus menacée par l’indélicatesse que par le  crime, de sang, s’entend !

 

 Déjà, il y a quelques années, le prof Baruch, psychiatre éminent, membre de l’ACADEMIE DE MEDECINE, démontrait  que l’absence d’assassins (en proportion du moins) chez les Juifs,  trouvait explication, sinon la seule, dans le soin apporté à distinguer les animaux impurs et interdits à la consommation, des animaux purs et dont on pouvait se nourrir.

Je reviendrai sous peu sur cette réflexion et sur l’intuition géniale qui fit naître chez Lamartine, par le biais d’une perception qui évoque la « vision prophétique »  ce principe de base à la justification de manger CACHER/

 

DE CRUELS ALIMENTS INCESSAMMENT REPUS TOUTE PITIE S’effaça en leurs cœurs corrompus. Le meurtre par milliers s’appelle une victoire.  C’est en lettres de sang que l’on écrit la gloire !

 

Aussi, je vous invite à rencontrer un de ces héros Juifs, ceux dont l’histoire avait cru nous persuader qu’ils n’existaient pas.

 

 Vous découvrirez un homme dont je tire fierté légitime à  avoir fait  partie de son environnement motivant. Cet homme, a dû apprendre le métier de soldat ! Il ne savait pas faire. Il a appris à sauver des vies, en opérant à coeur ouvert sur le terrain! Il faut savoir ouvrir un thorax quand les balles sifflent. Regardez le, écoutez le ! avec une vieille photo de famille, mais très vieille, où il y aurait les plus vieux .

 Imaginez les à vos côtés quand le Dr Yéhouda David parlera de ses soldats et pleurez avec eux parce que « pleurer » est souvent la seule réponse qui vaille quand de cette intervention, vous n’empêcherez pas ce qui vous reste de Juif, c’est-à-dire d’héroïque, de  vous jeter en pleine figure :

« Si je dois porter les armes, je veux que ce soit seulement et exclusivement chez TSAHAL ! Parce que je sais que là bas, je suis protégé contre moi  même,  Savoir que la Chine Populaire est le premier client d’Israël, pour les armes les plus sophistiquées, m’oblige à admettre qu’en soixante huit ans, en faire autant n’est possible que si D.. le veut.

je sais qu’entouré de soldats d’ISRAËL JE SUIS IMMUNISE CONTRE LA TENTATION  D’ËTRE HOMME QUI N’A PAS DE COMPTES a RENDRE !

LE DR YEHOUDA DAVID DEMONTRE QUE LA PROVIDENCE A CESSE SON EXIL. Il est difficile d’expliquer par la seule raison….. Mais chut,  un héros d’Israël! il s’approche ! On se lève ! Peu importe son âge ! Être heros d’Israël ça se respecte , d’abord chez nous ! Son audace nous protège ! Comme lorsque quelqu’un de la famille est appelé à la thora, on se lève, peu importe l’âge ! Par son appel , toute la famille est honorée!/ 

 

                                 Dr yehoudaDocteur DR Yehuda David, chirurgien orthopédiste, (3 specialités), Commandant de réserve dans Tsahal, Diplomé de sciences politiques (diplomatie – sécurité)

, Haute décoration militaire durant la seconde guerre du Liban (2006) et défenseur d’Israël au Tribunal Internationnal face au mensonge Palestinien de l’affaire Al Durah.

duplication autorisee sous reserves des mentions legales

REPRODUCTION INTERDITE A JUIF.ORG ET    EUROPE ISRAEL

BL PASCBlaise Pascal : Le peuple Juif est singulier par sa « durée » !

 

Pascal insiste. Cette ancienneté est associée à une grande constance du peuple juif à l’égard de sa loi, toute contraignante qu’elle soit. Ce paradoxe est censé frapper le lecteur d’étonnement et d’admiration

ARNOLD LAGEMI : INTRODUCTION ET PRESENTATION

L’attitude passive à l’endroit du racisme anti Juif ne peut plus éviter une légitime réaction d’auto défense : la production de données avérées dont l’intention est de réveiller autant la honte du coupable que d’interpeler l’indifference   ou le mépris du Juif et du tiers. Montrer que la Palestine n’est pas qu’une supercherie mais qu’elle a aussi dérobé l’appréciation victimaire du peuple juif, neutralisee en 1948

L’antisemitisme confirme la pratique  du racisme le plus sauvage.   Il devient audacieux et se manifeste sans crainte. Il se révèle à visage découvert.   Il  doit être combattu avec IMAGINATION.

Il faut    Justifier l’appréciation NIETZSCENNE RELATIVE AUX ANTISEMITES,  DEGENERES en l’occurrence   Les grands esprits Français condamnent  la discrimination anti juive, à l’égard de laquelle toute concession est compromis et aveu de faiblesse. Si ces citations qui fondent la France et lui confèrent la qualité enviée d’entité matricielle,  ne sont pas réfutées,  il sera équitable de rajouter à « dégénérés, » l’once de responsabilité qui justifie qu’à l’origine fils de d’Alembert, certains Français  se surprennent à estimer quelques  mérites à la Revolution nationale : lâches 

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 Avantages du peuple juif. 

Dans cette recherche le peuple juif attire d’abord mon attention par quantité de choses admirables et singulières qui y paraissent.

Je vois d’abord que c’est un peuple tout composé de frères, et au lieu que tous les autres sont formés de l’assemblage d’une infinité de familles, celui‑ci, quoique si étrangement abondant, est tout sorti d’un seul homme, et étant ainsi tous une même chair et membres les uns des autres, composent un puissant État d’une seule famille. Cela est unique.

Cette famille ou ce peuple est le plus ancien qui soit en la connaissance des hommes, ce qui me semble lui attirer une vénération particulière, et principalement dans la recherche que nous faisons, puisque si Dieu s’est de tout temps communiqué aux hommes, c’est à ceux‑ci qu’il faut recourir pour en savoir la tradition.

Ce peuple n’est pas seulement considérable par son antiquité, mais il est encore singulier en sa durée, qui a toujours continué depuis son origine jusqu’à maintenant. Car au lieu que les peuples de Grèce et d’Italie, de Lacédémone, d’Athènes, de Rome, et les autres qui sont venus si longtemps après, soient péris il y a si longtemps, ceux‑ci subsistent toujours, et malgré les entreprises de tant de puissants rois qui ont cent fois essayé de les faire périr, comme leurs historiens le témoignent, et comme il est aisé de le juger par l’ordre naturel des choses pendant un si long espace d’années, ils ont toujours été conservés néanmoins,

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et cette conservation a été prédite ;

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et s’étendant depuis les premiers temps jusques aux derniers, leur histoire enferme dans sa durée celle de toutes nos histoires.

La loi par laquelle ce peuple est gouverné est tout ensemble la plus ancienne loi du monde, la plus parfaite, et la seule qui ait toujours été gardée sans interruption dans un État. C’est ce que Josèphe montre admirablement contre Apion et Philon Juif, en divers lieux où ils font voir qu’elle est si ancienne que le nom même de loi n’a été connu des plus anciens que plus de mille ans après, en sorte qu’Homère, qui a écrit de l’histoire de tant d’États, ne s’en est jamais servi. Et il est aisé de juger de sa perfection par la simple lecture où l’on voit qu’on a pourvu à toutes choses avec tant de sagesse, tant d’équité et tant de jugement, que les plus anciens législateurs grecs et romains, en ayant eu quelque lumière, en ont emprunté leurs principales lois, ce qui paraît par celle qu’ils appellent des Douze Tables et par les autres preuves que Josèphe en donne.

Mais cette loi est en même temps la plus sévère et la plus rigoureuse de toutes en ce qui regarde le culte de leur religion, obligeant ce peuple, pour le retenir dans son devoir, à mille observations particulières et pénibles sur peine de la vie, de sorte que c’est une chose bien étonnante qu’elle se soit toujours conservée constamment durant tant de siècles par un peuple rebelle et impatient comme celui‑ci, pendant que tous les autres États ont changé de temps en temps leurs lois quoique tout autrement faciles.

C
Dr yehouda

UN HEROS GARDIEN DE LA LOI.  Dr YEHOUDA DAVID

 

Les fatalités de la Schoah  le mépris , l’indifférence  à toute  inquiétude  des survivants, l’absence de considération  pour  leur solitude ne sont  « nouveaux » que pour naïfs, complices, et assassins.

LE CELEBRE CHANT DE LA NUIT PASCALE   « DAYENOU »TROUVE  UNE ADAPTATION FONDEE QUAND BIEN MÊME SURREALISTE DANS la signification tragique de L’HISTOIRE DE  « L’EXODUS.

 

 EXODUS SANS AUSCWITZ DAYENOU!

________________________

1947 des rescapés de la Shoah tentent de gagner la Palestine. Les Anglais n’autorisent pas leur débarquement. Après quelques péripéties, les « voyageurs » sont renvoyés en… Allemagne! Golda Méir commente cette tragédie.exodus

   Propos sévères qui accusent et dénoncent  un danger  qui se serait plutôt  amplifié par les audaces criminelles qui ne se cachent plus et transforment leurs déjections racistes en évidences  contraignantes.  

La « Mamy » d’Israël qui justifia les propos du Vieux Lion:  » de dire à Ariel Charon lors de la guerre du Kippour qui voulait poursuivre les combats: « Si tu ne rentres pas à l’instant, tu seras le premier général de Tsahal destitué, vous parle:        

« Ce qu’il y a de plus inquiétant, de plus scandaleux, ce n’est pas ce qui est arrivé à quelques milliers de gens sur ce bateau. Ce qui est scandaleux, c’est le fait que, pas une seule personnalité ne s’est trouvée pour lancer un cri de protestation indignée contre cette injustice.   »

 Puis, à propos du jeûne entrepris par les Juifs pour attirer l’attention du monde:

 

« Dans le monde où nous vivons, un jeûne a peu de chance d’émouvoir qui que ce soit,   mais, il eût été, néanmoins, encourageant que quelques non-Juifs à travers le monde se soient joints à notre jeûne, non pas, par solidarité pour nous, mais pour L’HONNEUR DE LA CONSCIENCE HUMAINE, et de leur propre conscience!

 

Nous savons que dans ce bateau se trouvent des dizaines de femmes sur le point d’accoucher ou dont les bébés viennent juste de naître.

 Où sont donc les organisations féminines qui, dans le monde luttent pour les droits de la femme?

Pourquoi n’entend t-on pas leurs voix s’élever contre cette injustice?

Je ne crois pas qu’il existe un autre peuple qui aurait le courage de continuer la lutte dans de telles conditions. Peut être le peuple Juif aurait-il  lui aussi désespéré s’il AVAIT EU UNE AUTRE SOLUTION DE RECHANGE.

MAIS FAUTE D’AUTRE SOLUTION, IL CONTINUE LE COMBAT ENVERS ET CONTRE TOUT. Et aussi étrange que cela puisse paraître, le peuple Juif est sûr, en dépit de tout, qu’il remportera finalement la VICTOIRE! »

                          Golda GOLDA  MEÏR, PREMIER MINISTRE –  ETAT D’ISRAËL

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          exodus                                                                             

 

falsification

 

Le Témoignage de l’Eglise appréhendé dans le Jugement  que produirait le  Souverain Pontife, Vicaire du Christ et Chef suprême de la Chrétienté est attendu, en cette affaire avec la considération qu’on doit pour qui détient  le privilège de proclamer une vérité qui serait de nature à dissiper l’arbitraire.

 

L’Eglise dispose en effet, de la preuve assimilant la position de l’UNESCO sur le rattachement des « sites Juifs » de Jérusalem à l’Islam à « mensonge » «  et falsification ». En effet, Dans l’Encyclique MYSTICIS CORPORI CHRISTI publiée en 1943, LE PAPE PIE XII déclare dans la dite Encyclique, versets 33 à 35 « Editions VATICAN »:

 

 » Alors, dit saint Léon le Grand en parlant de la Croix du Seigneur, le passage de la Loi à l’Evangile, de la Synagogue à l’Eglise, des sacrifices nombreux à la Victime unique, se produisit avec tant d’évidence qu’au moment où le Seigneur rendit l’esprit, le voile mystique qui fermait aux regards le fond du temple et son sanctuaire secret, se déchira violemment et brusquement du haut en bas (35).  »

 

En dépit de l’aberration théologique par laquelle cette Encyclique condamne le Judaïsme, le propos pontifical fonde l’appréciation historique de la souveraineté judéenne

sur le Temple, au moins jusqu’à la mort du Christ. Le « voile se déchira » quand le Christ expira sur la Croix ne pouvant être lu autrement que dans son sens réaliste et historique, sauf à justifier l’intégralité allégorique des Evangiles.

 

Peut-être que les représentants de l’Eglise Romaine, je pense notamment à Monsieur l’abbé Arbez discerneront la reconnaissance juive qui ne manquera pas de se manifester pour le courage de confirmer le « vrai ! »

 

Peut être qu’ainsi, l’Eglise, comblant, pour partie, l’attente réparatrice, les Juifs verront inclination bienfaisante aux perspectives fraternelles espérées.
 

AUTEUR ET SOURCE : ARNOLD LAGEMI

TOUTE REPRODUCTION MENTIONNERA NOM ET ADRESSE DE L’AUTEUR.

LA DUPLICATION DE CET ARTICLE EST strictement INTERDITE A europe Israël et Juif.org

Assez de fausser, assez d’innover dans l’indignité  et l’impunité !

 Voici comment salir la mémoire d’un martyr:  on dénonce d’abord le milieu dans lequel a évolué « celui » que l’on veut abattre! On oriente l’éclairage et le lecteur fera le reste!drucker le père

 drucker

Abraham DRUCKER  est la première personne à être arrêtée au printemps 1942. Son parcours à partir de cet instant est bien connu car il a déposé en 1946 un témoignage dactylographié mis à disposition des tribunaux alliés en Allemagne. Ce document essentiel permet de revenir notamment sur la brutalisation omniprésente dans les camps d’internement et dans le camp de transit de Drancy. C’est sur ce dernier que l’ extrait sélectionné ici se rapporte. Le père du présentateur de TV doit être atteint dans son honneur pour que « l’infâmie du Juif » soit démontrée. Les spécialistes s’y emploieront !

La vérité, les faits:  

Non content d’atteindre une famille en pillant ses souvenirs et, en les restituant avec la « gratification » anti-juive, la victime, en l’occurrence, le père de Michel Drucker est « désigné » accompagnant le sinistre Aloïs Brunner ! Propos, à lui seul justifiant la suspicion ! CAR, SI LA RUMEUR ETAIT VERITEE, ELLE SERAIT PUBLIEE ! Il n’était plus nécessaire de préciser que la victime « excellait » dans la brutalité ! Cet antisémitisme est « tueur »et le mensonge n’est même plus artifice. Il se présente, tel quel, l’étoile de David prenant la place du gouverneur de la Bastille! Somme toute, à y regarder attentivement, Nietz sche est maître du jeu! Nous sommes en présence de dégénérés! « SI LA CONSCIENCE N’EST PLUS, LA BÊTE PEUT « ABOYER » A Aushcwitz, son  reste d’humanité est devenue objet d’anthropologie!

 

source: mémoire virtuelle

POUR FABIAN VINAS                                             

Rien  ne permettait  de prévoir que l’homme devenu,  manifesterait sa réprobation au désir des Juifs de rentrer chez eux. Un prof d’histoire se sent mal à l’aise ! Aussi, t’invite t – il à l’écouter et, surtout, à lui répondre !

ON N’EST plus dans la critique d’un gouvernement, on est dans la réprobation d’une volonté nationale de vivre sur une terre reconnue Israélienne le 14 Mai 1948.  L’hostilité à l’Etat Juif c’est l’implication de la population civile, partie constitutive de cet Etat ! L’antisionisme est une des formes les plus subtiles d’approbation de l’extermination de l’entité sioniste !

 Sans cette  qualité d’ancien élève, je ne crois pas que je serais intervenu. Aussi, je cours le risque de t’agacer en soutenant qu’ayant eu charge toi, je ne saurais me sentir étranger par ton soutien à une cause qui, pour être opposée à mes engagements, n’en reste pas moins l’exercice d’un droit légitime.  Permets moi d’être abrupt qjand tu soutiens qu’ayant du cœur ,tu ne cherches pas le conflit ! Fabian rien n’est plus redoutable que l’émotion  et la sensibilité si l’intelligence et l’exigence de la preuve ne marchent pas en tête. Accuser c’est savoir ! Fabian, ton avis en la matière se fonde sur une sensibilité à l’enfance, arme facile  qui ne doit pas  distraire de la fourniture de la preuve, seule  garantie contre les abus et seul motif qui fonde en droit le recours à la force ! A te dire vrai, il est préférable de ne pas avoir de cœur, plutôt que d’en avoir en sacrifiant le juste !

 Ayant l’avantage de te connaître,  je sais que si je fais les efforts requis ,accompagnés par l’inspiration nécessaire, je ne crois pas que tu persisteras ! Car, si ton souvenir s’impose à moi c’est par la prépondérance de l’émotion certes mais que soutient un jugement que tu n’hésitais pas à solliciter quand  contredire  l’incohérence ou le  fanatisme t’apparaissaient incontournables.  Encore faut-il te convaincre. Je tente !

Tu te rappelles que je n’ai pas réputation de tergiverser quand j’ai quelque chose à te dire. Si tu gardes quelque sympathie pour moi , tu devrais plutôt te dire, ce que je me dis à l’endroit d’un prof de français qui me voyant heureux en récréation (j’étais en 6èm) me demanda : « Arnold, je t’observe depuis un moment, tu n’as pas hésité à donner ton croissant aux amandes à ce petit Arabe (je suis Pied Noir) qui ne t’avait rien demandé mais dont le regard en disait long. Arnold, tu as plaisir à donner. Il y a un métier où l’on donne bien plus  qu’on reçoit, mais quand on reçoit ça déborde. Ce métier c’est le mien !

 

L’idée a fait son chemin. Et c’est en pensant à ce qu’il aurait fait dans mon cas, face à toi, que je t’écris, d’abord pour te dire, que, dans la perspective où tu me conserves quelque sympathie, j’aurais estimé, hautement éloquent, que tu te dises : « 

 

 Comment Monsieur Lagémi, peut-il être sioniste ?

 

 Lui qui, en Conseil de classe, quand un élève était unanimement « condamné » prenait seul sa défense, comment  peut-il approuver les crimes qu’on impute au sionisme ?  Dans cette première lettre je me limiterai donc à quelques questions :

 

 « Depuis presque  2000 ans en Europe Chretienne, les Juifs sont victimes d’exactions diverses, de conversions forcées,  POURQUOI ? 

 

Jusqu’en 1789, ils n’avaient pas accès à tous les métiers ! Ils devaient porter l’étoile jaune pour être repérés de loin. Le summum fut atteint  par le régime de Vichy où l’ex Maréchal Pétain en 1940, publia l’infâme STATUT DES JUIFS. POURQUOI ?

 

De 1940 à 1944, Hitler qui,  dès 1925 avait prévenu dans MEÏN KAMPF qu’une fois au pouvoir, les nazis anéantiraient  tous les Juifs, MIT SON PROJET A EXECUTION ! 6 000.000 DE JUIFS furent exterminés ! POURQUOI ?

 

Le mouvement sioniste qui préconisait le retour des Juif en Palestine, d’où ils avaient été CHASSES PAR LES ROMAINS en 135, proclama l’indépendance d’Israël le 14  MAI. Les Arabes refusèrent en 1947 LE PLAN DE PARTAGE Qui leur accordait un Etat. Ils préférèrent la guerre !  POURQUOI ?

 

Cette guerre qu’engagèrent   les armées Arabes coalisées LE LENDEMAIN DE L’Indépendance d’Israël avait pour but, non seulement LA VICTOIRE MILITAIRE MAIS LA LIQUIDATION DE L’ENTITE SIONISTE ! Car l’antisionisme (que je ne puis croire que tu soutiens) ce n’est pas réprouver une politique, c’est déplorer la présence des Juifs.

 

Que penses tu de ces parents qui envoient leurs enfants se sacrifier en se faisant exploser ? Sais tu qu’il y a dans tsahal des officiers généraux Musulmans ? Sais tu qu’un ancien President Israélien est en prison par le jugement qu’a rendu un juge d’Israël, Arabe ? Savais tu qu’il y a à la COUR Suprême d’Israël, des magistrats Arabes ? J’ai vu à la Knesset, le Président de session, faire descendre de la tribune un Ministre en Exercice !

 

 Connais tu des pays où les députés soutiennent la cause des ennemis sans être jugés pour trahison ?

 Quant à la Palestine existait-elle, en tant qu’entité nationale, avant que les Juifs ne reviennent chez eux ?

 Qui connaît le nom d’un Résistant Palestinien  Opposé à la colonisation turque ? Ne cherche pas, il n’y en a pas !  J’ai été bavard mais il me semble que Fabian Vinas méritait que je lui réponde. Et, j’attendrai ta réponse, non sans t’avoir dit que je prépare la réalisation d’un « documentaire » où je délivre, preuves à l’appui que les accusations de « crimes de guerre  dont tsahal est accusé»sont d’odieux montages mensongers et diffamatoires.

 

 Je t’assure que j’ai pris plaisir à m’entretenir avec toi et te confirme que je n’ai pas apporté ma caution à cette cause sans avoir la légitime conviction qu’elle et elle seule mérite soutien et appui. Je ne pense pas que la façon avec laquelle tes parents (à qui je te prie de transmettre mon meilleur souvenir et ma vive considération) qui  t’ont transmis le meilleur de ce qu’ils avaient,  apporteraient  désaccord ou réprobation à cette défense qui est finalement l’illustration de mon attachement indéfectible aux vertus républicaines de la France, qui n’est grande que, tant « qu’elle l’est pour le monde ! »

Avec mon affectueux souvenir,

 

Arnold Lagémi

 

                                           aristo 3 « MA  NICHTANA »…UN COMMENTAIRE COMPOSE POUR LA Cour des Grands, et qui se retrouve dans une maison où tout respire le « vieux   » sauf les cheveux blancs qui la squattent!

 

 Quand l’idéal MATSA (il a trouvé) devient histoire,  MATSATI (j’ai trouvé) et   Savoir questionner   MA NICH TANA  LA liberté EST FIN DE NUIT !

On était fondé, m’avait-il semblé, à signifier l’essentiel de la Pâque au niveau de l’obligation d’établir “l’incursion historique ?

 

La participation de “l’ineffable” au déroulement de cette “portion historique” de tout premier plan ,PARCE QUE GENERATRICE DE FAITS, voire de philosophies, place la libération si haut que le nationalisme devenant fin en soi, s’écarte de Pessah pour se fourvoyer dans un  matérialisme  caricatural

                                                                                                                             aristo 2

 Relater cette histoire induit que l’assimilation de tous les paramètres ayant été réalisée l’obligation d’en évoquer les étapes décisives devient « une des données de la conscience »par laquelle s’édifie l’histoire sur l’assise de la réinitialisation. Le risque majeur restant la tentation d’imaginer contre laquelle l’hébreu se prémunit par l’adhesion sans concession à  l’identification

 

 Cette façon  d’éclairer “l’histoire”  où le passé même simple  reste révolu parce qu’ontologiquement « disparu »empêchera l’hebreu de s’y associer. En effet, se considérant : acceptant pleinement, totalement et sans réserve, le contrat du Sinaï, il étend par une « adhésion  volontaire » l’implication de sa responsabilité à un temps où n’existant pas, il ne renonçait pas, pour autant, à en être « caution solidaire ! »

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 Ainsi, et, dans ces conditions, le passé n’est pas clos avec le récit libératoire, il devient source de compléments qui, selon les talents   le génie ou l’inaptitude pourraient être en mesure de dépasser “l”évènement”en offrant ce que toutes les civilisations définirent comme la griffe non seulement du passé simple, voire du passé composé mais assurés que VOIR ET CONTEMPLER L’ÂGE D’OR n’est générateur de contentement que pour les “pères!”

 

Si manger de la “Matsa” est l’ornement de pessah, il est vertueux de rappeler que c’est d’abord “l’injonction divine” qui assoit la pratique. Ensuite, on entre dans les “risques” en citant la Providence comme associée. Et le cérémonial ne prend sa dimension que par ce rappel basique que (si “l’idée” chez Platon est aveu de l’âme) les hébreux ont dépassé la richesse théorique  de la seule “idée” en l’associant au projet.

                                                                                                                  aristocratie

  La proclamation “qu’avoir une idée” c’est refuser que tout ce qui a vocation à progresser, restât  “idée” sans  l’aptitude à “avoir une idée!”. C’est entrer dans la dimension mutilante de la condition humaine.

 

 Dire que  « l’homme ne se fonde que sur une part sacrifiée de lui-même » n’est authentique que chez Sophocle ou Eschyle.  Ne détenant ni les moyens de sauvetage individuel, ni ceux qu’impose le progrès du bien, l’homme n’a pas d’autre issue que le recours à l’heresie que nuance l’aveu, « Mon royaume n’est pas de ce monde »ou « Rendez à César etc…

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Le Chrétien resterait-il la meilleure façon d’être homme ? Quand bien même mutilé et renonçant, les Evangiles seules empêchaient le « tragique ». On comprend mieux, que le Juif par le refus de Jésus, confirme qu’il a mieux à offrir qu’une mutilation, inévitable revers d’une existence qui s’essouffle à la seule perspective de rappeler que la loi morale seule a vocation à fonder l’homme sur ce qu’il est !

 

 On remarquera que le processus exécutoire passe  d’un idéal démocratique où la consommation de la matsa sera pratiquée par tout le peuple, avant la confrontation avec l’ultime. En effet, avoir le sens de la  question, ne rend il pas possible, voire certain, que la réponse ne  prît le chemin de l’anéantissement? D… m’aime -t-il ? est bien plus signifiant que soutenir que “nous “l’aimons!”

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 Et puis, avec Pessah, et le questionnement, on sait, que les questions traduisent les manques, c’est à dire ce qui est essentiel, parce le besoin tel que vécu  n’est jamais dans ce qu’on a, mais toujours dans la croyance (qui peut n’être qu’illusion) de ce qu’on aura!

Que le cérémonial repéra  le questionnement comme “parure”, que la distinction de n’affirmer  lapréséance   de la sagesse que  dans la mesure où le questionneur aura  su conserver l’art et la manière de questionner à la façon qui fut celle du “Petit Prince”, indique que la grandeur de nos père, n’implique pas cette part assassine qui priverait les fils de marcher sur leurs traces.

 

 Savoir et Chanter, quand l’enfant est seul désigné à “recourir” à l’interpellation directe, invite, aussi, à mesurer la vanité d’un questionnement, par l’invite à l’inanité de la question: “Ma Nichtana?”

 

Quoi? Vous ne voyez pas ? Les temps changent! Vous interrogez sur les différences? Mais la TERRE PROMISE ET REMISE est le seul pays  à ne pas avoir de frontières !

 

 Ben Gourion l’a dit , le jour de la fin de l’Exil! Ma nichtana entre nos pères et nous? Eux pouvaient dire “NAASSE VENICHMA! Pas nous! Ma Nichtana, les fils seront plus grands que leurs pères, et seuls les pères en seront fiers !

 

On provoque la curiosité des enfants en retirant le plat du séder au début du repas comme s’il était fini avant d’avoir commencé et on leur distribue des friandises pour les tenir éveillés jusqu’à ce que la question ait été formulée et la réponse amorcée. Et si l’enfant ne s’étonne pas de lui-même, son père lui enseigne et s’il n’a pas d’enfant, sa femme l’interroge et s’il n’est pas marié, il s’interroge

Ce qui revient à dire qu’aucune raison ne pourrait venir à bout d’une question ultime. Par contre, l’homme, (ou la civilisation) quand bien même ne saurait refuser de participer au progrès,  Là, la solitude reprend son pouvoir et sa fonction!

Susciter les questions  (l’énoncé une fois affirmé) détient plus de potentialité que  la réponse elle même!  Les auteurs qui marquèrent leur temps furent ceux qui “oublièrent” les réponses. Abraham ne fut-il pas plus grand quand il “reconnut ne pas savoir où il devait aller” que quand il sut que fonder l’homme sur l’idole, c’était se défigurer à jamais?

 

 

                      Liu_Yandong_2011En étant le premier pays du Moyen Orient à reconnaître que le  Gouvernement de Pekin est  le seul à représenter le peuple Chinois, l’Exécutif israélien témoignait d’une intuition politique hors du commun mais surtout, le geste témoignait  d’une volonté historique qui entendait  prendre date dans un processus de normalisation qui appelle à court terme à …rendre la pareille! 

Toujours est-il qu’Israéliens et Chinois ne perdent pas leur temps. Mme LIOU YENDOG, Vice Premier ministre Chinois était à Jérusalem, la semaine dernière pour la deuxième  réunion du Comité Conjoint pour l’innovation et la Coopération sino-israélien  créé en 2015 à Pékin.                        

 Pendant que l’ambassadeur d’Israël à Pekin était désigné pour présider le salon des technologies innovantes!

La dirigeante Chinoise en a profité pour confirmer  » l’intérêt de la Chine dans le développement de ses relations avec Israël dont la renommée en termes d’innovation est RECONNUE DANS LE MONDE ENTIER! »

 

A ce jour, Pekin et Jérusalem ont signé treize accords de coopération bilatérale, notamment en matière  de technologie nucléaire prévoyant  de développer les programmes d’échange universitaires. Un accord de libre échange est en train de se préparer. Il permettra de doubler le volume actuel des échanges estimé à 8 milliards de dollars annuels et dont l’implication est appelée à concerner diverses activités commerciales. Le domaine des technologies innovantes gardera une part essentielle.

 

Un signe quasi insignifiant doit témoigner tout de même que Pekin ne néglige aucun moyen pour faire réussir son partenariat avec l’Etat Juif. C’est la prochaine négociation entre responsables concernés en vue   d’assouplir les visas d’entrée en Chine pour les Israéliens. Un accord semblable avait été conclu avec les USA ET LE CANADA.

 

L’allègement réciproque des  démarches facilitera le tourisme Chinois! La Chine consciente des retombées prévisibles de son audace le confirmera par les propos courageux de Mme LYU YANDONG: « Nous restons le vecteur incontournable de l’économie mondiale. »  Avertissement aux Nations qui déploieront  bien des efforts pour contrecarrer l’ambition amicale, de deux pays qui, de la Grande Muraille au  Kotel Hammaravi  témoignent que les murs n’emprisonnent que ceux qui s’y enferment!

 

 

mosché Sharrett et Ben Gourion                     Moché Scharrett est à New York. Ben Gourion  l’a chargé d’y proclamer la Naissance de l’Etat d’Israël.  A l’aeroport de New York , il rencontre David Hacohen de l’Agence Juive à qui il confie: « Le Général Marschall, Secrétaire d’Etat US a fortement insisté pour que nous repoussions la Proclamation de l’Etat afin d’accepter un armistice. » Les Etats Unis nous ont privés d’armes, de formation militaire et même de plaques d’acier pour blinder nos autobus civiles. Maintenant, NOUS NE SOLLICITONS AUCUNE AIDE ! ».

MOSCHE  SCHARRET  ET « Le vieux Lion »

Le Général Marschall poursuivit: « En tant que Soldat, je voudrais vous dire que Votre pays n’existera que depuis quelques heures qu’il devra déjà affronter les armées Arabes régulières coalisées contre lui! Qu’arrivera t-il en cas d’invasion prolongée? Moché Scharret bouscule son ami de l’Agence Juive vers une cabine téléphonique et lui dit:  » Marschall est un ami du sionisme, et ce qu’il me dit » me déclara  t-il est  motivé par la volonté de conserver ses amis VIVANTS »!                                                                                                                           

*General   Marschall

 

 

Scharett a pris l’avion , le coeur angoissé. IL a réfléchi longuement à ce que sa position devait être  et finit par rejoindre les conclusions de Marschall: » Vous ne sortiriez pas vainqueurs d’une  confrontation avec l’armée Arabe coalisée! » Weitzman  écrivit quelques mots d’encouragement à Moché Scharett  en insistant sur le réconfort: « Ne les laissez pas vous décourager. Ou bien l’Etat sera instauré maintenant, où bien  D…  nous en préserve; il ne le sera jamais. »

Il recommandera de renvoyer à plus tard la proclamation de l’Etat. Il arrive tard dans la nuit chez Ben Gourion. Celui-ci racontera:  Moché Scharret ne perdra pas un seul mot du  message qu’il devait rapporter. Et, vers la fin,  dit avec   une voix différente:Je  crois qu’il a raison! »

 Aussitôt, Ben Gourion se leva, verrouilla  la porte de sa chambre et lança à son ami: «   

Moché, je te demande de présenter un rapport complet de ta conversation avec Marschall, au  Mapaï,  comme tu me l’as relatée. Mais tu ne quitteras pas ces lieux, avant que ne me promettes une chose:  « Ces cinq derniers mots que tu as prononcés  (Je crois qu’il a raison!) TU  NE LES DIRAS PAS AU COMITE CENTRAL »

 MOCHE SCHARRET  A ETE D’ACCORD!    

Dans son journal,   le Vieux Lion livrera ses pensées sur Moché Scharret: « Non seulement il a tenu ses promesses  mais il a prononcé une allocution qui reste très fortement appuyée en faveur de l’établissement de l’Etat. Scharret allant même jusqu’à soutenir, qu’il y a plus de risques à différer la proclamation de l’Indépendance qu’à le faire immédiatement. LE LENDEMAIN 12 MAI 1948 à L’AUBE,  LA LEGION ARABE PASSE  à   l’attaque!   Perspective  qu’évoquera le Vieux dans ses mémoires: « 

« A  4h, Proclamation de l’Indépendance!   Le pays entier est dans la joie et l’allégresse et, une fois de plus, comme le 29 Novembre, j’ai le sentiment d’être un homme endeuillé, égaré parmi ceux qui se réjouissent!

 

REPRODUCTION AUTORISEE, SOUS   RESERVE D’Y FAIRE FIGURER MON Nom,  prénom et adresse.

inquisition 1

 

e Rav Elyakim SIMSOVIC désireux d’éclairer un point de procédure inquisitoriale m’interpelle à ce sujet.  Je lui soumets, allant vers sa question  des éléments connexes dont il se réservera le droit d’en évoquer l’affectation appropriée. J’en profite pour illustrer un   enseignement du  Rav  « La Thora semble « indigente » dans sa présentation de l’ineffable, POURQUOI ? »

REPONSE:

 La dimension didactique de la Thora reste le discours de D  à l’homme, pas l’inverse !

                                            __________________________________

Je pense aussi à cet enseignement troublant « une part non négligeable de notre savoir n’a pas été « apprise » !

                                                           

                                         L’Inquisition, une « juridiction d’exception » au service du pape et de…l’arbitraire !

                                                                                                   INQUISITION 2

Lors de la « LITURGIE », dernier acte d’un procès  instruit par l’Inquisition  et, à l’achèvement duquel lecture du jugement était faîte par l’Inquisiteur qui prononçait la peine  et annonçait la remise du condamné au « bras séculier pour exécution de la sentence.

 

LE JUGEMENT ETAIT DEFINITIF ; LE ROI NE POUVAIT  LE  MODIFIER

 » Cum ecclesia ultra non habeat quod faciat pro suis demeritis contra ipsum, idcirco, eundum reliquimus brachio et judicio saeculari »:

 

 

Après le prononcé du jugement où l’annonce de la peine, nul n’est autorisé   (hormis le » Vicaire du Christ ») à solliciter une  modification éventuelle, du jugement. La spécificité de l’Eglise n’est plus requise, sa mission s’éteignant après les résultats de l’enquête et la communication du jugement.  que les inquisiteurs ont été  seuls à pouvoir diligenter. 

 

L’Inquisition a préséance sur toute autre juridiction, qu’elle soit ecclésiastique ou civile, d’abord parce qu’elle s’inscrit dans l’exception.

L’Inquisiteur général en résidence romaine est le PREMIER MAGISTRAT DE LA CHRÉTIENTÉ (après le pape évidemment) L’Inquisition dans les attendus de la bulle (décision papale) lui donnant naissance est réputée ne pouvoir modifier le jugement, une fois rendu, car  il n’y a pas  rémission dans la volonté malveillante de  porter préjudice à l’Eglise La poursuite de la vérité révèlerait la déchéance de l’Inquisition si elle arrêtait  sa course avant l’arrestation et le prononcé du jugement.

 INQUISITION 3

CETTE JURIDICTION D’EXCEPTION DETIENT  un « pouvoir élargi. »  La mission de l’Inquisiteur commence  par

 l’ARRESTATION

. et s’achève par LA CLOTURE DE LA LITURGIE

 LITURGIE :

. Cérémonie publique où l’Inquisiteur donne lecture complète du jugement et annonce la sanction

 

                                                                          INQUIS 5      

OUTRE LA MATIERE TEMPORELLE, qui l’interpelle le plus souvent, elle   a en charge le rachat des âmes, et estime sa compétence fondée sur d’éventuelles RETOMBEES  EXTRA TEMPORELLES.

 Sans devoir prévenir que sa « mission protectrice » la conduit, par exemple, à opérer ICI ET MAINTENANT, elle a pouvoir d’édifier, toute affaire cessante, « l’enceinte de justice. »

 

Notons, que née avec le risque de schisme, danger de mort virtuel , l’Inquisition devint très vite un contre pouvoir. L’opposition  qu’elle suscita  fut moins de limiter son pouvoir que de se l’approprier

. L’unité de la société chrétienne accorda à l’Inquisition le pouvoir d’arbitrer des conflits sociaux en les travestissant en initiatives salvatrices à l’avantage de L’Eglise !

SURVIVANCE DE LA NOSTALGIQUE INQUISITIONINQUIS 6

Survivance du temps où l’Inquisition toute puissante accordait à l’Eglise crédit illimité sur le piétinement des morales fondamentales saisies à Israël et par devers lui, sa « richesse « familiale » 

  Une Encyclique contenant la » condamnation à mort du Judaïsme » ne peut pas autoriser un silence équivoque.  En l’occurrence, LE SILENCE DU SAINT SIEGE SUR L’Encyclique MYTICIS CORPORI CHRISTI  et Le refus d’expliquer que,   la procédure EX CATHEDRA, /GARANTIE CANONIQUE DE L’INFAILLIBILITÉ ne peut être éludée sans produire les avals et cautions diverses y afférant.

 

Mais AVEC la condamnation à mort du Judaïsme qu’elle prononce, cette Encyclique n’est pas presentable « « . De là à soutenir avec l’abbé ARBEZ responsable catholique du « fond sonore » à prétention de rapprochement, « POINT FINAL, IL N’Y A RIEN à DIRE.  EST D’EVIDENCE BIEN PLUS PROCHE DES PRATIQUES DE L iNQUISITION  QUE DES SOUPIRS CONCILIAIRES

 

Depuis des siècles l’Eglise soutient que les Juifs ne savent pas lire leurs textes. Au nom de cette lecture ils ont cru devoir et pouvoir couronner un faux messie avec la couronne de l’authentique.

 

Je ne crois pas que le problème que je pose a un précédent. Comment doit-on lire une Encyclique respectueuse de la procédure ex cathedra, procédure voulue par le pape Pie XII pour engager  la Doctrine de l’Eglise.

Sous couvert d’infaillibilité ET N’AUTORISANT PAS pas l’équivoque   le contenu de cette  Encyclique, le « corps mystique  du Christ » est devenu vérité dogmatique ! 

Il y a quelques années j’ai défendu en Israël dans un environnement hostile, la mémoire DE PIE XII QUI SAUVA DES MILLIERS DE jUIFS

SAUVETAGE DE VIES HUMAINES QU’IL NE FAUT PAS CONFONDRE AVEC LA CONDAMNATION  DE LA THORA EN 1943 ET DE LA « peine de mort » frappant la doctrine juive.

 

CETTE ABSENCE D’ANTI CATHOLICISME PRIMAIRE dans une démarche légitime

 M’AUTORISE A ESPERER REPONSE AU NOM DES REGLES QUE jean Paul II A MISES SUR RAIL. La tradition inquisitoriale dont il est question relevant plutôt  dans cet environnement de silence mortel de la célèbre parabole de Dostoiëvsky que de la mise en conformité d’un avoir qui, s’il vient des juifs pour partie  ne cache pas que  la certitude « que Dieu aime encore ce qu’il a chéri , tombe la sous le coup de l’évidence que l’amour comme les promesses sont un tel enjeu, que croire que l’Ineffable ignore les contingences  de la conjugaison, est plutôt conforme au D…tel que la Bible l’a enseigné au monde!

    PIE XII TÉMOIGNAGES  IRRÉFUTABLES

https://www.youtube.com/watch?v=LSt9rbtv0Gs

                                          

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Dauphiné

 

 

 

. L’unité de la société chrétienne accorda à l’Inquisition le pouvoir d’arbitrer des conflits sociaux en les travestissant en initiatives salvatrices à l’avantage de L’Eglise !

SURVIVANCE DE LA NOSTALGIE DE L’INQUISITION

Survivance du temps où l’Inquisition toute puissante accordait à l’Eglise crédit illimité sur le piétinement des morales fondamentales dont elle s’est saisie en ravissant à israël et par devers lui sa « richesse « familiale »LE SILENCE DU SAINT SIEGE SUR L’Encyclique MYTICIS CORPORI CHRISTI

, pourtant respectueuse de la procédure EX CATHEDRA

GARANTIE CANONIQUE DE L’INFAILLIBILITE..

 

Mais  la condamnation à mort du Judaïsme qu’elle prononce, cette Encyclique n’est pas présentable . Mais de là à soutenir avec l’abbé ARBEZ responsable catholique du « fond sonore » à prétention de rapprochement, « POINT FINAL, IL N’Y A RIEN a DIRE.  Il est sûr qu’en se fondant sur les précédents inquisitoriaux, la clé eût été trouvée !

 

.IL FAUT BIEN ADMETTRE QU’y CONDAMNANT LE JUDAÏSME A MORT, cette Encyclique délaisse LE »religieusement correct » adopté par nécessité à Vatican II

NOSTALGIE CONDAMNEE  A L’ERRANCE

.

 

La mission de l’Inquisiteur commence  par

 l’ARRESTATION

. et s’achève par LA CLÖTURE DU/

  RITUEL

. Cérémonie publique où l’Inquisiteur donne lecture complète du jugement et annonce la PEINE

 

 

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. L’unité de la société chrétienne accorda à l’Inquisition le pouvoir d’arbitrer des conflits sociaux en les travestissant en initiatives salvatrices à l’avantage de L’Eglise !

SURVIVANCE DE LA NOSTALGIE DE L’INQUISITION

Survivance du temps où l’Inquisition toute puissante accordait à l’Eglise crédit illimité sur le piétinement des morales fondamentales dont elle s’est saisie en ravissant à israël et par devers lui sa « richesse « familiale »LE SILENCE DU SAINT SIEGE SUR L’Encyclique MYTICIS CORPORI CHRISTI

, pourtant respectueuse de la procédure EX CATHEDRA

GARANTIE CANONIQUE DE L’INFAILLIBILITE..

 

Mais  la condamnation à mort du Judaïsme qu’elle prononce, cette Encyclique n’est pas présentable . Mais de là à soutenir avec l’abbé ARBEZ responsable catholique du « fond sonore » à prétention de rapprochement, « POINT FINAL, IL N’Y A RIEN a DIRE.  Il est sûr qu’en se fondant sur les précédents inquisitoriaux, la clé eût été trouvée !

 

.IL FAUT BIEN ADMETTRE QU’y CONDAMNANT LE JUDAÏSME A MORT, cette Encyclique délaisse LE »religieusement correct » adopté par nécessité à Vatican II

NOSTALGIE CONDAMNEE  A L’ERRANCE

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La mission de l’Inquisiteur commence  par

 l’ARRESTATION

. et s’achève par LA CLÖTURE DU/

  RITUEL

. Cérémonie publique où l’Inquisiteur donne lecture complète du jugement et annonce la sanction

 

 

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. TOULOUSE  en 1331, L’iNQUISITION DEVIENT JURIDICTION ROYALE ; MÊME VILLE 1412, le roi fait arrêter l’Inquisiteur. En Dauphiné, le tribunal de l’Inquisition  est progressivement dépendant du PARLEMENT DE GRENOBLE

 

 

 

REPONSE A DAVID RICCARDI                                                                                                       le salut vient

Mon Cher David,                                                                                                  kippa 1

Que tu aies réagi me conforte dans l’appréciation de toi. 

 La cohérence de l’argumentation  est attestée par l’inexistence de contradictions et l’articulation souple laissant place à l’élément argumentaire qui s’y rajouterait éventuellement confirme que tu gardes ton opinion en ne redoutant pas débat et échanges.

 

L’intervention de « ton étudiante, »  OUTRE LA VANITE de son propos devra être corrigée. Je m’y emploie sans tarder.

 

L’antisionisme N’EST PAS UNE IDEE  et se distingue de l’opinion par les menaces D’ANEANTISSEMENT que sa définition  seule semble suggérer.

 L’antisionisme s’oppose à l’ONU QUI A VOULU UNE FINALITE ETATIQUE AU PROJET DE TH HERZL.

 

C’est à Sion que les Juifs  ont écrit la Bible. C’est de là que ses prophètes ont  initié le droit. Aux grandes questions, c’est le Juif  qui répond! Que serions nous sans MARX, FREUD ET EINSTEIN ? Ces références ne relèvent pas de la vanité ou de l’orgueil, mais de la légitime défense !

 La  France de Pétain a fait des exterminateurs des JUIFS ses amis! Sous BIEN DES REGIMES  ce n’est pas le confort des Juifs qui ouvre le débat, mais leur SURVIE !  C’est le droit de vivre chez eux qui est contesté par l’anti sionisme

  Chaque peuple a sa terre, sauf les Juifs!

 POURQUOI?

POURQUOI REFUSER L’ARBITRAGE DE LA BIBLE pour Rétablir les frontières d’Israël?

 

 Il faut dire,  qu’il est difficile d’admettre pour l’anti sionisme, que contestant la légitimité de la présence juive en Palestine, on n’ose pas supposer la réalité  que ce terme contient. Et, pourtant… LE LAROUSSE DONNE UN SENS RADICAL A ANTISIONISME : hostilité à l’ETAT JUIF ! On ne peut,  être plus clair ! 

 

 

Somme toute, ce qui alimente les divergences, c’est le point de vue de ton étudiante. Mais je commencerai par toi PARCE QUE TU ME SEMBLES ÊTRE RESERVE SUR LA DEFINITION DU  LAROUSSE  C’est-à-dire, que le préalable doit être intégré. Soyons précis ! Je crois pouvoir dire que  tu contestes  le premier sens,  non du Larousse mais l’eventuelle légitimité  de la définition  d’antisionisme, c’est-à-dire : »hostilité à l’existence »

 !Tu remarqueras que l’ordre présenté par Larousse est d’une rigueur qu’impose l’enjeu : la présence des Juifs étant illégitime en terre d’Israel c’est leur existence même du pays qui est contestée et  « fait problème ».

Dans ces conditions, il n’y a pas plusieurs solutions puisque c’est l’Etat Juif qui pose problème, ET RESTE L’OBJET DE L’HOSTILITE. LA LEGITIMITE  DE  l’’ETAT EST MISE EN CAUSE…

 

Israël réagira, mais c’est un vrai drame !                                                                         

 

 Déjà, l’onu , en 1975,  quand bien même sa rétractation affirmait que le sionisme était une forme d’apartheid, apportant  soutien et encouragements à ceux qui ne se rétracteront  pas. Une brêche s’ouvrait sur le mensonge, la supercherie et le racisme!

 

 L’antisionisme c’est la « solution finale »telle que l’ont retenue les Chartes respectives de l’OLP ET DU HAMAS! Il est singulier que les Nations valident la prétention de tout peuple à UNE TERRE SAUF AUX… JUIFS!

  Si les Juifs ont la liberté de ne pas adhérer au sionisme, leurs ennemis ne manifestent aucune équivoque:  La majorité des Juifs vouant  sympathie et affection pour l’Etat d’Israël,  il n’est pas illégitime de penser que ceux qui de facto,  éprouvent  ressentiment, et haine pour le Juif soient tentés de lui imputer l’attribut,     de « sionistes »!

 

.REPONSE SOMMAIRE A TA QUESTION QUI IMPOSE UN DEVELOPPEMENT SUR LES ORHODOXES ANTI SIONISTES

On les appelle Neturei Karta, les « gardiens de la Cité » en araméen. Une secte de haredim (juifs ultraorthodoxes) pour qui Israël représente « ce qu’il y a de plus pécheur ». La cause de leur antisionisme : la création d’un État juif avant l’apparition du Messie. Ils entretiennent une relation privilégiée avec le président iranien, qui appelle ouvertement à « rayer Israël de la carte ». Le 31 décembre, ils défilaient dans Jérusalem en arborant l’étoile jaune et l’uniforme des déportés (photo), car ils s’estiment aujourd’hui eux-mêmes persécutés par « l’entité sioniste ». Certains d’entre eux se sont récemment distingués par leur militantisme en faveur de la ségrégation entre hommes et femmes dans les bus  

  Crois en ma fierté de te compter parmi celles et ceux qui apprirent de moi que « se tenir debout » relève du mérite et non du privilège, » tout comme j’ai appris de vous que, faire mériter, c’est entrer dans votre souvenir par la porte de l’éternité !

NB/   

Rappelons à ceux qui contestent la légitimité de la double appartenance que, la plupart des rois de France désignèrent pour épouses des « étrangères ». La Corse fut vendue à la France, et ils’en fallut de peu pour que Napoléon naquît Italien! Alors, plus Français que le Corse? Plus Français que Juifs? C’est un bien mauvais procès qui est fait aux descendants de Dreyfus qui, chuchotait d’une voix chevrotante mais assurée: « Je fais confiance à la Justice de mon pays!

La vraie liberté n’est pas de secouer la loi, la liberté, la vraie, c’est la conscience de la loi!   (Miguel de Unanumo)

L’antisionisme mêle à l’antisémitisme  le  ressentiment anti Israélien,  justifiant  ainsi le grief  d’incitation à la haine raciale et banalisation du génocide.  

  Larousse: Hostilité à l’existence ou à l’extension de l’État d’Israël

 Un  de mes anciens élèves,  David Riccardi commente, avec gravité mais optimisme, le dernier article.

Bonjour Arnold,   mendes

                                        J’ai lu avec grand intérêt votre contribution qui me replonge dans une ancienne discussion. Je partage malheureusement vos constat s’agissant d’une recrudescence de l’antisémitisme que nous connaissons depuis plusieurs années et sur le fait qu’elle se camoufle derrière des revendications plus facilement assumées, non pas d’antisémitisme mais d’antisionisme. 


Nous parlions lundi du beau métier d’enseignant ; Il est clair que  la fonction a éliminé l’éducateur  impliqué dans l’art d’enseigner. Celui ci  se limite  à débiter un savoir plus qu à éduquer.

 J’ai été, à ce sujet,  lié à de malheureux incidents qui, sans me conduire au renoncement   m’ont laissé assez amer.  On  oscillera  d’une certaine forme, effectivement assumée, d’antisémitisme s’accompagnant  des prétextes les plus fallacieux  pour justifier le recours aux voies de fait, de plus en plus résurgentes

 : j’ai séparé deux étudiants qui se sont battus très violemment à l’issue de l’un de mes cours où je parlais d’ailleurs des principes républicains de la Constitution de 1958. Les violences sont toujours déplorables mais ce sont les raisons de celles-ci qui, en l’occurrence, m’ont laissé pantois : un jeune homme noir a interpellé un camarade:

. « eh toi, le chintoc, pousse-toi de là »… Le second lui a répondu par cinq coups de poings d’une extrême violence au visage ! Et le premier de se justifier:
 « moi on m’appelle toujours le négro, salle nègre etc. … ça ne me gêne pas ».
 Le second de se justifier, « c’est une réponse normale à la provocation, moi on ne me parle pas comme ça; maintenant il sait! ». 
Je crois que tout est dit.

Cet incident m’a rappelé celui dont j’ai été témoin à l’ESED, (votre chère Ecole!) et pour lequel j’étais ensuite venu vous confier mes états d’âme. Je pense que vous vous en souvenez. Un élève agacé par l’attitude « prétentieuse » d’un camarade, Juif, par ailleurs,  l’avait insulté,  en prenant appui  sur la référence à son identité juive.

 
 L’élève insulté cultivait la  provocation certes,  mais rien ne pouvait  justifier la déviance facile et inacceptable de  l’offense à caractère racial ou l’insulte qui, elle seule proférée,  reste une carence irrecevable.   L’élève insulté  était allé jusqu’à me dire qu’il vivait dans des conditions exceptionnelles que soutenait un niveau de vie  qui l’autorisait à prétendre que  « sa voiture et  son permis »  restaient  à sa disposition  
Sans  les principes reçus  dans ma famille,j’aurais pu me laisser aller à éprouver à son égard jalousie et envie. Et quand bien même  la provocation fut incitatrice d’une réaction, celle par le recours à   l’insulte raciale, ôtait à  son ‘auteur la bienveillance que lui eût concédé une réaction proportionnée.
 
 Pourquoi l’élève insultant a t-il pris l le parti d’agresser son camarade dans  l’identité  des origines?  .
 

 J’ai acquis la certitude que l’antisionisme plus ou moins assumé cache souvent un antisémitisme qui lui n’a rien de nouveau, il dure au moins depuis la fuite d’Égypte ! En cela je vous rejoins sans réserve.

 
Comme signalé plus haut, je vous confirme que j’ai affronté récemment une de mes étudiantes convaincue que  l’antisionisme n’est pas la même chose que l’antisémitisme, que  c’est une idée qui se défend! Quand bien même il y a différence, les dangers ne sont pas nécessairement identiques, Mais vous laisser livrer votre appréciation ouvre la porte à des inspirations assurément novatrices qui me paraissent devoir être mêlées! 
 Vous ne détenez pas « l’Etoile Jaune »  que porta, PIERRE MENDES FRANCE , sans raison,  et vous ne la présenteriez pas comme un défi, si cela n’avait  entraîné  l’adhésion à un engagement humaniste où  témoins et victimes  signent de la même encre, celle de l’exemplarité! Et puis, Mendès France, c’est ZOLA  JAURES GAMBETTA….C’est la France, non?
 
Autre péripétie : il y a quelques semaines, j’évoque la question de la protection de la dignité de la personne humaine par le juge administratif. Deux arrêts du Conseil d’Etat s’y réfèrent, l’un concerne les propos antisémites de Dieudonné.
Réaction affligeante et décevante en dépit de la certitude qu’ être excessif n’oblige pas à la dévotion   de  la haine!
Je pense en revanche qu’une nuance optimiste peut tempérer votre propos. Par manque de connaissance plus que par antisémitisme pernicieux, je crois que certains confondent l’antisionisme dans ses ressorts intimes avec la contestation de choix faits par les dirigeants de l’Etat d’Israël. Je crois que l’on peut critiquer des choix politiques d’Israël comme d’ailleurs, ce n’est pas être antisioniste. Je crois en revanche que l’antisionisme véritable, celui qui consiste à renier l’attachement du peuple juif à sa terre se confond effectivement avec l’antisémitisme..
Bref, j’aimerais voir un avenir plus lumineux et aujourd’hui je dois dire que je ne vois pas tellement d’issue à tout cela.
A bientôt. 
DAVID RICCARDI                                                 

 Quand la haine du Juif est incessante, l’anti sionisme ne surprend pas, il confirme !

Anti sionisme : Psychose maniaco dépressive manifestée par le rejet systématique du Juif,  aggravée  par la  volonté de nuire à l’Etat d’Israël. L’anti sionisme,  substitution pathologique  à l’antisémitisme historique,  affection déliquescente du jugement reste le reliquat névrotique passible de disproportion punitive, par le Tribunal correctionnel !  

 folie 1

Une perversion subtile expose l’Etat d’Israël et la Diaspora au partage d’une  réalité menaçante et ambiguë. En effet,  depuis une dizaine d’années,  une forme particulière de l’hostilité anti-juive orientée vers la dénonciation exclusive  de l’Etat d’Israël prend ses quartiers, toutes saisons et circonstances confondus.  La singularité de cette haine nouvelle, prenant pour objet la nation juive dans son expression nationale renaissante,   présente, de plus en plus,  d’affinités avec la forme classique du ressentiment anti Juif, dont elle est issue.

                                                  sionisme racisme

Ayant appréhendées toutes les potentialités que pareil objectif contient, et, notamment l’opportunité tactique de pouvoir accuser gratuitement Israël  de « crimes de guerre » au nom  de la « liberté d’expression »  l’anti sionisme adaptera à la nouvelle donne  les « coups bas » que la haine du Juif pratiqua des siècles durant ,

 

Cette argutie tout en relevant du délit saura y échapper. Les mensonges sur TSAHAL, y pourvoiront au nom de la  liberté  d’expression. L’anti sionisme  ne tarde pas à recourir   à l’emprunt massif des données constitutives de l’antisémitisme classique  qu’il utilisera  pour tenter d’ôter tout crédit à « l’Etat Juif »

 

 mental 3

   La Nation Juive n’est plus « le Juif errant » mais « une grande puissance!  Et  les antisémites,  anti Israéliens ne cachent pas les remontées discriminatoires à spécificité raciale. L’antisémitisme (dégénérescence selon Nietzsche !) détient donc en partenariat avec l’antisionisme   une tactique offensive  qui, méconnaissant la synthèse ou l’analyse, n’attaque ni par l’argument ni par la combinaison d’un assemblage démonstratif mais en puisant sans limite dans  l’arsenal coutumier de la provocation  par l’insulte.

 

 Les armes  machiavéliques,  : Les discours humiliants,  les mensonges,  persuasifs par la fréquence, choquants par l’extravagance  utiliseront   l’irrationnel qui facilite  le recours à l’imaginaire mortifère.     

 

 La  haine bien souvent ne voit le jour  qu’après avoir été dépassée par l’admiration.   freinée par la jalousie, elle ne  naîtra pas du néant. Elle ignore la «génération spontanée ! »  Sa démarche initiatique est la fascination initiale, devenue souvent  humiliation par la jalousie que suscite la découverte de  l’inaccessible.   Jamais l’Occident ne pardonnera à Israël, d’avoir opéré « l’humiliation massive » de renoncer à une « transcendance d’origine juive et de nature messianique, jugée illusoire, mais présentant un atout pour les peuples invalides en moralité agissante !

 

 le salut vient

 Alors que la double coiffe n’implique pas une deuxième tête, « Juif Français et sioniste » ne présentait pas, jusqu’à ces derniers temps, l’incongruité éventuelle ou l’agacement de l’incompatibilité ! La kippa devenait   « l’ostentatoire  inacceptable » par lequel les Musulmans   affirmaient que le Juif restait solidaire de ses « frères » vivant en Palestine occupée !

 

 

Quant au Juif, il découvrait avec stupeur et effroi que l’anti sionisme s’intégrait dans la haine habituelle du Juif avec une aisance stupéfiante. Consacrée depuis 1967,  abattre les  sionistes relevait de la prouesse héroïque,  puisque la suspicio avait été légitimée par celui qui sauva la République, non au nombre de voix favorables mais au nom  d’une seule  voix qui, soir après soir, répétait inlassablement, « Ici Londres honneur et patrie etc…» La vocalise est restée aussi célèbre que son auteur !

 kippa 1

La démocratie mordait la poussière pendant que la Nation Arabe comprenait la nécessité de s’inspirer de l’exemplarité juive. Ainsi , le « pauvre Juif » sera remplacé par le « pauvre Palestinien ! »

 

 « Sionisme, Etat Juif et Juifs » se trouvent rassemblés.  Indissociables, dans une communauté de destin.

  Tous les sionistes ne portent pas kippa mais tous les sionistes sont Juifs ! Sauf les amis d’Israël ! Quoique, ami d’Israël, par les temps qui courent, n’est-ce pas déjà, être d’Israël ? 

 kippa 2

 Rassurer l’innocent, anéantir le coupable, accorder au droit l’aptitude légitime à user de la force,  articulation essentielle de la présence  du juste dans le droit et, partant de toute prétention à moraliser le débat, la  nécessité de la .preuve n’est plus exigée pour fonder l’opinion.  La « preuve » c’est ce que l’on met en  œuvre pour asseoir la vérité. Voyez avec les yeux de l’âme, Depuis que Révolution fut inventée, elle n’a pu dépasser les frontières du rêve ! Ainsi, renaissent de leur décomposition les nourritures contaminées par l’abject, encouragées par l’inique, escortées par le mensonge et laïcisés par la force des choses. « Être Juif n’est pas innocent » disent les jaloux ! Il n’est donc pas illégitime d’accorder à « sioniste » l’extension de sens déjà opérée par le racisme.

 

 Ainsi, en catimini les lois sur racisme, antisémitisme, négationnisme et révisionnisme, qui sont « honneur de France » s’exposent  au dépassement, dès lors qu’il sera attesté qu’être Juif implique le lien fatal avec sionisme. 

 

 Les ragots les plus abjects circulent déjà « Ces sionistes qui font la France » ou   « France sous domination de la politique israélienne ». Le  Penchant » pour  l’Etat Juif dévoile une tendance devenue coupable !

 kippa 3

 

 En concédant, à « sioniste » la valeur synonymique de « Juif »,  l’identification à Israël, engendrera le basculement de l’être Juif, dans une réalité aussi redoutable que celle de l’Allemagne issue de Meïn Kampf, l’identification inévitable du Juif et son classement parmi les « criminels de guerre »si Israélien et « complice sinon!

La collusion entre antisémitisme et antisionisme ôte à tous les Juifs la  liberté de choix.

Ainsi les démocraties permettront d’atteindre un risque exterminatoire absolu par la démonstration artificielle,   mais néanmoins redoutable, qu’il n’y a pas de Juif innocent! 

REPRODUCTION AUTORISÉE SOUS RESERVE DE MENTION DU NOM DE L’AUTEUR ET  DE SON ADRESSE.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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supercherie 1Je complète ce que j’écrivais en Janvier 2015, par la question : « Qu’attend-on pour assigner l’ONU, en la personne de son Secrétaire Général, devant le Tribunal Penal International, pour :

 

 Tentative de détournement de l’article 80 de la Charte de L’ONU au bénéfice d’une « association de malfaiteurs » Volonté illégitime de confondre les effets de la supercherie avec le statut légal d’une entité nationale, fruit du mensonge, de l’artifice et de l’antisémitisme

 

 Dans ces conditions,  les abandons de terres (libérées) par Begin et Rabine ne présentaient aucune justification au regard du droit international. Plutôt que d’assassiner, le vainqueur de la guerre des six jours, et de pénétrer dans le monde des surenchères haineuses, il eût été bien plus bénéfique, d’épuiser toutes les voies de droit, afin de confirmer à Ramallah et Gaza, que le « préjudice le plus affligeant, est le rêve devenu illusion et utopie. Et si la Reconnaissance tarde, c’est que :

 

  • Personne ne veut de la Palestine !
  • La reconnaissance des Etats étant de nature parlementaire, ne revêt pour les Exécutifs aucun caractère contraignant.
  • L’article 80 de la Charte, empêche la naissance de l’Etat de Palestine !

 

Tout se passe comme si les chancelleries faisaient semblant d’ignorer que l’Etat de Palestine reste juridiquement une potentialité qui ne peut se réaliser qu’en bafouant la Charte onusienne, en son article 80. Il est révélateur que la seule initiative de recours a été la lettre de réprobation adressée au Président Obama par des Avocats Américains spécialistes en droit international.

 

Que Bibi impose aux Palestiniens de reconnaître le « caractère Juif »d’Israël est louable, mais c’est déjà reconnaître à l’adversaire le droit de se prononcer. Voyons de plus près :

 

 

Extrait   de l’article 80 de la Charte des Nations Unies:

Aucune disposition du présent Chapitre ne sera interprétée comme modifiant directement ou indirectement en aucune manière les droits quelconques d’aucun État ou d’aucun peuple ou les dispositions d’actes internationaux en vigueur auxquels des Membres de l’Organisation peuvent être parties.

 

Apparemment complexe, mais en fait d’une clarté singulière, Cet article 80 (cité partiellement) de la Charte des Nations Unies empêchera toute édification de l’Etat de Palestine. En effet, il marque toute la différence entre les Etats initialement sous mandat et les Etats sous tutelle, estimant que les territoires dont bénéficient les Etats sous mandat ont force exécutoire.

 

Or, les territoires reconnus aux sionistes étaient sous mandat britannique. Si ces territoires faisaient l’objet d’un accord entre les parties concernées qui transformeraient le mandat en tutelle ou en « territoire sous tutelle », une modification ultérieure des frontières ainsi qu’un changement de propriétaire serait possible. L’ONU disposait de trois ans pour procéder à un changement éventuel. Or, du 24/10/45 au 15, date où la Charte devenait effective au 15/5/48, date de la naissance d’Israël, l’ONU n’a pas conclu d’accord ou traité transformant les pays sous mandat, en « territoires sous tutelle. »

Israël était sous mandat britannique et devient par les effets pratiques de cet article, un Etat  dont l’origine et le droit de propriété ne sont plus contestables.

 

Ironie du destin, l’ONU dont l’hostilité anti sioniste est établie, se trouve enfermée dans un piège où « l’oubli » des trois ans pour s’opposer à la réalisation sioniste, la conduit à devoir CONFIRMER la souveraineté pleine et entière des Juifs sur leur terre. MAIS SURTOUT A DECLARER ILLEGAL LE PROJET D’EDIFICATION DE LA PALESTINE !

L’Etat de Palestine est une entité mort née illégale et illégitime

 

 

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athéisme 1Le ciel des hommes ne peut rester longtemps sans le retour des dieux. La foi éteinte en apparence ne sait que trop l’impact du seul détenteur du « droit de croire » que le Juif est seul à posséder!

 

Oui, le juif reste le seul à avoir osé la pratique de ce droit. Il a su montrer que ne pas savoir où l’on va ne dispense pas de proclamer l’absurdité du chemin choisi. Si le jugement, le choix sont manifestement incompatibles avec la liberté de conscience, le Juif condamne, le peuple ratifie ! Sans D  l’homme  confondra  liberté et libération . Mais sans l’homme…Disons redisons la grandeur d’Abraham qui a su rendre indispensable l’implication de l’ineffable en procédant par élimination !

athéisme 3

Le silence du Ciel confirmé serait faute ! Parce que le Juif   a poussé l’homme à se dépasser,  à atteindre ses limites! Plus rien d’humain ne peut être tenté. C’est ainsi qu’Abraham a permis que D parlât aux hommes: Tout ce qui était de l’ordre de l’humain ayant été accompli… C’est ainsi que Ben GOURION proclama l’Etat Juif, avec dans la poche l’inévitable consternation du Général Marshall, qui jugea que l’Etat Juif avait vécu, avant de naître !

athéisme 2

Cette connaissance de l’homme, cette aptitude du Juif entraîne l’inexorable exorcisme par lequel les nations s’acharnant sur le Juif en tout temps, tentent de convaincre que le Juif n’est qu’homme et que seul l’homme peut souffrir autant. Faisant visiter Auschwitz Himmler y célébrait l’humanité juive en route pour l’enfer ! Et  ce sacrifice accepté et consenti  lui permettrait d’en venir à bout.   Le Juif a mal et son bourreau est rassuré !  Cette cruauté, cette méchanceté irrationnelle retrouvée tout au long de l’histoire n’a pas d’autre motif que d’humaniser par la souffrance la destinée d’un peuple. Somme toute, si les Juifs, sionistes et apparentés peuvent souffrir, ils restent hommes. A n’en pas douter,  la volonté de nuire est aussi le désir d’être rassurés!

atheisme 5

Le seul chemin pour créditer l’homme d’une nature plus qu’humaine serait qu’il devienne « possession  » de D… par la filiation. Avinou devenant Abba !Mais  Abba restant Abba se trouverait en concurrence ! Avinou  ne sera jamais Abba. Les êtres proches de nous sont souvent par la vérité plus éloignés qu’on ne croit. Il est impératif qu’ Avinou soit très loin pour permettre à l’homme de définir l’amour en vérité  Et  Avinou devenant Yéchou n’est plus crédible  C’est ce que le Juif apprend en préalable : Da mi lifnéï ata omède : Sache devant qui tu te tiens !On remarquera que le processus d’acquisition commence quand « l’homme est debout !

On a là une des données, probablement une des plus authentiques, expliquant le refus de Jésus par les Juifs : L’idéal c’est, en tout premier lieu savoir, devoir et pouvoir combattre le strabisme qui fait voir le statut de D..selon l’image que l’homme s’en fait . Ce strabisme est cause de toutes les déviations. Vu par un regard d’homme, D…aurait fait l’homme à son image.  Est entériné l’échec implicite que signifie pour l’homme que c’est à l’image divine que revient l’exemplarité !

ATH2ISME 6

.C’est à la noblesse d’être homme que l’humanité doit porter témoignage, et pas à la divinité renonçant à elle-même pour être ni homme, ni D……Abandonner l’Acropole en est une que rattrapa bien vite celle de Bethléèm

 

L’adoration d’un D..qui  imposa  le suicide pour que seul l’Acropole revive en lui explique que cette manière d’être homme rend inévitable la survenue d’êtres qui se souviendront que le grand chambardement a commencé quand rester homme suscitait la lassitude !

ATHEISME 7

La culture juive exclut le fanatisme, et proscrit  l’intolérance, mais ignorant le boycott… elle s’expose !fanatisme 1

Le fanatisme est à la conscience Juive ce que l’alcool est à la vigilance, un facteur de régression ! L’intolérance et le fanatisme sont des travers que l’identité juive ne peut éviter. La transmission patrimoniale de l’Election peut entraîner la folie de « se prendre au sérieux sans être sérieux, pour autant ! »«  On la rencontre dans tous les milieux où la certitude de détenir le vrai a pour conséquences souvent inévitables le recours à la violence, « Si j’ai raison tu te trompes ! » d’abord verbale.

 

 Les initiatives premières indiqueront si l’esprit de l’interlocuteur permet d’escompter un ralliement. Dans la perspective négative, prudence et vigilance s’imposeront. Il faut bien comprendre le processus et d’abord l’apriori. Si l’interlocuteur laisse espérer une adhésion, il sera l’objet de sollicitudes.fanatisme 3 Si, c’est à un « esprit fort » qu’on doit se mesurer, le fanatique n’hésitera pas à  menacer. Convaincu que le vrai de son camp permettra le sauvetage d’Israël, la menace de mort sera invoquée contre les « politiques » d’abord, puis viendra le tour des magistrats.

 

Si une société veut vérifier la pénétration de l’exigence morale, seule la façon avec laquelle la justice est rendue sera révélatrice. D’ores et déjà, de graves négligences confondent l’exercice des libertés avec mansuétude accordée aux œuvres de l’esprit. La prose séditieuse de Yéchayaou Leibowitz est dévastatrice .  Par ailleurs, les juges se voient reprocher facilement, trop facilement l’impartialité.

 

Les moyens de débusquer ce dysfonctionnement de « l’esprit » chez les non Juifs ne sont pas différents de ceux qu’on utilisera pour un même objet chez les Juifs.fanatisme 5 Singulier rebondissement de cette volonté de puissance assassine qui établissant sa supériorité sur la signification erronée de l’Election,  sera punie par la propagation   d’une extrémité de la terre à l’autre du même syndrome applicable à toutes les identités Le fanatique Pakistanais, sera le jumeau de l’intégriste catholique et le Juif sioniste,  frère aîné de cette confrérie de l’exclusivisme qui guette tout homme s’exposant aux inévitables dangers de la régression fanatique quand son avenir lui parait conditionné  bien plus par la destinée que par l’usage de la liberté !

 

Dès lors qu’on touche au domaine des convictions le risque se montre. Pourquoi ? Parce que les convictions  révèlent d’abord que les vertus au contenu spécifique seront prioritairement recherchées. Ce n’est pas sans raison, que la qualité tutélaire de l’Occident, par laquelle la civilisation se fonde, c’est l’amour. Si sa pratique comble c’est la certitude que son désintérêt devient vite carence.fanatisme

 

 L’investigation juive ne peut cependant méconnaître qu’en soulignant que la conscience morale pratiquée rend inutile la conversion au Judaïsme devrait suffire à immuniser !

 

 

 

Cependant, vivant pour la plupart dans  cultures dites ouvertes, les JUIFS  « emprunteront » parmi les éléments exportables,  les données sur  lesquelles très précisément ils se distinguèrent, des « GENTILS » Non seulement ils  sont séduits par l’inutilité de  convaincre  « fanatisme », « l’intolérance » les en dispensant, mais ils assisteront sans pour autant en être amusés  à leur mode juif de pensée dénaturée au premier « baiser » Ils prendront le parti de « la pensée juive unique »  et ils y rajoutent un zeste judéïquew ;  Un Juif s’expose aux dangers du fanatisme dès lors que sa relation avec une pensée différente s’établira sur des compromis ou des concessions   On reconnaîtra ce Juif sous influence par :

 

Son impatience à ouvrir les hostilités !  Cela s’explique par son refus de différer l’occasion de frapper la différence. Je redis ce que je soutiens par ailleurs à ce sujet. Le fanatisme, aveu d’impuissance compense sa difficulté à tolérer l’avis (voire la vie !) de l’autre en se tenant prêt à prononcer les paroles radicales et extractrices, comme « «Vous ne savez rien »  Attaques à la personne, cible préférée du fanatisme permettant d’éviter le combat contre l’idée et sa vacuité pour atteindre l’homme, sa chair, son sang, constitutifs patents qui font mal et atteignent cette intention.

Signe infaillible, le fanatique qui enseigne importe la peur que le vrai doit inspirer et les valeurs estimables à ses yeux sont l’obéissance et l’Ordre

C’est dans sa relation à l’enfant que le  fanatique, Juif, éventuellement  s’il est enseignant révélera  sa perversion  et ignorera d’entremêler   sa réponse    d’un encouragement. Lui disant, par exemple, que « la volonté de participer n’a pas encore permis de dire juste mais qu’un tel courage portera ses fruits. » Il se limitera à soutenir que l’élève doit mettre en pratique le contenu des cours. Qu’il est là pour çà !L’échec scolaire ne lui est pas imputable. Et les conseils de classe d’enseignants fanatiques sont souvent des cours martiales !

 

La  spécialité du fanatique sera sa culture de la digression par l’usage d’une dialectique surannée mais toujours appréciable. Face à un solliciteur, il saura verrouiller la suspicion sur ses choix sélectifs en désignant une valeur universellement protectrice comme l’amour, alors que quelques minutes auparavant il n’avait pas été gêné pour démettre les « politiques » prêts à négocier la terre. Le Juif fanatique jugera cohérent de soutenir que si le Chef est désigné par vote populaire ses décisions s’imposeront. Il rajoutera, dévoilant partialité et arbitraire un élément qui  ruinera la démonstration de sa compétence. « Il faudra en vérifier que la règle n’est pas spécifique à une époque. Nourrissant l’incapacité    de la pratique des valeurs du XVIII ème s’opposant à l’orthodoxie éliminatrice, il tentera, toutefois une démagogie primaire en insistant sur son talent à avoir su intégrer le meilleur de l’Occident. Il prendra garde à la glorification des valeurs universelles, ne voulant pas admettre qu’à l’œil averti, son insistance à   éliminer la réfutation signe la mauvaise foi.

« APPEL  A  TÉMOINS »    oiseau 1

Je n’ai appris que ces derniers temps » que parmi les signes annonciateurs de la venue du Messie, s’établit un signe novateur, dont je n’ai jamais entendu parler en milieu Juif ou Chrétien, A SAVOIR qu’un oiseau se poserait et sifflerait! Cela suffirait pour confirmer Zacharie 10 8 « Je les sifflerai et les rassemblerai »
Chrétiens, Juifs, Athées, adorateurs des étoiles, de nombreux rabbins prétendent que cet enseignement est connu!!! Ils mentent !
Un mot me suffirait pour convaincre que sans être » savants « on n’en reste pas moins ulcérés (Juifs ou Chrétiens) d’être pris pour des C..
Ce n’est pas un gag ou une plaisanterie!


A l’heure où le terrorisme sévit, où le mensonge impose la censure, rapprocher l’universel hébraïque du comportement d’un volatile vise à discréditer ceux qui espèrent en sa venue, les Juifs et ceux qui attendent son retour: les Chrétiens et la Parousie      oiseau 2

Prendre les enfants du B   D   pour des percoptères !! Non Mais! 

PAGES DE LA RESISTANCE  Française: « LIBERTE » DE PAUL ELUARD

Un commentaire particulièrement exceptionnel de Mr jean Libon, pratiquant une rare amitié pour les Juifs auquel j’ai répondu, se voit gratifier de l’appréciation : « Impossible de publier ce commentaire. Veuillez réessayer!

J’espère que FB changera son point de vue: je ne lâche pas d’une manière générale, mais là, encore moins!

 

Oui, Certains Chrétiens méritent notre confiance. Rien à voir avec …. Répondre · 2 · 12 janvier, 22:40

Arnold Lagémi
POUR MONSIEUR JEAN LIBON. Monsieur, je ne suis pas ce qu’il est convenu d’appeler un homme d’influence, parce que vous dîtes les mots justes et vrais qui mériteraient que les « hommes d’influence » précisément s’en saisissent: Trouver la part de vérité chez chacun de ces peuples et la soutenir pour qu’ils gardent leur différence sans pour autant s’empêtrer dans leurs propres erreurs me semble être la seule option valide. Bravo, Monsieur, d’avoir compris l’essence d’Israël, sans être d’Israël! Je dénonce bien des carences dans la foi chrétienne. Monsieur, pour la première fois, j’en ressens un sentiment de flétrissure de vous avoir certainement agacé. Vous et si d’autres partagent cette vraie fraternité, recevez l’ assurance de mon pardon. Un seul reproche, de quel droit vous êtes vous tu quand le mensonge tient tribune. De cette terre d’Israël que l’on dit être proche de l’ineffable, si vous pensez ce que vous écrivez (excusez, mais on a vu ….) alors, donnez moi un bout de votre fraternité, elle est aussi à nous!
« Impossible de publier ce commentaire. Veuillez réessayer. « 

A FB: La liberté de penser et de s’exprimer n’est pas sujet à débat! Refusant de publier , vous prenez un risque. Je ne suis pas le seul à apprécier ces vertus pour le maintien desquelles des Français, dont le drapeau aux trois couleurs est toujours le seul emblème, ont sacrifié leurs vies. Vous  prendriez effectivement un risque démesuré en déterrant la hache de guerre la plus redoutable qui soit, celle celle qui porterait atteinte aux libertés !

  

 ECHANGE Français  et…SURRÉALISTE!demo 1

 Et, puisque tu valides les vœux qu’on formule pour l’année civile, je ne serai pas en reste pour te retourner les miens, en dépit que le 1er Janvier fête d’abord la circoncision de l’acteur capital du Golgotha, comédie burlesque où l’on y voit un voleur de grands chemins  s’approprier une civilisation au motif que celle-ci avait  prévu une autre orientation à l’histoire du Salut.

 

Bref, en retour des souhaits, non seulement validés mais  essentiellement orientés pour toi et les tiens vers cette priorité qui porte tout le reste, parce qu’elle seule est revêtue du Sceau de l’authentique:  » Soyez préservés de la maladie, de toute atteinte de l’ennemi et que votre action pour Israël vous soit comptée comme mérite ».

 

J’imagine que les motifs de ton voyage t’ont détourné de toute initiative touristique…Idem pour nous. Te rends tu compte, moi qui proclame mon intérêt Français: restés trois semaines en France, nous avons réglé certaines instances locales qui, n’obligeant pas au déplacement, nous ont dissuadés de toute ballade à Paris, pourtant, à quelques minutes de notre maison. Je me surprenais au constat dans un lieu nommé Place de la Répulique que, n’entendant plus les accents familiers d’une « expression » usuelle, il fallait créditer la nostalgie de cette désignation erronée.

                                                                                                                                                        demo 3

Les contacts avec les Israélites, terme choisi délibérément, les Juifs ayant quitté le navire ou se préparant à cette échéance. Ainsi que dit plus haut, mon témoignage reste capital: dans le centre de cette ville du Sud parisien, la langue Française n’est plus une constante, confirmant que le vrai danger, n’est pas, n’est plus le cavalier avec son turban serrant entre les dents son cimeterre, mais l’originaire d’un autre part qui, prenant la place offerte,  participe à l’une des conquêtes du territoire  Français, les plus subtiles,  inimaginées  parce qu’inimaginables : Conquérir sans combattre, nanti d’une arme redoutable: posséder des papiers en règle!

 

Je l’ai pensé et écrit: la France a l’habitude des épreuves mais JAMAIS la France ne connut des débordements   démographiques visant à anéantir la république! 

Tout comme les Français attendaient les Allemands sur la ligne Maginot, n’imaginant pas la stratégie du détournement, les Français convaincus que les « armes Françaises » sont par elles-mêmes dissuasives, ne voulurent pas admettre que Napoléon fut défait en Espagne, car, si la Grande Armée restait invincible, dans le  cadre classique d’une armée contre une autre armée, elle restait sans moyen, devant une nouvelle forme d’assaut: la guérilla!

 

 Ainsi, il suffira que les commerces, j’y reviens, de la Place de la République  soient tenus par les fidèles d’une croyance méconnue  pour obliger le ressortissant Français à descendre plus bas sur la nationale, qui, à coup sûr est déjà exposée à cette poussée démographique ignorée des historiens. Je n’éviterai pas l’emploi du « passé même plus composé », car composé implique la volonté de composer. Et cette volonté, qui l’eût dit, a été subtilement remplacée par une curiosité qui pour malsaine qu’elle soit n’en reste pas moins une des données fondant le caractère invasif de cette présence en France. En effet, on entend de plus en plus des avis proclamés par les nouveaux patriotes   de la France, reprenant la considération d’un journaliste célèbre; « La France saura t- elle saisir la chance d’être devenue le premier pays Musulman d’Europe ?

 

 

On s’attendait à combattre les fellagas, mais face à nous,  une autre tradition religieuse  qui,  bien que Française a compris tout le poids du bulletin de vote et impose une présence qui ne s’inscrivant pas dans le conflit désormais primitif de l’affrontement militaire est en train  jour après jour de prendre acte que la France n’est plus invincible.  Elle commence à comprendre  que Djellabas, et voiles de toutes sortes opposent à  la République,  l’ambassade  de la Nation Arabe et non des représentants d’ethnies désœuvrées.  Et que celle ci ne s’affronte pas avec le plan Vigie Pirate!.. Mais d’abord, et exclusivement avec la fierté de la conscience Nationale. La France ne veut pas se rappeler que les « Musulmans ne intégreront   jamais » avait prophétisé Hassan II

 

  Le geste profanateur d’une Marseillaise sifflée ou d’un   drapeau Français avec lequel on se torche,   ultimes provocations qu’il ne fallait pas laisser passer. La voix de France  inaudible. Elle est loin! Elle est là bas! mêlée à celle de ceux qui crurent que la conscience pouvait prendre du recul sans se fourvoyer.

 

Avoir cru que le touriste ou le travailleur de « là bas » étaient de passage,  est la faute française se superposant à  l’humiliation de ses Juifs dont elle a voulu vérifier par deux fois sous Napoléon que la pratique religieuse était compatible avec la République. L’idée d’investiguer l’idéal évangélique lui aurait aussi permis de comprendre pourquoi l’alliance du sabre et du goupillon reste l’ennemi de la république. 

 

 Enfin les tenants  du  colonialisme Français qui ne voulut pas admettre que la conquête de l’Algérie, province turque, n’entraînant pas une réaction appropriée de la Sublîme Porte,  obligeait à  une vérification de la compatibilité de cette République laïque et de cet Orient  dont elle ne voulut rien connaître, pensant qu’il lui suffisait d’être pour terrasser .

 

Aujourd’hui, elle découvre que,  non seulement être est insignifiant,  mais   qu’il faudra combattre pour réapprendre la France, dont on n’hérite jamais sauf  réactualisation !

 

 

 

 

 

 

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Il vaut mieux être seul que mal accompagné! Si l’orgueil avec son cortège de tromperies devient référence, alors oui, la solitude n’est plus « l’élégance des rois » Et, s’il est vrai qu’elle  est l’accompagnement des grandes destinées, nous sommes plutôt invités à nous prémunir contre cette attitude  volontaire qui, de rupture avec l’histoire et divorces entre acteurs, nous expose à de sévères déconvenues.

La tentative schismatique aujourd’hui est de faire aboutir la conscience de l’Ivri, la liberté d’option de l’Ivri en comportement « religieux! La grandeur de l’homme c’est de s’abstenir d’exercer une responsabilité conférée par son statut de partenaire, d’associé. Lors de la remise de la Loi, les Juifs restèrent « debout ». La signification de l’attitude confirme un partenariat. Aussi, faut-il employer « accompagnement » avec prudence. Il y a une »solitude » de l’homme qui fonde sa grandeur, sa seule grandeur: Personne n’avait exigé d’Abraham qu’il détruisît les idoles de son père. Il fut seul à prendre la décision car s’il ne savait pas par où passait la vérité, il devinait par où elle ne passait pas.

Et, c’est cette solitude qui lui fit mériter d’être « accompagné. » « La Providence disait Einstein, c’est lorsque le Maître se ballade sur terre incognito! Il n’est pas dans le destin d’Israël de recevoir des « grâces »mais de « mériter » On accompagne l’infirme, l’enfant, pas le Juif!L’Election d’Israël se fonde sur sa volonté d’impliquer la moralité comme assise de l’histoire. Jacob devint Israël par la démonstration qu’il le méritait, par l’attestation qu’en le « choisissant » le Maître des mondes « prenait acte » du refus du monde de considérer que la Loi est pour l’homme parce que Abraham avait dans la « SOLITUDE » montré le chemin. Lorsque Ben Gourion (Zal) a engagé la Hagana dans une lutte où la disproportion était telle que l’échec était prévisible, il ne savait pas que « l’accompagnement » deviendrait intrusion de l’ineffable dans le destin du monde!

« L’homme peut être avec D, contre D, mais jamais sans » E Wiesel.  Les eaux de la Mer Rouge ne se sont écartées que lorsque l’homme y a plongé d’abord le pied, sans certitude que là aussi l’accompagnement démontrerait l’assistance! Quant au roi « qui ne devient roi que si D l’a voulu, » tu as certes raison, à condition de ne pas oublier que la royauté a, « D’ABORD »a été la volonté du Peuple! Souligner la nécessaire solitude, c’est confirmer que le Juif ne réclame pas le miracle parce qu’il sait qu’il détient les moyens de le réaliser, par lui même et pour lui même. Aujourd’hui on espère le Messie pour obtenir la délivrance! J’ai appris qu’il était préférable de fonder sa venue sur le  constat qu’Israël avait honoré sa promesse de faire « réussir » l’histoire.

Pour cela, il faut payer le prix! Israël a été grand, quand Israël fut seul!

Savoir que « le Bouclier d’Israël » veille aux destinées ultimes n’oblige pas, pour autant, à solliciter une assistance, dont la permanence attesterait de fatales incuries! Ben Gourion (Zal) a proclamé la naissance d’Israël avec un jour de décalage, en raison du Chabbat, signe tangible que cet Etat Hébraïque renaissant ne serait jamais « seul » dans le sens où maladroitement je l’aurais laissé entendre. Pour conclure, je  répéterai ce que ma petite fille Noa, fille de Rivka me répondit, quand, prenant en considération son désintérêt apparent pour la Tradition, je lui demandai:  » Sans Thora,   sur quoi asseoir les motifs de l’Alya? Elle me répondit: » Parce que Eretz Israël, c’est la terre des Juifs! » Qui pourrait mieux dire?

Il y a là TOUT: l’histoire et ce sur quoi elle se fonde. Avoir compris que l’identité se construit d’abord par et sur la terre est de la même texture que soutenir que la solitude est constitutive de la vocation hébraïque. c’est croire que la réalisation des promesses interpelle la détermination. Dans ces conditions l’assistance proscrite dénaturerait l’idéal mosaïque, ravalé à la promiscuité d’une association ..caritative. 

Votre réflexion intitulée « Merci le monde » dans laquelle il ne me semble pas que citer Israël une seule fois n’ait suscité chez vous d’impératif éthique, voire d’injonction   réactive  à une conjoncture qui de la nuance, passe à la critique avant d’aboutir au systématique.

Nous n’étions pas nombreux à vous défendre lorsque vous souteniez qu’il n’y avait pas d’antisémitisme en France. Pour ma part, j’ai fait crédit à Jacques Attali, auteur du dictionnaire amoureux du Judaïsme. Vous alliez parler, dire, je n’en  doutais pas. J’entendais presque qu’ « on grandit de ses erreurs, jamais de ses victoires » J’ai donc fait crédit à un homme qui, accordant au souvenir de son père « la fidélité » qu’on maintient pour les affections exclusives, ne pouvait pas, rester silencieux. A ma grande déception, vous avez pu ne rien dire !

Comment pouvez-vous évoquer une fidélité pour un père qui se dispenserait de la loyauté envers le peuple dont ce père et son fils sont issus ? Comment avez-vous pu oublier qu’Israël s’est incliné devant la France frontalement narguée ? Comment avez-vous pu, vous qui savez,  ne pas prendre en compte qu’observant le Chabbat, j’ai estimé, qu’honorer le septième jour, c’était précisément, comprendre, et admettre que si nos amis de Métropole avaient besoin d’être persuadés que la Tradition des Juifs accorde priorité absolue à la vie,  quelle que soit l’origine, la philosophie, les convictions de celles et ceux qui venaient de rencontrer la barbarie.

Se rapprocher du pays en larmes Shabat , quand bien même écrire est interdit, parce que témoigner de la création,  c’est d’abord s’abstenir  de créer, ne serait-ce qu’une lettre de l’alphabet.  Il  devenait devoir de conscience, attestation de cet universalisme dont votre père n’a pas du manquer de vous en faire partager  les subtilités, que de témoigner, précisément en ces circonstances

Et bien non, vous n’avez pas estimé devoir saluer le geste. Comme vous avez jugé superfétatoire de faire état de l’exemplarité de la police Israélienne,  selon le patron du raid,  affirmant qu’elle lui fut précieuse.

Vous rappelez vous vos propos sur l’antisémitisme qui vous « placerait en première ligne de défense » si vous aviez les éléments pour confirmer son retour ?

Il y a quelque temps, je vous avais adressé requête, lors de « la Conférence des Présidents » tenue à Jérusalem, et à laquelle vous  preniez part,  me semble-t-il, en insistant pour que vous y disiez les mots que « votre père aurait aimés vous entendre dire ! » Vous m’avez répondu, « Mon père est toujours avec moi. » Croyez-vous que votre père vous maintiendra « sa fidélité » et qu’il, « restera à vos côtés, » si vous ignoriez par le silence et le mépris,  ce qu’il en a coûté à un Juif d’écrire Shabat, ce que je ne peux imaginer.  Faire renaître une amitié, c’est donner vie ! Qu’Israël soit d’abord vu « en vérité » n’est-ce pas réalité salvatrice ? Et, enfin, « oublier la stupeur de la Nation Juive »  qui sachant distinguer  dans le carnage du Bataclan  la volonté islamique d’imposer exil et bannissement aux principes républicains, ne peut  vous dispenser du devoir de rectifier.   Au nom de cet attachement  à un père omniprésent. Et, en raison d’un doute  hypothéquant votre parcours d’un risque  rédhibitoire : lasser  les opportunités et la richesse de virtualités  pour les emplois fussent-ils gratifiants !

 

 

 

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Être élu, oui ! Parce que « choisir, c’est sacrifier ! Être reçu, non !

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 L’élection est la noblesse de l’homme, parce qu’on est élu sur ce qu’on  fait ! La réception de l’homme, non ! Elle pue la haine du Juif en première lecture Parce que pour être reçu, on  commence par frapper à la porte ! Le mendiant aussi !

« Le salut vient des Juifs » est un poison aussi meurtrier que la Shoah, il habitue les Juifs à la superstition. Il les persuade que leur seule présence est un bienfait.

 Quant aux non-Juifs à la certitude idolâtre « qu’il y a des « états » qui dispenseraient du « faire. »

Lorsqu’il s’aperçut de la puissance  que recevait de la paresse contemplative, l’homme capable de voir, permit au  monachisme de naître  en Occident ! Les prêtres du D de la vie s’abstinrent de la transmettre, Jérusalem devenait en priorité celle d’en haut, d’où  désintérêt pour la cité de David

 

En effet, le « Salut vient des Juifs, » outre la vanité exaltée chez ceux qui ne savent pas, nous permet de tenir par le col, le piège qui, en chaque temps, tue Israël.

Le salut tel qu’il est présenté est débarrassé d’erzats quand Hassan II le formule, tel qu’il doit l’être :

        ROI « Mon père, que son nom soit béni m’a fait jurer que je protègerai nos sujets juifs. Car si les juifs fuient, TOUT PART AVEC EUX ! Et le « salut vient des juifs » façon marocaine de faire perdurer une erreur de poids stigmatisant et auréolant le seul pouvoir des Juifs, « la capacité à donner la route »  Décodé, le « salut vient des Juifs » c’est le suicide théologique. Si le Juif donne « la bonne route » c’est qu’il s’y trouve déjà !!! et que, sur les autres … des travaux de réfection empêchent le choix qui devient nécessité.

 

 

Lorsque le général de Gaulle tenta d’atteindre la « spécifique texture de la condition juive » il ne put empêcher des termes à connotation mixte (référence aux conditions bibliques de l’Election, (Elite, Dominateur) ou limitées à une   acception laïque de se bousculer pour avoir préséance !

 

Par ailleurs, une « certaine vision » chrétienne de l’Histoire s’accommode de cette caricature du Juif devenu objet de dérision pour avoir souscrit au piège de la Chrétienté. .

« Le salut vient des Juifs » Non ! Le salut vient des Juifs qui se reconnaissent dans l’héritage de leurs pères. Pas de ceux qui pensent  que Freud a fait naître la psychanalyse , mais chez ceux qui affirment le contraire ! La vanité devenue support d’authenticité comme le vêtement provoquera la séduction érotique. Ce  jeu fatal où l’insistance à paraître confère au masque l’authentique. Pourim c’est chaque jour, grande est la fête, cruel sera le réveil

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Présentant les « options possibles » Dieu demanda aux Juifs de choisir la vie. Ce choix est la clef de voûte de la vocation d’Israël

 

La question se pose-t-elle vraiment ou l’articulant on s’aperçoit qu’elle est issue d’un temps et d’une conception qui la rendent dépassée, déphasée ou haineuse. Quand le Juif soutient que le peuple Juif est ELU et lui-même ne participe pas à l’édification de cette société reste l’aveu du maintien  d’un « privilège Juif » reliquat d’un temps révolu qui, ne reposant pas sur la responsabilité et les risques mis en jeu pour le seul triomphe du beau, du juste et du vrai reste un « avantage de naissance » de nature magique et étranger à ce qu’ISRAÊL EST EN TRAIN D’EDIFIER ! Le Peuple Juif doit initier une « nuit du 4 Août et proclamer non la disqualification de la vanité puisque celle-ci n’a jamais été un « mot d’ordre historique ! »

 

Voici démontré que le compliment est piège. Quand l’Eglise reconnaîtra que se dispensant de la mitsva des téphilines elle confirmait sa rupture d’avec la Synagogue

PARCE QUE,

RIEN EN SOI N’APPORTE LE BIEN

RIEN EN SOI N’APPORTE LE JUSTE

MËME LA THORA N’A CE POUVOIR

QU’AVEC L’AIDE DE L’HOMME !

 

 

 

 

 

                                laïcitéEn septembre 1791 la France émancipa ses Juifs et leur  accorda égalité de droits et de devoirs avec les autres Français. Encore faut-il préciser que cette Émancipation ne fut pas automatique et s’accompagna d’un serment d’allégeance, de fidélité et de loyalisme.

 

Napoléon Bonaparte, remit en question cet acquis de la Révolution de 1789 et opéra une procédure vérificatrice  qui débuta en Juillet 1806. L’Empereur y convoqua « les notables » à qui il posa un certain nombre de questions. L’année suivante, il réunit le grand Sanhédrin composé, pour l’essentiel, de rabbins. Par de pertinentes questions il voulut savoir si la pratique du Judaïsme était compatible avec le respect du aux lois de l’Etat.

 

Convaincu par les réponses qui lui furent adressées que Judaïsme et Code Civil n’étaient pas incompatibles et que les Juifs pouvaient demeurer fidèles aux lois ancestrales tout en rendant à l’Etat fidélité à ses lois et obéissance à ses injonctions, l’Empereur des Français confirma définitivement l’Émancipation de 1791. Il faudra attendre la défaite française de 1940 et l’arrivée au pouvoir de Philippe Pétain et sa clique pour que soit annulées ces mesures progressistes que le « Statut des Juifs » remplacera.

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La République n’estima pas associer à ces vérifications le Christianisme. Qu’il s’agisse de l’Eglise romaine ou de la Réforme, pas plus qu’elle ne jugea utile de prendre les assurances requises par une même recherche concernant le culte Musulman qui, minoritaire et peu représenté à l’époque, n’en restait pas moins la troisième tradition monothéiste.

 

Si le Christianisme par son désintérêt pour toute prétention historique (« Mon royaume n’est pas de ce monde ») ne justifiait pas une vérification approfondie en l’absence de toute rivalité qu’aurait alimenté une quelconque concurrence, il y avait obligation d’analyser les données permanentes de la confrontation avec la laïcité, véritable philosophie qui pose une irréversible antinomie entre Révélation et vertus républicaines.

 

L’incurie relève d’une erreur majeure concernant l’Islam. Le problème aurait du être posé dès les conquêtes coloniales où la confrontation avec l’Islam s »inscrivant dans une sociologie du quotidien, les « politiques » seront  prises en flagrante omission d’exercice de « prévisibilité », donnée inséparable de la qualité de « gouvernants. »

 

Outre « l’omission » on ne peut s’empêcher de voir la « main de l’arbitraire » dans le choix délibéré de « l’exclusivité juive »contrainte à une obligation « incompatible » avec le « principe d’égalité. »

 

 

                                HANOUKIA        Quand fut retrouvée parmi les ruines du temple  la fiole contenant l’huile consacrée qui devait alimenter la Hanoukiah durant les huit jours de célébration, le prêtre savait que la quantité du combustible ne permettrait l’allumage qu’une seule journée. Et pourtant, il alluma la mèche. Et la Hanoukiah s’illumina huit jours sans interruption.

 

14 Mai 1948, David Ben Gourion savait, en proclamant l’Etat Juif, que les ressources militaires de la Haganah ne permettraient pas la victoire face aux armées Arabes coalisées. Marchall, Secrétaire d’Etat Américain, et ami vrai d’Israël l’avait dit au « Vieux lion » : « Ne proclamez pas la naissance d’Israël ! L’Etat Juif  n’a aucune chance de survie ! Et pourtant, le Père d’Israël lança au monde à la date prévue, tel un défi « Nous proclamons la naissance de l’Etat Juif sur la terre d’Israël qui s’appellera ETAT D’ISRAËL. » Et, cet Etat est aujourd’hui sur la route empruntée par les grandes puissances !

 

Le destin d’Israël est de prendre les devants en tout domaine où l’homme rencontrant le chemin de sa destinée démontre au monde que sa vocation est plus forte que toutes les puissances s’y  opposant. Quand Abraham « détruisit les idoles de son père il ne savait pas où était la vérité,  mais il savait où elle n’avait aucune chance de s’y trouver. Et pourtant, en dépit de cette méconnaissance, « Il détruisit les idoles de son père ! »

 

Les certitudes sont  néant  au regard de la vocation et accomplir la promesse jusqu’à l’extrême limite de la condition humaine, c’est toute la noblesse de l’homme, c’est toute la grandeur d’Israël, c’est le message de HANOUKA !

 

 

 

 

 

 

                                    hollande bibiLe discours du Chef de l’Etat au Congrès indique une suite de nécessités s’imposant comme priorités. Celles-ci   résultent  de la teneur des premiers mots du Président de la République : « Nous sommes en guerre ! »  Ces atouts sont l’inévitable adaptation à  une guerre d’un type nouveau, sur le plan technologique.

 

Mais le Chef de l’Etat   soulignera aussi  l’inadéquation des moyens législatifs et constitutionnels dont disposent les pouvoirs publics pour parer aux périls, notamment le recours aux dispositions prévues aux articles 16 et 36 de la Constitution, renforçant de manière temporaire les pouvoirs du Chef de l’Etat. Ces procédures restent obsolètes au regard du Président de la république.

 

Aussi, plutôt que d’user de moyens qui, pour appropriés, n’en restent pas moins limités par le temps imparti et n’autorisant pas  la  stratégie à durée indéterminée qu’impose le caractère inhabituel de cette guerre, le Chef de l’Etat, propose-t-il au Congrès, une réforme de la Constitution qui inscrira, en données permanentes les moyens prévus aux articles pré cités et qui, jusqu’ici n’étaient envisageables que dans « l’exception. » La réforme visée va au-delà de la guerre antiterroriste.

 

 

En d’autres termes, le Président souhaite user dans l’urgence ou non, mais  à sa seule appréciation de dispositions  figurant  dans  la Constitution comme attachées aux devoirs habituels de sa charge et ne résultant pas d’un recours à des moyens d’exception. François Hollande est donc l’instigateur inspiré d’un renforcement des pouvoirs du Chef de l’Etat.

 

 

Il signe là l’éloignement d’avec certains idéaux de la gauche. Car, la paix revenue et ne prévoyant pas, le retour à l’ancienne Constitution, François Hollande confirme par cet acte d’autorité impérieuse, bien plus une attitude régalienne  qu’une initiative   socialiste !

 

 

Ci-après extraits de l’intervention présidentielle au Congrès :

 

« J’estime, en conscience que nous devons faire évoluer notre constitution.

Aujourd’hui, notre texte comprend deux régimes particuliers qui ne sont pas adaptés à la situation que nous rencontrons. 

 Cette guerre un autre type face à un adversaire nouveau appelle un régime constitutionnel permettant de gérer l’état de crise. »

 

Le Président précisera, par ailleurs, que la déchéance de nationalité pourrait être envisagée pour des individus nés Français. Il indiquera aussi l’accélération de la procédure d’expulsion.

 

 

Sous la signature de Blandine Le Cain, et Marc de Boni  le Figaro.fr fait état d’une indication officielle par laquelle la France a informé l’Europe du risque sérieux d’enfreindre les « droits de l’homme »   conséquences de l’Etat d’urgence décrété sur l’ensemble du territoire après les incidents sanglants de ces derniers jours à Paris.

 

(Extraits du Figaro.fr) :

 

« Le Conseil de l’Europe a été informé du risque de non-respect de la Convention européenne des droits de l’homme par la France, dans le cadre des mesures prévues par l’état d’urgence. Ce type de dérogation, rare mais rendu possible par le texte, assouplit les règles protégeant les droits individuels.

 

 La France en état d’urgence ne respectera sans doute plus certains points de la Convention européenne des Droits de l’Homme (CEDH). Le gouvernement français en a fait l’annonce officielle au Conseil de l’Europe, mardi.

 

«130 noms. 130 vies arrachées. 130 destins fauchés. 130 rires que l’on n’entendra plus. 130 voix qui à jamais se sont tues». C’est par cette anaphore, un effet de style cher au président, qu’a été caractérisé le drame des attaques terroristes qui ont visé Paris. «Ceux qui sont tombés le 13 novembre, étaient la France, toute la France», a salué le président de la République. »

 

 

 «Nous communions dans les mêmes émotions en faisant fi de nos différences, de nos origines, de nos croyances», a poursuivi François Hollande, soulignant que contrairement aux terroristes, les tombés du 13 novembre «savaient que la France n’est l’ennemi d’aucun peuple». «Cette génération est aujourd’hui devenue le visage de la France», a-t-il encore lancé. »

 

 

Les propos gaulliens, les insultes, les sanctions insignifiantes ont donné force et vigueur   au racisme anti juif, cause essentielle du désastre des Juifs de France !L’endiguer obligerait à une disproportion que le gouvernement n’envisage pas !

 

Il faut le dire ! Le laxisme des gouvernants à l’égard de l’augmentation des actes et de la pression antisémites doit être dénoncé non comme motif à l’expression antisémite mais, assurément, comme facteur aggravant.

 

Les insultes de Le Pen et Dieudonné n’ont pas été sanctionnées avec la sévérité requise. Les « flagrants délits de menaces de mort proférées publiquement ont indirectement été des incitations à la ségrégation. Les punitions de leurs auteurs, n’ont pas dissuadé la récidive. C’est dire à quel point, leur légèreté interpelle.

 

Il semblerait que les Chefs politiques n’aient perçu le danger qu’au premier niveau. La vue ne portant pas plus haut que les enjeux électoraux, ils ont cru que tolérer n’était pas rédhibitoire et n’hypothéquait pas l’avenir. Mais l’insignifiance et la légèreté des peines constituaient un encouragement progressif  aux manifestations antisémites.

 

Et quand on ouvrit les yeux on finit par admettre que l’antisémitisme n’était qu’une des faces d’un racisme à grande échelle qui visait la France parmi les premiers objectifs !

 

La France est de retour!

La France est de retour!

Ceux  qui faisaient office de « prophètes de malheur »et assuraient qu’il ne serait même pas accordé aux Français la possibilité de « renoncer à la succession » de France,  attendu que les Barbares  auraient tout pillé,   doivent être confondus à considérer qu’ils ont trop vite pris le deuil de la Patrie, et de son Chef.

 

La République Française n’est pas morte ! Des signes parlent, des indices  proclament, des Français  hurlent : La Patrie est en danger mais la France résiste ! La France qu’ils aiment se réveille. Elle est debout ! Quand bien même il ne fut pas facile de ne jamais envisager qu’il pût en être autrement, le bénéfice de la loyauté  et de la fidélité en est l’inestimable récompense !

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L’affligeant,  c’est qu’il n’est pas établi que les « endeuillés précoces » d’une France toujours vivante se réjouissent de s’être trompés ! Parce que tant de haine affirmée par un dénigrement sans nuance, cache mal le plaisir pervers  à ne pas nuancer le propos d’une ébauche consolatrice.

 

Une certaine ardeur dans l’assurance d’une mort qu’alimentait le mépris pour ceux qui refusant l’inacceptable s’exposaient à leur menace  confirmait plus que la faute ou l’erreur  que le contrat confiance, si, tant est qu’il fut, avait vécu,

 

 On me demande avec insistance et de diverses sources, de reproduire les  deux textes qui,   publiés en Novembre 2011 et Février 2014, ont eu de bien émouvantes résonnances parmi  certains Français,  Juifs de France, ou d’Israël. N’ayant  jamais cessé de croire, que la France se relèverait  ils affirment qu’ils  trouvaient dans mes propos leurs propres convictions exprimées. 

 

Ci-après  donc ces deux proclamations composées et assumées dans une ambiance lourde, étouffante et dans une hostilité qu’on ne me dissimulait pas. Aujourd’hui, ces textes sont, je l’avoue, le lit de ma fierté et le réconfort de ma rébellion. Modestement, ils illustrent le propos du Tigre : « Dans la guerre, comme dans la paix, le dernier mot est à ceux qui ne se rendent jamais ! »

VIVE LA FRANCE,  VIVE L’AMITIE FRANCO-ISRAELIENNE !

 

Ne prenez pas le deuil de la France !

8 NOVEMBRE 2011

 

« Parler d’histoire, ce n’est pas évoquer le passé, c’est parler d’avenir ! » Nicolas Sarkozy.Alès (Gard)  4/10/2011.

Assez de jérémiades ! Assez de pleurnicher ! Capitulards taisez- vous et écoutez ! De quel pays parlez-vous ? De quels hommes et de quelles femmes évoquez-vous le destin ? Où avez-vous appris que la France se rend à l’ennemi sans livrer bataille ? Jean Moulin, Léo Hamon, Emmanuel d’Astier de la Vigerie, Leclerc de Hautecloque, c’est la France qui vous interpelle et qui vous demande des comptes quand, par faiblesse, ou calcul sordide, vous la rabaissez au rang de nation commune. Si vous pensez ce que vous écrivez, Résistez , dîtes ou faîtes  ! Vous est-il arrivé à Paris de lever les yeux. Vous y auriez vu des plaques de marbre sur lesquelles, vous auriez pu lire : « Ici Un Tel a été fusillé par les Allemands. Il avait seize ans. Passant souviens toi ! »

 

C’est aussi la France ! Celle qui vous, qui nous déçoit ! Mais être déçu impose, chez les hommes d’honneur,  la lutte,  pas le défaitisme. Alors expliquez moi ce que vous faîtes de constructif en critiquant de la façon dont vous le faîtes, ce pays, pour lequel vous « crevez d’amour. » En dépit de vos discours !

 

Croyez vous que l’histoire de France a commencé à Montoire ?

 

Savez vous ce qu’avaient écrit sur les murs de leurs prisons,  les femmes des Cévennes, emmurées vivantes plutôt que d’abjurer leur foi protestante :Résistez ! Avez-vous entendu parler de Wagram, d’Austerlitz, de Sedan, de Joffre, de Foch, de Leclerc ? C’est aussi la  France ? Avez-vous vraiment cru que leurs fils déposeraient les armes avant de s’en servir ? A vous entendre, il semblerait que vous preniez plaisir à supputer sur les conditions de son délabrement. Parce que le pouvoir politique est faible vous en tirez pour conséquence que la France n’est plus la France. On peut avoir honte de la politique française sans pour autant méconnaître que les épreuves d’aujourd’hui sont des peccadilles comparées à celles de jadis.

 

Avez-vous entendu parler de la guerre des tranchées, de Verdun, du siège de Paris en 1870 ? Savez-vous les conditions que l’armée coalisée des royaumes européens imposa à la France à l’abdication de l’empereur en 1815 ? Les Français d’aujourd’hui sont leurs fils Savez-vous ce qu’il fallut de desespérance à un peuple pour racourcir un homme, représentant de D.ieu sur terre et, en même temps d’espoir et d’optimisme pour proclamer que « tous les hommes naissent libres et égaux en droit » Juifs d’Algérie, savez vous que vous devez votre Emancipation à la République Française d’abord et au ministre Crémieux ensuite.

 

Avez-vous pensé, peut être avec une jubilation malsaine que les fils de Lyautey, de de Lattre de Tassigny, de Juin s’étaient courbés devant l’ennemi ? Si oui, c’est que vous ne connaissez pas l’histoire de ce pays. Il y eut certes des jours sombres, mais si ces jours vous ont fait oublier les soleils d’une rare lumière, c’est que vous ne méritez pas la qualité de Français.

 

Saviez-vous que le capitaine Dreyfus,  victime de l’antisémitisme le plus abject,  déporté à l’ile du diable continuait d’espérer en la France des droits de l’homme ?

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Savez-vous que des villages des Cévennes qui n’ont pourtant pas leurs noms à Yad Vachem ont accueilli de très nombreux enfants Juifs, s’efforçant de rendre leur enfance aussi heureuse qu’ils le pouvaient ? Et vous, aujourd’hui, par faiblesse et veulerie vous annuleriez cette histoire de votre mémoire,  parce que vous estimeriez que cette histoire a cessé. Ignorants, ne confondez pas, un chemin de traverse avec une route ! Il y a des peuples qui réagissent et provoquent des cataclysmes à la première provocation.  Et il y en a d’autres moins ardents à donner la mort, peut être  parce qu’ils savent le prix de la vie ? Est-ce pour autant qu’il faut les insulter parce qu’ils donnent le sentiment de ne pas, de ne plus savoir se défendre ? Savez-vous la puissance de l’exemple français quand il décide de s’imposer ?

La France a toujours attendu l’irrémédiable avant d’engager la bataille

Sur ce, elle n’a pas toujours raison, mais c’est là son destin. Quand elle regarde en arrière, si tout n’est pas édifiant et glorieux, de formidables exemples de Résistance et de grandeur s’imposent !

 

Rappelez-vous les premiers mots lancés par Eisenhower sur le sol français en 1944, « La Fayette Merci, La Fayette nous voici ! » La grande nation américaine doit beaucoup à la France, quand bien même la réciproque est aussi  vraie. Il faut apprendre la façon avec laquelle le peuple français réagit à l’outrage avant que de l’offenser parce qu’il n’est pas le cow boy de notre mythologie !

 

 

Quand vous ouvrirez les portes du ressentiment, n’oubliez pas que c’est la France, la première nation du monde,  qui a fait des Juifs,  des hommes libres, des citoyens émancipés. Cette seule vérité devrait suffire, si vous êtes de bonne foi à tempérer, à nuancer votre hostilité.

 

C’est quand tout paraît compromis, qu’il faut faire face à l’adversité que les caractères se révèlent et que les forces apparaissent sans masque ! La France d’aujourd’hui a moins peur qu’il y paraît parce qu’elle ne croit pas au danger qui la menace. Quand dans notre vie, nous avons à faire face, c’est souvent, l’image d’un père, d’un grand père qui se dessine, au-dessus de notre interrogation. Comment aurait-il agi à ma place ? Pour la France, le processus est le même.

 

A l’image de ses voisins, le danger ne lui apparaît pas. Mais lorsque ce sera le cas, prenez-vous la mesure des cataractes d’exemples qui surgiront de sa mémoire, de l’hémorragie d’hommes illustres qui ne plièrent jamais et s’imposeront à elle. Après la conquête Arabe, il y eut la Reconquête. Après l’Occupation, il y eut la Libération. Pourquoi vous arrêtez vous au deuil ? Pourquoi faîtes vous halte devant l’Unesco qui est une faute, alors qu’elle n’est qu’une péripétie ? Si grande qu’ait été la faute de de Gaulle à l’égard du sionisme, ce fut tout de même, le Chef de la France Libre qui parmi les premières décisions prises à la Libération rétablit la validité du Décret Crémieux !

 

C’est son histoire qui sauvera la France, tout comme c’est dans sa famille que l’homme trouve des forces. Ce n’est pas parce qu’elle se tait, que la France n’a plus rien à dire !

 

Les hommes célèbres attendent que le point de non-retour soit atteint pour sortir de l’ombre. Les taxis de la Marne, Gambetta et son ballon, de Gaulle et son seul appel, Napoléon et son Code Civil, rien ne permettait de dire qu’ils échapperaient au destin. Et pourtant ! C’est à 76 ans que Georges Clémenceau, le Tigre, sortit de sa tanière  pour galvaniser des troupes au moral affaibli et fut appelé « le père la Victoire »  Alors…

Arnold Lagémi : Lettre ouverte au Président François Hollande

A François Hollande, Président de la République Française. Lettre ouverte pour connaître, entrouverte par pudeur !
4 fév 2014

 

«Juif casse toi, la France n’est pas à toi.»

Commencer ainsi un courrier au garant des Institutions, en redisant ce qu’on entend trop souvent à Paris, donne le ton, en faisant apparaître ce que tout le monde sait, mais n’ose soutenir : Cette France, faible, et dans un état calamiteux, n’est pas celle qu’on nous a enseignée et apprise à aimer !

 

Monsieur le Président,

Permettez, Monsieur le Président que j’emploie l’Impératif pour m’adresser à vous, non pour vous ordonner, ce qu’au peuple ne plaise, mais, pour que vous vous rendiez à cette évidence : Des citoyens qui souffrent dans leur honneur et leur dignité ne peuvent que demander, pas quémander. On ne garde pas l’ordre et l’idéal républicains par l’aumône ou la charité.

On le protège, on l’entretient, par l’ordre !

Non l’ordre fasciste qui est une fin en soi, mais la « mise en marche » de dispositions exceptionnelles, quand la gravité et les menaces contre le pays sont, tout aussi exceptionnelles. Le bénéfice de l’article 16 de la Constitution, par exemple, donne les « pouvoirs les plus étendus au Chef de l’Etat, pour maintenir la sécurité, quand celle-ci est menacée par le danger intérieur ou extérieur. »

 

Monsieur le Président, vous êtes la République aux yeux de la France et du monde ! N’avez-vous pas eu honte, tout comme nous, pour ce pays de grandeur et de lumière, aux destinés desquelles vous présidez, quand vous l’avez vu s’incliner devant l’insulte anti-juive ? La seule impression de similitude avec Vichy vous a révoltée, à coup sûr !

 

Les Juifs de France savent, en cas de péril, où serait leur devoir. Distinguer l’action gouvernementale, qu’ils n’approuvent pas toujours, de la « Patrie » qui, reste à leurs yeux « la douce France, le cher pays de leur enfance » au secours de laquelle ils n’hésiteraient pas à apporter leur concours si des circonstances dramatiques la conduisaient à se « déclarer en danger » sauraient vite, très vite, où serait leur place !»…

 

Monsieur le Président, notre Patrie est mise en danger par des barbares qui opèrent chez nous, contre des Français !

Proclamez que la « Patrie est en danger ! » Vous ne mentirez pas ! Paris n’est plus Paris !

 

 

Faîtes donner l’armée ! Qu’elle se montre du moins ! Les Barbares pensent que cette armée n’est plus. Alors qu’elle a vaincu en dépit du péril et triomphé dans la gloire ! Rétablissez la République et toutes ses vertus ! Certes, le geste exige courage et détermination. Et, le ridicule par lequel on tente de vous atteindre, empiétera pas sur le pouvoir de ces qualités régaliennes, parce qu’en devenant Président de la République, vous vous êtes transformé en continuateur obligé de cette aristocratie de l’exemple, pour qui, faiblesse est reddition et laxisme, abandon,

 

Or, c’est, entre autres, pour mener à bien l’élimination de ces séquelles que le peuple Français vous a mandaté à la magistrature suprême ! Vous êtes donc héritier, d’une lignée qui se distingua à Fleurus et survit en votre personne, en dépit de votre simplicité.

Descendant de Jaurès et de Gambetta, ne laissez pas mourir la République !

La France doit retrouver les attaches qui la lient à son histoire. Votre mission n’est pas liée à une « morale de l’ambigüité. » Elle est à la mesure d’un destin ouvert sur le monde : Redonner sa place à la France ! Pourvu que, comme à Arcole, le Chef Suprême de tous les Français marchât, en tête, les trois couleurs, bien en mains, comme un défi à opposer aux barbares.

Fils de France, père de France, vous le savez, les Juifs souffrent du mal d’amour. Aussi et, lorsque vous ordonnerez le rétablissement de l’ordre républicain, sachez que vous serez confirmé par la majorité de la Communauté juive, « Président du « Cher pays de notre enfance » et ce, même s’il fallait en attester, par l’héroïsme d’une Légion d’honneur, épinglée sur la poitrine de mon grand-père par le généralissime Foch, ou, par le sacrifice suprême, de sa vie, par cette mention, sur son certificat de décès, synonyme de fierté, et d’impossible dissociation « Mort pour la France ! » indiquant, par là même, que leurs enfants et petits-enfants ne méritent pas que les barbares les insultent de : « Juif casse-toi, la France n’est pas à toi. »

 

Notre requête prend fin, votre mission est en cours Monsieur le Président ! Puissiez vous rester dans la mémoire de France, le premier qui fit de la lutte contre l’antisémitisme, l’objet prioritaire de la rénovation nationale !

 

Honneur et respect au Président de la République, garant de la France et Chef Suprême des Armées. Vive l’amitié franco israélienne, vive la France, Ham Israël Haï.

 

Arnold Lagémi

 

CES TEXTES SONT REPRODUCTIBLES SOUS RESERVE D’Y MENTIONNER MES NOMS ET ADRESSE:

www.arnoldlagemi.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 (Napoléon 1er et les Israélites par l’abbé Joseph Lémann 1894 -Librairie Victor Legoffre.)

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Dans le décret de 1808 concernant les synagogues et les Consistoires apparaissent également des articles concernant les rabbins ; articles qui sauvent leur existence et érigent leur autorité à une hauteur inespérée, puisque désormais les rabbins seront considérés religieusement et civilement sur la même ligne que les prêtres catholiques. Napoléon ne crée pas, pour autant,  la fonction rabbinique  qui existait avant l’exil.

 

 Sa décision confère cependant aux Juifs,   à leurs maîtres  surtout, le pouvoir de réactualiser   la peur, voire  l’effroi   qui  depuis Constantin accompagnaient   la perspective d’un Renouveau historique de la Nation Juive.   La  promotion de droits au bénéfice des rabbins, identiques  à ceux reconnus aux prêtres  catholiques légitimait une fonction existante certes,  mais dans une quasi-clandestinité. La promotion voulue par le vainqueur d’Austerlitz pour des motifs restant supposés  officialisait la fonction d’une dignité telle que les titulaires  regardés comme porteurs des lauriers impériaux  jouissaient de la considération rare d’avoir été distingués par Sa Majesté Impériale.

 

 

Cette considération, « révolutionnaire » officialisant le mandat de représentativité que le peuple Juif accorde aux Docteurs de la Loi est une des étapes déterminantes dans le réveil de la Nation juive orchestré par l’Empereur. Cette « Résurrection » conduira quelques années plus tard à la décision royale :

 

Louis Philippe, roi des Français, à tous présents et à venir, salut,

 

Les Chambres ont adopté, nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit, Article unique : A compter du 1er Janvier 1831, Les ministres du culte Israélite recevront des traitements du trésor public. La présente loi discutée, délibérée et adoptée par la Chambre des pairs et par celle des députés et sanctionnée par Nous aujourd’hui sera exécutée comme loi de l’Etat.

 

Fait à Paris, au Palais Royal, le huitième jour du mois de Février l’an 1831

 

                                                                                       Signé Louis Philippe

La rédemption d’Israël par Napoléon tenant une place dans la volonté impériale que ne justifie pas l’existence d’une cause dont elle serait l’effet autorise à soutenir que la « génération spontanée » si elle est infondée en biologie ne l’est pas pour autant dans le jaillissement de l’impératif moral qui, sans cause,  prend réalité, ainsi démontrée par cette volonté de justice qui, d’elle même, et  par elle même est en mesure de démontrer la possibilité de l’homme d’exception de « faire naître » spontanément » sans le recours d’un agent extérieur  la vérité d’un principe. (AL) 

Cette proximité « impériale » à l’égard des Juifs, que poursuivra le peuple Corse durant les sombres heures de la Collaboration,  reste un des mystères les plus épais de ce rapprochement judéo-chrétien bien plus convaincant que toutes les initiatives d’organisations au même nom !

                                               

Faire observer que la France ou Israël s’abstiennent de désigner DAECH comme ennemi commun,  n’enlève  rien aux réalités. Dans son intervention au Congrès le Président Hollande n’a pas permis l’équivoque : « DAECHE a attaqué la France, DAECHE est notre ennemi. »

 

Laisser croire que d’aucuns auraient  intérêt  à ne pas associer Israël à cette lutte, dans la mesure où les coups portés  à Israël sont  la volonté des Palestiniens et non de DAECHE. Cette résultante du processus émancipateur   ne doit pas varier. Ces violences   commises par des Palestiniens à l’encontre du « colonialisme » Israélien  sont des actes libératoires. S’il venait à être affirmé que DAECHE en est l’auteur, le soutien à la cause palestinienne pourrait en être affecté.

 

Thèse séduisante récusée par une analyse même succincte. Le terrorisme Djiadique, quand bien même aurait-il  ses priorités,  doit être perçu et appréhendé comme porteur d’une ambition, le Califat, gouvernement central de la Nation Arabe, visant à restaurer la vocation Arabe de la terre. Or, un tel projet ne peut se dispenser d’avoir pour objectif la disparition de toute emprise étrangère sur la terre Arabe, dont le sionisme est une des expressions.

 

La Nation Arabe ignore les nationalismes. Elle ne connaît pas et reconnaît encore moins ces pays, Jordanie et Irak, par exemple, nés du découpage des puissances alliées.

 

Il est de l’ordre de l’évidence  que le nationalisme palestinien  s’inspire de cette entité globale qu’est le DAECHE, porteur de cette ambition islamique, à laquelle l’OLP se soumettra, car, si le nationalisme est étranger à son patrimoine, la Nation Arabe en demeure la substantifique texture.

 

Au-delà de l’OLP, il y a DAECHE qui, inspirateur des ambitions Islamiques, reste la force à laquelle toutes les autres s’agrègeront, pour tenter de réduire à néant l’Europe et Israël, son allié. Choix que l’amour n’aura pas désiré mais que les guerriers d’en face auront imposé, par la désignation de l’objet de leur conquête : le monde !

 

 

 

la patrie

 

 Les critiques de « France » ont perdu l’usage du miroir !

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.Voir Céline sans Racine, c’est oublier : « je vois qu’en secret l’injustice vous irrite ! Que vous avez le cœur encore Israélite !   (Racine    Esther)

 

On me reproche une ardeur Française ! Alors je me défends bien plus pour assouvir que pour dire, dans l’indifférence à la proportion éventuelle! Dire son fait, oblige à savoir que ce qu’on nous doit n’a pas été dépassé par ce que nous devons. Affirmer l’élection a parfois des accents provocateurs que je n’accepte pas !

 Je commence à être agacé  par une prétention  « juive »  qui ne doit pas être oubliée, car si les Juifs cultivent la solidarité ils ignorent la culture des chardons et orties.

Et si la vie quotidienne n’est pas renouvellement du Contrat, elle reste usage abusif d’une Election imméritée et injustifiée. Le sachant, il faut faire ! Le sachant et ne pas faire, c’est dénoncer le Sinaï

 

neo fascisme 2

Certains observateurs m’invitent à atténuer mes « ardeurs pro-françaises » et me signalent pour  appuyer le « corpus » de leur réprobation  que la France vient d’offrir  plusieurs millions à l’Autorité Palestinienne.

La confusion est tenace, car l’indigence de la démonstration ne pouvant  suffire  à désarticuler   l’argument,   « l’attaque à la personne » sera le recours  ultime et habituel  par lequel réduisant la  fidélité à la France à  «l’ ardeur », l’émotion prendra la place de la réflexion, et la légèreté signera toute autre prétention.

 

Ignorant la honte de se démettre sans combattre, c’est obliger à l’ultimatum ! la désinvolture du procédé sera, sans faiblesse exposée et  la critique  édifiée sans concession. J’accorde à la présente valeur d’ultimatum !

 

 

. En m’opposant « l’aide financière de la France » à la Palestine,  est démontrée  une conception de l’histoire qui évoque singulièrement la « vision messianique » des mouvances juives orthodoxes. Je pense aux  scénarios hollywoodiens où les cieux s’entrouvriraient et  laisseraient passage à un messie rutilant, faiseur de miracles mais étranger à l’espérance juive !

L’aide de la France aux Palestiniens  s’inscrit dans le  contexte d’une politique avérée depuis des décennies. Elle ne peut, sauf  » vision magique » et conception surnaturelle »  opérer un changement hâtif et aventureux sans un cheminement inévitable qui durera le temps de l’enfantement. D’ores et déjà  la matrice des révolutions est en marche :

Si vous l’ignoriez apprenez ! Si vous le saviez, expliquez-vous !

La France n’a pas reconnu l’Etat de Palestine !  La légitimité palestinienne affirmée par le Parlement Français n’a pas valeur contraignante sur l’Exécutif.

 

La France est de retour!

La France est de retour!

L’article 80 de la charte des nations unies  ne permet pas l’édification de l’Etat de Palestine. Les avocats Américains spécialistes en droit international ont attiré depuis 2011 l’attention du Secrétaire Général de l’ONU et  confirmé qu’une tentative de « négliger » l’article 80,  autoriserait  à engager une procédure contre l’ONU.

 

Si vous l’ignoriez apprenez ! Si vous le saviez, expliquez-vous !

 

 

                                            ————————

 

Quant à  « l’amitié » exprimée par le patron du RAID à Israël au cours d’un entretien publié par Lefigaro,  discerner dans cette position  un » sens privé » reste l’aveu d’une volonté démonstrative saisie en flagrance d’incurie argumentaire !

 

Si le droit garanti  à la critique de la politique française est légitime,  il n’en reste pas moins équivoque qu’étiolé par une condamnation généralisée, il entame le  crédit auquel ne peut prétendre une exagération insignifiante et excessive..

 Admettez que nous devons à la France de nous avoir permis de réaliser des études fort utiles. Cette donnée seule sans appeler en renfort les ressources  de la digression devrait initier le processus  d’auto destruction de vos accusations systématiques !

 

Pour conclure, deux références :

 

ISRAËL/ FRANCE : ENNEMI COMMUN !

 

  1. Extrait du site de TSAHAL ;Fr

 Ada, OFFICIER DE caracal, bataillon d’élite opérant dans le Sud  “Les combattants de Daesh sont terrifiés à l’idée d’être vaincus par une femme, cela contredit totalement leurs croyances les plus radicales”.

                                                        ___________________________________________

LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE  DEVANT LE CONGRES :

 

« Les actes commis à Paris vendredi soir sont des actes de guerre ! » Ils sont le fait d’une armée djihadiste, le groupe D A E C H »

PAGE GOOGLE DE RECHERCHE:

 

Comment Israël se prépare à la guerre contre Daech 

www.actuj.com/…/israel/2317-comment-israel-se-prepare-a-la-guerre-co…

11 sept. 2015 – Ce n’est qu’une question de temps : les forces de sécurité israéliennes sont convaincues que Daech attaquera Israël. Les soldats et soldates …

Daech menace de renverser le Hamas à Gaza | Middle East … 

www.middleeasteye.net/…/daech-menace-de-renverser-le-hamas-gaza-11…

Daech a publié une vidéo dans laquelle il menace de prendre le contrôle de Gaza … Nous allons déraciner l’état des Juifs (Israël) et vous et le Fatah, et tous les …

Daech – 911 – l’ex-agent de la NSA, Edward Snowden … 

mai68.org › Accueil du site › Comment publier un article

17 sept. 2014 – Daech – 911 – l’ex-agent de la NSA, Edward Snowden, révèle que le chef de l’EI travaille pour les USA et Israël. samedi 21 novembre 2015 …

Pourquoi l’EI n’attaque jamais Israël ? – reflexion 

www.reflexiondz.net/Pourquoi-l-EI-n-attaque-jamais-Israel_a35100.html

22 juil. 2015 – Pourquoi Daech n’a jamais attaqué Israël ? En fin de compte comme j’avais besoin d’une réponse urgente pour assouvir ma soif de …

Sinaï. Vu d’Israël : l’Etat islamique est à nos portes | Courrier … 

www.courrierinternational.com/…/sinai-vu-disrael-letat-islamique-est-nos…

2 juil. 2015 – … dans le Sinaï. A quelques kilomètres de là, Israël craint un débordement. … Syrie. Vent de révolte contre Daech dans la ville de Manbij.

Daech revendique des tirs de roquettes sur Israël – L’Express 

www.lexpress.fr/…/daech-revendique-des-tirs-de-roquettes-sur-israel_16…

4 juil. 2015 – Il s’agirait de la première attaque contre Israël marquée par le sceau deDaech. Des roquettes tirées vendredi après-midi depuis le Sinaï en..

 

Solidaire  de France, parce que, « Ce siècle avait deux ans et Napoleon perçait sous Bonaparte !

Solidaire de France parce que Malraux a dit non  et que « l’esclave dit toujours oui !

 

Solidaire de France, parce que son Chef humilié ayant dit non ouvre le chemin à Israël qui dira un « non » « comme il a dit non à la conversion » Solidaire de France parce si la judée est terre de D France est mère de Justice. Solidaire de France parce que l’amour d’israel est éternel comme le porteur de son nom !

 

PAS TRES HAUT, PAS TRES GRAND, PAS TRES FORT, MAIS SEUL ! DISCIPLE DE DIGNITE EN AGISSANT COMME JE L’AI APPRIS : ÊTRE JUIF N’AUTORISE PAS A CONFONDRE DEVOIRS ET PRIVILEGES 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand bien même le « pacte sécuritaire » expliquerait les insuffisances du « pacte de stabilité » François Hollande amorce un indéniable changement !

 

Une question aux indifférents  de la France qui font semblant  de la chérir parce que l’aveu de jalousie impose une capacité d’élévation dont ils ne sont plus capables ; et qui les limite à la généralisation de la critique, procédé  incontournable chez les insuffisants. Inaptes  à nuancer,  ils optent pour la généralisation. Quand bien même agnostiques ces assimilés, Juifs d’origine, ne savent pas  ou ont oublié que si l’opportunité leur fait rencontrer ou plutôt croiser le Président de la République, la loi de Moïse les oblige à rendre grâce de cette proximité.      Les propos que vous teniez sur le Président de la République utilisant la systématisation farouche et la globalisation déterminée, ne permettant pas même à  la personnalité concernée de changer d’avis.

 

Etat d’urgence prolongé et aménagé! Déchéance de la nationalité concernant des Français, le Président l’a répété. Procédure d’expulsion activée ! Un début de discours au Congrès offensif : « La France est en guerre ! »

 

Vous pouvez tourner la tête ! Vous avez honte, honte d’avoir troqué la réserve pour la remplacer par la haine ! Honte d’avoir insulté dans le mensonge et la diffamation, celui qui, en temps de guerre, commandera aux armées.    Nous y sommes, enfin vous y êtes ! Certaines tournures de vos phrases me concernant  et que des regards amis m’invitent à lire comme des menaces à peine voilées sont de précieux indices sur l’idée que vous vous  faîtes de la conduite des affaires publiques.

Le péril   bascule le Président Français entre dans l’histoire La France désespérait et celui auquel on pensait le moins force le destin à ne plus voir que lui !

 

Chaque homme ignore le capital de résistance qu’il porte en lui et dont il peut faire preuve en cas de besoin. C’est souvent ceux auxquels on ne croyait pas que le destin des peuples présente la couronne des rois.

 

 

 

Jean Michel FAUVERGUES, patron des unités spéciales de la police    interviewé par le Figaro.fr relate en insistant sur les détails opérationnels l’intervention du RAID à St Denis.

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Ce spécialiste de la lutte anti terroriste a insisté particulièrement sur l’aspect inhabituel de l’assaut, quand les individus à neutraliser sont des kamikazes. L’action est fondamentalement autre. Selon que l’intention du terroriste soit de  se faire exploser ou de protéger sa vie imposent à la police des approches particulières à ne pas confondre.

 

L’exemple et les techniques mises au point par des « pays amis » comme Israël nous sont précieuses. Car précisément leurs connaissances de tous les paramètres permettent de protéger davantage les hommes et d’éviter des morts inutiles.

 

Déjà, notons la qualité « d’amis » reconnus aux israéliens, désignés il y a peu comme commettant des « crimes  contre l’humanité. » Le recours à la connaissance, et à l’expérience d’unités Israéliennes  traduit le rapprochement certes mais surtout démontre la vacuité des accusations diffamatoires.

 

Après avoir mesuré que la politique pro-arabe de la France ne la mettait pas à l’abri d’être assimilée à un « ennemi à abattre », force est d’admettre que des « circonstances exceptionnelles et stratégiquement primordiales » désignent simultanément  Paris et  Jérusalem comme alliés. Les  » massacres de Paris » et les assassinats perpétrés par poignards ou ceintures d’explosifs à Jérusalem, Tel Aviv ou engins de morts s’envolant de Gaza ont les mêmes auteurs: l’armée djihadiste!

 

L’alliance que les Ministres d’Israël et le Quai d’Orsay n’ont pu réaliser, la Destinée l’a établie! Quand le Président Hollande déclare au Congrès « La France est en guerre », le premier Ministre d’Israël donne la réplique, inimaginable mais prévisible, il y a quelques mois, « Qui frappe un des « nôtres » atteint Israël! »Se rend-on bien compte, a t-on bien entendu? Celui qui est en charge de l’histoire d’israël, désigne « nôtre » la France!

 

Se rend-on bien compte, parce qu’il y aurait mauvaise volonté, sinon davantage à ne pas reconnaître, que la Destinée des hommes et des nations, peut, en quelques « tours » modifier radicalement le cours des évènements, qui, sans son concours menait vers l’impasse?

 

La France de plus, reçoit  dans ce conflit une terrible leçon: elle découvre le peu de fiabilité de l’allié Arabe à qui elle a donné sans compter, à qui elle a sacrifié « Israël, notre ami, notre allié »et qui, pour réponse lui envoie ses soldats de la mort répandre la terreur dans les rues de sa capitale.

 

Cette alliance, pas morte pour autant, va connaître un sérieux revers qui permettra à Israël de convaincre Paris que le malheur ne lui a pas ôté la chance que représente l’amitié d’Israël, dont la compétence en matière de guerre urbaine anti terroriste n’est plus à démontrer.

 

Einstein, désignant la Providence disait que c’était la manière qu’utilisait le Maître des Mondes quand, descendant parmi les hommes, il se promenait « incognito ». Lutter contre le destin est l’honneur de l’homme, savoir reconnaître  la destinée dans les soubresauts imposés à l’homme, c’est pouvoir dire que tant d’insultes et de mépris pour François Hollande n’empêcherait pas que lui soit accordé de suspendre « le pacte de stabilité » pour faire réussir le « pacte de sécurité. » Il faut des yeux Juifs pour voir dans la façon de marcher du président, sous les tambours du congrès, quelque chose  de César montant les marches du Capitole. Oui, j’évoque le Président que ses détracteurs rivalisant de haine recherchaient plus le mot porteur d’humiliation que l’encouragement que cet homme attendait. La France est de retour! Israël aussi!

 

 

 

Le terroriste  est un ennemi de l’intérieur qu’on ne parvient à identifier que par une investigation novatrice,  car s’il est possible de distinguer et reconnaître un Jordanien d’un Norvégien,  en acceptant, toutefois,  une marge d’inexactitude,  il devient périlleux, à maints égard de distinguer un membre de l’armée djihadiste.  (Au plus haut niveau de l’Etat, c’est par cette spécificité que se définissent les auteurs, les complices et les commanditaires  de « l’acte de guerre » qui a ensanglanté Paris, il y a quelques jours.

 

Cet ennemi imposera des efforts considérables aux forces de l’ordre qui devront  «  à vue » déterminer le risque potentiel que représente  tel individu et mesurer les dangers encourus par une interpellation dont le  retard  d’exécution serait dramatique s’il s’avérait qu’un kamikaze préparait son mode opératoire !

 

Le danger d’initiatives hâtives voire arbitraires ne vous a pas échappé. Les soldats Français n’ont pas l’expérience des guerres urbaines et  le risque de disproportion n’est pas à écarter ! D’autre part, le risque terroriste n’étant pas imputable à toute une population  mais relevant d’une fraction de celle-ci, le grief ségrégationniste ne manquera pas d’être invoqué et abusivement dénoncé.

 

Radicalement différents sont les usages de la guérilla, dont les critères souvent objectifs  permettent  l’identification par le vêtement et les pratiques combattantes s’opérant par groupes, on ne quitte pas le cadre militaire. Avec le terrorisme, on implique les civils.   Les accrochages armés se déroulent le plus souvent dans les agglomérations urbaines…

 

 

Les théâtres d’affrontement prennent souvent les habitants en otages.  Il est prévisible d’imaginer que les enfants utilisés en « boucliers »  à Gaza, le seront aussi dans cette confrontation nouvelle. Que feront les soldats de la République ?  Il  est aussi prévisible qu’on comprenne mieux Israël !

 

22La représentation du Rav Simsovic est un hommage qui lui est dû, en raison de ce qu’il m’a « donné ». Elle ne signifie pas qu’il approuve ou désapprouve. S’il le juge nécessaire il le dira!   le Rav Eliakim SIMSOVIC, PARDONNERA CETTE FAMILIARITÉ; iL SAIT AIDER, IL SAIT EDIFIER, mais il ignore se placer, montrez lui sa place: Au premier rang! C’est un grand, fils et petit fils de grand. Il demeure héritier « de l’illustre »Maître de l’Ecole d’Orsay!               Demandant l’avis du RAV sur cette présentation, il me fut rappelé le mot de talleyrand: « CE QUI EST EXCESSIF EST INSIGNIFIANT! » Montrez lui sa place, URGENCE!                    

 simsovicLa lettre de Chabbat ainsi appelée par les lecteurs et correspondants outrés de la liberté que j’ai prise se heurte à d’autres lecteurs me remerciant. On me demande des explications. Merci d’y prendre part !

 

 Shabbat, il n’est pas permis d’écrire, sauf à « sauver une vie ! » Consoler, rassurer, apaiser quand la barbarie frappe  la mort ,en prime, n’est-ce pas « SAUVER ? »

 

DESOLE POUR LA LONGUEUR ? ZAPPEZ MAIS FAÎTES MOI L’AMITIE D’UN AVIS !

 

Assimiler l’initiative de consolation écrite  chabbat à des non-Juifs, à une profanation me paraissant révéler un risque schismatique,  j’en conserverai l’appellation( à moi adressée, dans le présent texte,) dans l’espoir  que son caractère répétitif ne manquera pas de  faire naître la légitime outrance prévisible.

 

.En effet,  le jour où  l’obligation « religieuse » de témoigner que le monde n’est pas à nous, nous nous dispensons d’user des forces créatrices, en nous dispensant d’écrire et donner  forme à quoi que ce soit contraint aux inévitables explications. Créer par l’écriture, c’est donc user du droit divin dont « écrire » fait partie.

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 Sachant de plus,  que le « bénéfice du profanateur »(moi-même, en l’occurrence) visant précisément et exclusivement à « profiter » d’une tragique circonstance pour  que  cette « profanation »   lui permettre d’attester que la « fraternité » est une des bases de sa foi et reste une des assises du sens des interdits chabatiques . Cette inobservance exceptionnelle de la « lettre » fait rayonner l’esprit judaïque en pulvérisant la tendance pathogène de toutes les spiritualités, sous réserve que le  « profanateur »ait un minimum de connaissances l’autorisant à « faire » En effet,  résistant mal à la sécurité que prodigue une  rigueur aveugle, les « pratiquants de stricte observance » seront séduits par l’application stricte ayant perdu de vue que « la loi est pour l’homme et non l’inverse. »

 

 L’option morale permettant de  Pouvoir et Savoir s’incliner devant la souffrance universelle est certes maintenue, quand bien même Chabbat) à condition d’en exonérer de l’observance de toute participation qui serait estimée profanatrice. Le principe permettant la dispense d’observer ne s’appliquant qu’en cas de danger de mort. J’ose soutenir que quiconque voit un être cher déchiqueté gisant à même le sol doit être rappelé à l’impératif de vie. Car aimer c’est partager ! L’on ne sait jamais la nature de l’emprise qui s’emparera  du survivant devant le spectacle d’une telle horreur. Je soutiens que le rescapé est sous menace de mort, le terme pris dans son sens globalisateur.

 RAV GOREN

Et si le « rappel à l’impératif de vie » est opéré par un Juif observant, celui-ci rejoindra le sens ultime de la Loi, en accomplissant publiquement tout ce qui est nécessaire à cette mitsva. Son geste apparemment profanateur donnera bien plus son sens  à l’attestation que le monde est créé que la priorité consentie à l’interdit de l’écriture qui, en l’occurrence est plutôt confondu avec une priorité de mauvais aloi. Ecrire qu’en « ce jour, les Juifs ont mal » c’est détruire  les clichés  antisémites de l’élitisme judaïque. C’est surtout hurler à la terre entière que la Thora que confirme « l’écrit du profanateur »  ne connaît pas, et ne reconnaît pas une validité à la souffrance.

 

 Et que si cela devait ne pas être vrai, ce n’est pas l’affaire de l’homme. La sienne c’est de le dire, et de l’écrire, sous réserve, bien entendu que son auteur soit suffisamment informé pour ne pas entraîner vers une impasse ce qui le dépasse.

Réduire une démarche exceptionnelle et personnelle à l’établissement d’une conduite qui  inviterait à être suivie serait dangereux et irresponsable  

 

Comprendre et juger imposent la maîtrise de certains paramètres. D’abord, le rôle et la place que la parole occupe dans la relation établie avec le monde non juif. Me concernant cette place est omniprésente. Il y a des mots consolateurs qui sont des renforcements de vie. La parole et son impact  dans ma vie  sont des données explicatives et justificatives. Or, samedi matin, j’ai eu le sentiment d’une certitude : je devais dire que j’avais mal. Non pour moi mais pour ceux qui me conservant quelque affection apprécieraient cette volonté de partage.

BONHEUR

Le cliché qui montre que les « Juifs sont fiers, élitistes, sûrs d’une supériorité, voire porteurs d’une aristocratie méprisante renforcée par la conviction d’appartenir au Peuple Elu a participé sans aucun doute à ma décision.

 

« Je voulais donc dire dans le malheur qui a anéanti des vies que vous chérissiez  que nous sommes les témoins vivants que la vie est plus forte que la mort. Que, je ne m’éloigne pas de la loi qui affirme, qu’en tout état de cause, la vie est prioritaire. Parce que  je sais que la mort des proches culpabilise parfois, inquiète souvent et que les supplices de certitude qui vous confirment que la vie n’a pas de sens si l’innocent doit payer peuvent se télescoper avec mes propres paroles qui alimentées par une tradition différente de la vôtre, peuvent éveiller votre réflexion, d’abord sur ma sincérité et ensuite diluer l’intensité de votre souffrance ! Comment ?

 

Voir mourir les siens est porteur d’une indicible tourmente et savoir que quelqu’un qu’on estime ou qu’on ne connaît pas « suspend » les obligations de sa foi à la volonté d’alléger les supplices,  qu’il veut prendre sa part du malheur qui     nous atteint et  signe le témoignage d’amitié, voire de fraternité, le plus authentique qui soit !

 

Ensuite, commander au sacré de s’éloigner afin  d’échanger avec celles et ceux  qui ont vu l’ange de la mort frapper sans pitié les plus chers des leurs c’est nous  reconnaître à nous,   « profanateurs* » du Chabbat  la capacité , non seulementde dire mais de pratiquer le juste, sans qu’aucun interdit ne vienne s’y opposer !

 

Faites-moi l’amitié de me donner votre avis !

 

 

 

 

 

 

Dans une de ses dernières éditions, La Croix.fr rappelle les objectifs du gouvernement directement inspirés par l’Etat d’Urgence et confirmés par le Premier Ministre le 14 courant sur TF1.

la patrie 2

  1. Soulignant que « « NOUS SOMMES EN GUERRE ! » Manuel Valls confirme que Le Président de la République demandera au Parlement réuni en Congrès, (procédure exceptionnelle) le 16 Novembre, « l’extension de ses moyens d’action. » (article 16, Etat de siège ?)

 

  1. EXPULSIONS DES IMAMS RADICALISES.

 DÉCHÉANCE DE LA NATIONALITE POUR CEUX QUI « BAFOUENT L’ÂME DE LA FRANCE ! »

 

« La même volonté de détruire » est-elle l’annonce de « ripostes en proportion » » ?  Après le récent carnage et   l’intention proclamée « d’anéantir la France » le tout revendiqué par le même islamisme radical, une « même volonté de détruire » pour 123 morts civils transformés en « objectifs militaires » se traduit par quel résultat ?

 

La même « volonté de détruire » mise en place par la France, signifierait-elle une convergence de vue avec Israël sur la légitime défense ? Si la France applique ses intentions, Israël n’y manquera pas d’y faire référence !

 

IL EST CEPENDANT IMPRESSIONNANT DE PRENDRE ACTE DES MESURES QU’UTILISE LE DESTIN POUR OUVRIR LES YEUX DES  NATIONS; RAPPELEZ VOUS L’INTERPELLATION DE PHARAON PAR MOÏSE. APRES LA DIPLOMATIE, LES PREMIERS NÉS!

 

 

Mon Cher Arnold ,
Nous avons perdu le contact depuis cinq ou six ans et il te paraîtra singulier que je t’écrive pour te demander de publier cette lettre. En effet, la scène à laquelle j’ai assisté dans une rue très fréquentée de Tel Aviv, que je relate ici,  ne peut,   rester sous silence. Elle montre aux goyim dont je suis,   que les Juifs sont inclassables, ne serait-ce que par  la relation à leur terre qui s’inscrit dans un processus humaniste qui échappe à la notion de Patrie pour retrouver une dimension universelle.

 

 

C’est à la terrasse  d’un café à Tel Aviv que j’appris qu’on pouvait être « fier d’être Juif. »
Un groupe d’Israéliens, nouveaux immigrants probablement, était assis à la terrasse d’un café et se livraient à un tir de barrage sur la société israélienne. Amertume ? Déception ? Rien ni aucun domaine n’échappait à la critique : les enfants trop libres, les enseignants laxistes, le rôle  prépondérant de la TV, l’hôtellerie médiocre, etc… etc…

 

Chacun y allait de son commentaire acerbe. Le goy que tu connais se tenait prêt à intervenir…lorsque je m’aperçus que la scène se déroulait sous le regard attentif d’un vieux monsieur qui n’en perdait pas une. J’étais venu pour faire une halte entre deux achats. Mais,  prévoyant l’affrontement, je décidai d’attendre.

 

Je n’attendis pas très longtemps. Le vieux Monsieur se leva, ajusta ses lunettes, respira à trois reprises en prenant à chaque fois le maximum d’oxygène, comme pour se préparer à l’affrontement. Et ce fut un combat et quel combat ! David et Goliath ? Plutôt un conte fée démythifié où la méchante soutient en permanence qu’on ne l’aime pas.

 

Il alla vers la table où étaient assis ces jeunes procureurs et lança d’une voix ferme et résolue :

 

«  Mon pays, votre pays n’a que 60 ans. Et pourtant il a dévoré jusqu’à notre âme et brûlé nos réserves » Il haletait, l’air semblait lui manquer. Une jeune femme lui tendit une chaise. Il fit « non » de la tête comme si ce qu’il avait à dire exigeait d’être debout. « Regardez votre pays avec des yeux Juifs, avec des yeux qui savent le prix qu’on a payé pour en arriver  là. 

 

 

 Voyez nos villes, regardez les efforts pour en faire des cités modernes. Vous, vous voyez le laxisme des enseignants. Mon père aurait été heureux de m’envoyer dans une école et puis…il se tut, devint très pâle et parla plus lentement et moins fort. Ses yeux s’emplirent de larmes. Il y a des êtres que la nature a dotés d’étranges pouvoirs. Il suffit qu’il parle pour que personne n’ose donner la réplique.

 

 

« Ah quoi bon. Si vous ne voyez que ce qui est à faire et pas ce qui a été fait.   Et pourtant, j’ai la certitude que nous sommes allés au bout de ce que l’homme peut faire. Pour cette terre, on n’a pas toujours mangé à notre faim. Chaque jour un camarade tombait. J’ai perdu deux  fils dans deux guerres. Mais j’étais à Tel Aviv le jour de l’Indépendance. Mes yeux ont vu le crématoire à Buchenvald, mais ils ont vu aussi le vieux lion monter les marches du musée de Tel Aviv pour y lire la Déclaration d’Indépendance ; c’est un moment fort dans la vie d’un Juif !

 

 

Et puis tout ce qui est sorti et sort encore. Nos médecins inventent des techniques révolutionnaires,  des remèdes qu’on vient nous acheter de très loin. Peut-être n’avons-nous aucun mérite et nous sommes seulement bénis parce que,  élus,  comme disent les religieux. 

 

Non, ce n’est pas possible, je radote. Parce que nous avons payé ce pays au prix fort, bien plus cher qu’il ne vaut. C’était ça ou le retour en Europe ! Alors on a mis tout ce qu’on pouvait avoir de réserve à être heureux et on l’a investi, sur…. » Il hésitait : « vous !  On a construit pour ceux qui viendraient, rien pour nous. » L’émotion était insoutenable, la honte aussi !  « Monsieur » lança la fille qui avait tendu la chaise. On est là pour six mois, après on verra. » « Mais c’est tout vu, non ? Si on est juif, on ne fait pas de tourisme ici, on a des projets ou… des regrets. »

 

 

Deux garçons parmi les plus virulents baissèrent la tête. Brusquement avec un regard plein d’une fierté naïve, un des deux jeta à la figure du vieillard : « j’ai entendu souvent ‘’être fier d’être juif’ ’mais je ne sais pas ce que ça veut dire ! »  Le vieux semblait heureux qu’on lui tende la perche,

 

 

« Une fois, dans le désert, quand j’étais soldat, j’ai mangé des herbes, qu’un bédouin venait d’arracher. Il nous avait dit que c’était bon pour la soif.  Ce pays n’est viable que pour des fous de la vie. Être fier d’être Juif, c’est aimer la vie au point de manger des …herbes arrachées.  Rappelez-vous,  des herbes ! »

 

 

 

Et, brusquement, il obliqua vers la droite, après avoir pointé un doigt menaçant en notre direction mais empreint d’une ineffable douceur et avoir lancé dans une voix brisée : « On ne reçoit que ce qu’on donne. » Puis il disparut dans la foule. Un silence lourd succéda. Puis le groupe se dirigea vers le centre.  J’ai pu entendre seulement la fille à la chaise murmurer dans un rire coupé par les sanglots : « Quelle leçon, quelle leçon ! »

 

 

Mon cher Arnold, c’est parce que ce texte simple mais percutant comme tout ce qui est simple confirme que les Juifs sont un peuple à part, que je te remercie de tes efforts pour le publier en  souvenir de l’amitié nouée dans cette célèbre école qui donna tant de grands hommes à la France et au monde, mais dont je tais le nom car je ne pense pas en avoir le droit.

 

 

 

J’aimerais que tu signes. Je saurais si enfin, mon style m’est propre !

 

 

Une réaction défensive qui doit surprendre l’ennemi et troubler les faux amis.

Que n’a-t-on entendu sur le Chef de l’Etat ? De l’insulte au mépris,  cet homme a tout « encaissé » sans se fourvoyer ! Et que fait-il ? Il parle certes,  mais pour dire ce qu’il fait ! S’il continue ainsi, sera-t-il donneur de leçons ?

 

Voyons et rapprochons nous ! Que de stupidités dites à propos de la bombe ! Certains sont même allés jusqu’à  envisager Alzheimer ! Peut-on croire que le Président ne se rappelait plus ? Lui, dont le pays fut l’artisan de l’atomisation israélienne ? Un homme qui préfère passer pour ridicule plutôt que de trahir, en  proclamant  qu’Israël n’a pas la bombe, permettant ainsi d’éviter une enquête sur site ,n’est-il pas, vraiment l’ami d’Israël ? La France, membre du Conseil de sécurité doit être consultée avant d’enquêter. C’est fait !

 

130 morts à Paris ! »  « Acte de guerre ! » dira t-il et annoncera une défense  plutôt musclée : « Etat d’Urgence » proclamé pour l’ensemble du territoire ! Qui osera dire que François Hollande n’est pas à sa place ? Il a promis la guerre aux ennemis de la France ! Les préparatifs militaires sont en cours ! PRECISIONS SUR L’ETAT D’URGENCE:  L’objectif est l’ordre public, les libertés sont suspendues même les libertés fondamentales.

Les expulsions du territoire national deviennent possibles. Il n’y a pas de doute,  le Président Français par sa décision courageuse montre le chemin !

 

A la prochaine attaque prévisible, il usera probablement de l’article 16, et tiendra en mains tous les leviers  de commande  que lui accorde déjà pratiquement l’Etat d’urgence !

 

Il y a quelques semaines je publiai une réflexion : « Ne prenez pas si vite le deuil de la France ! »  A  RELIRE !

 

Droite, gauche, centre, un seul objectif : Union autour du Chef suprême des armées ! Am israël Hay- Dieu protège la France

 

 

 

 

Amis connus et inconnus de France, un Français d’Israël imagine votre peine. Il ferme son livre de prières et « ouvre » son PC.

 

SAMEDI les Juifs observants n’écrivent pas! Pourtant,  à  Auschwitz, le premier soir de Pâques un célèbre Maître réunissant ses élèves et ayant fait la bénédiction sur le pain,  le distribua à ses compagnons éberlués.  Il n’échappa pas à la question:

« Rabbi, ce soir, c’est Pessah, nous devons manger de la matsa »  La réponse fusa: »aucune règle ne tient devant la priorité de la vie! Nous n’avons que du pain. Alors…

AUJOURD’HUI, MES FRÈRES DE FRANCE SONT DANS LE MALHEUR!

Je veux qu’ils sachent que la priorité pour les Juifs est de les assurer que la longue habitude des tourments nous rapproche d’eux, bien plus qu’elle nous ene éloigne. Cette assurance de proximité, du malheur partagé, l’unité qui en est l’effet, me renforcent dans l’assurance que le Roi David, et, même, Moïse, notre Maître, sont à mes côtés au moment où je vous écris  et qu’ils approuvent ma conviction que la souffrance des hommes  si elle peut être allégée,  doit être combattue  sans délai! Surtout la souffrance imposée par les griffes de la bête féroce. Savoir que sa peine, celle de l’innocence, est volontairement partagée par d’autres, quand bien même elle ne la supprime pas, atteint celui qui la ressent dans son sentiment du partage qui reste un des mystères de la condition humaine.

FRANÇAIS, LES JUIFS ONT MAL,  depuis longtemps, mais aujourd’hui, le mal est plus vif . Votre douleur provoque des sanglots qui traversent les murs! L’enfant qui est encore en moi, entre estomac et foie me persuade que plus on est à le dire, moins la part de chacun sera importante  Il m’est apparu important de vous révéler que si je ne vous le disais pas, en vérité ce serait là, la vraie profanation.

Français mes frères, avec vous,  dans l’épreuve, jusqu’à la mort de la bête. D’Israël, recevez, en ce jour de shabbat l’assurance de mes sentiments qui s’inscrivent dans la fraternité car les larmes répandues par votre douleur  si elles ont pu influencer les miennes à se jeter aussi dans le vide c’est qu’il y a là quelque chose qui, tonnerre de Brest ressemble  bien plus aux sentiments familiaux,  qu’on ne  le croit.

CHABBAT CHALOM

Arnold Lagémi

             l’Union Européenne prive Israël du droit à négocier!                   erdfdtL’étiquetage des produits Israéliens indique, sans équivoque,  que la nature du processus de « paix »voulu par l’Europe est la   « Restitution sans Négociation ! » Cette politique du « fait accompli » accordant  aux Palestiniens ce qu’Israël n’envisageait qu’après de fermes garanties accordées  à sa sécurité,   encouragera la surenchère palestinienne à demander plus que les « territoires,  » ceux-ci étant reconnus « Palestiniens » par la décision arbitraire d’étiquetage décidée par l’Europe !

 

Quand bien même on s’abstiendrait de démontrer que la présence d’Israël en Judée Samarie est une des conséquences  imposées par l’Egypte en 1967,  rendant inévitable l’ouverture des hostilités, il faudra bien reconnaître que,  la présence juive en Judée Samarie est un droit bien plus fondé par l’histoire et renforcé par  le récit biblique, l’histoire du sionisme et la Loi du retour,  qu’il ne pourrait y prétendre si une justification palestinienne de même nature tentait de l’établir.

 

Et c’est pourtant cette réalité arbitraire, appuyée sur la force et la contrainte qui privant Israël de déterminer tenants et aboutissants qui accorderaient « la paix en remplacement de la terre » oblige l’Etat Juif  à rechercher un objet autre de négociation qu’il ne peut découvrir qu’en puisant, non plus dans les ressources de territoires négociables, mais dans la réserve des « acquis vitaux » dont la seule évocation permet de mesurer les risques graves auxquels s’exposerait Israël en y ayant recours. La décision Européenne prise sans entendre Israël est « un coup de force » qui cherche son inspiration dans les mauvais coups où le droit est sacrifié. En l’occurrence si les Palestiniens  sont reconnus chez eux, sans que le triomphe des armes ne soient validé ou  condamnée  l’obligation de la guerre voulue par Nasser, c’est que l’intention veut nous contraindre à avouer que nous ne revendiquons plus rien!                                                                                                                                                  cncncncgggg

 

La restitution « de facto » qu’est l’étiquetage des produits de Judée Samarie, est une implication discrétionnaire et despotique de l’Union Européenne qui indique aux protagonistes que l’ouverture d’éventuels pourparlers de paix   ne s’envisagera pas sur une restitution déjà acquise à ses yeux ! Mais alors…

 

Dans ces conditions, l’Europe souhaiterait-elle,  assister au triomphe de l’inique en obligeant l’Etat Juif à mettre dans la balance, le seul bien qui lui reste : Sa survie ?

 

Je veux citer pour conclure le mot de mon ami, le Dr Friedman, pédiatre à Nétanya: « Tu comprends pourquoi, les Juifs d’Europe se sont laissés massacrer?  Varsovie est une exception dans l’histoire de cette boucherie ! »

 Prenons garde à ne pas donner vigueur aux puissances de la nuit, accompagnatrices tutélaires des forces de lumière! L’illusion est de croire que ces forces dévastatrices sont au delà de nos portes! Elles sont en deçà et même EN NOUS !

 

 

 

 

 

Il n’y a pas de doute possible ! Demander à des civils de se retourner en permanence pour vérifier  que la personne marchant derrière ne se prépare pas à leur plonger un poignard dans le dos est  une épreuve qui ne peut être qu’exceptionnelle et limitée. Faute de quoi, les civils sont exposés à des pathologies psychiatriques dévastatrices.

 

En dépit des réactions volontairement imprécises des responsables Palestiniens, nous constatons que les auteurs de ces tueries barbares  seraient plutôt l’objet d’hommages et de félicitations, quand bien même ils ne sont pas sortis vivants de leur geste leur valant, pour le moins, le statut de martyr !

 

Nous tenons là cependant  un motif réel et sérieux de justification d’un éventuel conflit. Et, pour fondement, l’Histoire du droit de la guerre (1700-1819), 2 volumes et surtout, l’œuvre magistrale:

 

  • Introduction à l’histoire du droit international, tomes 1 et 2
  • Jean-Mathieu Mattéi
  • Editeur : Presses Universitaires d’Aix-Marseille
  • RÉFÉRENCE  ESSENTIELLE ET DÉTERMINANTE : (EXTRAIT :)

« Ainsi, avant que d’examiner le point d’orgue de la théorisation de la cause légitime de guerre que constitue la doctrine médiévale de la guerre juste, l’antiquité aura identifié et isolé les éléments fondamentaux du débat. La guerre est juste dans deux hypothèses, l’atteinte au droit et la défense de soi. La violation du droit et la légitime défense établissent donc les causes justes de la guerre. »

 

Dans la considération de ces principes, je ne relèverai qu’un élément susceptible d’emporter sinon l’adhésion, du moins la justification à l’emploi des moyens de guerre : « La défense de  soi » considérée par le droit international comme motif détenant aval et caution à la « guerre juste » Bien entendu, la justification légale et morale de la « réaction défensive » ne dispenserait pas du recours à  l’ultimatum.

 

Poignarder des civils justifie non la riposte circonscrite mais la défense globale, seul moyen d’aboutir sinon à la paix, à une longue rémission, pour le moins.

 

 


art de vivre 5 Propos barbaresques interrompus par la vox populi!

On persévère dans les impasses, on perdure dans les propos incohérents, insalubres et vides de contenu,  parce qu’on refuse, au nom d’une laïcité moribonde qui ne cesse de dire et de se contredire  que la question est là où l’on souhaiterait qu’elle fût : POLITIQUE ! Mais, elle n’y est pas ! La question sent le souffre, « Mon Dieu est plus fort que le tien ! »  Je l’ai entendue hurlée place de la République !

 

On se fourvoie ! On réagit comme si les interlocuteurs étaient terrestres ! Mais, ils sont d’ailleurs. Le droit aucune idée ! » La force, toujours la force, rien que la force » Les avis de magistrats ne sont, sous leurs appréciations que vents, tempêtes, tornades que personne ne prend au sérieux.

 

Eole n’est plus un agent efficace depuis la découverte de la vapeur !

 

Le retard est séculaire. Les juges effrayaient mais c’était nécessaire. Les barbares ne misent plus sur « séduire » mais sur « INDUIRE » la soumission que la force suggère. Montesquieu, Rousseau, Jefferson, font rêver ; ils n’aident plus à vivre !

shakes

Le monde fait semblant d’être attentif à l’humanisme.

 

Ce qui lui tord les tripes avec un arrière-goût médiéval, c’est la certitude qui fut celle de Malraux. » Le monde doit se préparer à une confrontation planétaire ! L’humanité agit et se comporte non dans la perspective d’un bouleversement idéologique auquel elle fait mine d’adhérer, voire d’une conversion « soft »!.

L’humanité remplace les livres par des hachettes ! Là est la conversion ! On n’a bien compris qu’on ne séduit pas!

COMPRENONS BIEN. DES SIECLES DURANT NOUS AVONS VU  PLIER LES CORPS ; Notre combat, aujourd’hui c’est l’âme. Car l’âme d’Occident  est pourrie.  Jusqu’à la racine ! Sa crainte, son effroi, elle n’ose pas les nommer, d’abord par honte et pudeur mais surtout, parce qu’elle   sait que les signes précurseurs ont passé les avant-postes pour gagner les rues.

 

Quand Paris est prêt à entendre « Mort aux juifs » sans broncher, Paris devine que la nature des combats qui s’annoncent sont ceux qui sont frères des Croisades et Cousins de Saint Barthélemy !

 

La raison n’est plus interrogée, l’intelligence n’est plus requise. C’est le ventre qu’on appelle, les entrailles qu’on convoque. Le désarroi vient de la certitude que le soldat laisse sa place au chasseur. La guerre à nos portes c’est celle de la bête qui veut sa revanche. Ce déchaînement d’irrationnel, seuls des prêtres, rabbins, imams, compétents dans l’art d’initier les âmes, de les corriger, de les apaiser, sont le recours, l’ultime moyen ! Eux seuls, peuvent calmer le jeu. Même si Dieu se trompe, ses mandataires ont bien plus d’influence que les Polytechniciens…   téléchargement (3)

Alors, vite une Cour Suprême de religieux, même s’il faut étouffer Descartes. « Je pense donc je suis » doit s’éloigner et laisser la place à : «Je suis avec le Dieu fort, donc tu suis ! ».

Transposez le conflit au Ciel et, peut-être, moyennant la résurrection des « indulgences », LA PALESTINE SERA LÉGITIMÉE

A condition d’accepter DE RENDRE COMPTE A UNE FORCE ignorant mansuétude et compassion. Cette force s’empare du droit, du juste, du Juif et  ne se cache plus.Une chance de sauver le monde! Se rappeler qui mène le bal!

Pas de prénom: une appellation qui est tout un programme : SATAN !images (8)

 

UNE SEULE ISSUE, DE SECOURS, en l’occurrence, un seul dégagement qui ne soit pas impasse. Dans le cadre de l’Etat d’urgence ou de la Loi martiale, auxquels on arrivera, que CRS et gendarmes imposent aux prévenus les prières d’usage. Qu’on ne laisse plus entrer dans les lieux publics ceux qui n’ont pas « leurs tapis de prières »LEUR CROYANCE SE RETOURNERA CONTRE EUX SI NOS CHEFS SAVENT ENCORE.   CAR ILS UTILISENT L’IRRATIONNEL  COMME MOYEN DE CONQUÊTE? ALORS QUE C’EST UN APPOINT !

Ce moment de flottement sera une victoire. Après tout, c’est en voyant une « élégante » sortir de son taxi que Joffre eut l’idée de réquisitionner les taxis et ce fut « la victoire de la Marne. »

Je ne publie que rarement des textes que je n’ai pas écrits. Je m’en expliquerai plus tard. Néanmoins, je déroge à  la règle et j’en remercie très sincèrement le Rav Simsovic de m’avoir indiqué l’existence de ce texte rare, somptueux, signé d’une intelligence peu commune.

Georges Hansel rend hommage à Manitou

 

Je vais au coeur. On lit très rarement des textes qui ne parlent qu’à l’âme, les textes mixtes sont hémorragiques. Mais ceux qui savent les moyens d’atteindre « cette part d’en haut, qui vit en bas et  retournera d’où elle vient , quand l’homme ne saura plus la convaincre de rester à ses côtés »  doivent être connus et mériter notre émerveillement.  Regardez, lisez bien! Des « choses » aussi grandes, ça ne court pas les rues!

http://ghansel.free.fr/WebTalmud/askenazi.htm

téléchargement (1)DAVID BEN GOURION : « Ce n’est pas l’Etat qui accorde aux juifs le droit de venir  s’installer ici, car ce droit n’a jamais quitté le juif ! »

 

Il est significatif de considérer que le récit biblique conférant les particularités identitaires du peuple Juif, ne sépare jamais celles-ci d’une référence obligée à la promesse d’accorder « la terre de Canaan à Abraham et à ses descendants. Les récits postérieurs ainsi que la littérature rabbinique confirment cette orientation avec une telle amplitude que Rachi dans ses célèbres commentaires ira jusqu’à dire : « Que le comportement des Juifs hors des frontières n’est guère différent, de ceux  qui vivent « sans D…) Et si l’obligation de vivre sur la terre d’Israël n’est pas une des 613 mitsvots, c’est parce qu’il s’agit là du cadre, hors duquel les mitsvots sont inapplicables.

 

EXTRAITS  DE LA DECLARATION D’INDEPENDANCE :

 

L’État d’Israël sera ouvert à l’immigration des juifs de tous les pays où ils sont dispersés ; il développera le pays au bénéfice de tous ses habitants; il sera fondé sur les principes de liberté, de justice et de paix enseignés par les prophètes d’Israël

 

La terre d’Israël est le lieu où naquit le peuple juif. C’est là que s’est formée son identité spirituelle, religieuse et nationale. C’est là qu’il a réalisé son indépendance et créé une culture qui a une signification nationale et universelle. C’est là qu’il a écrit la Bible et l’a offerte au monde.

En conséquence, nous, membres du Conseil national représentant le peuple juif du pays d’Israël et le mouvement sioniste mondial, réunis aujourd’hui, jour de l’expiration du mandat britannique, en assemblée solennelle, et en vertu des droits naturels et historiques du peuple juif, ainsi que de la résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, proclamons la fondation de l’État juif dans le pays d’Israël, qui portera le nom d’État d’Israël.

 

Confiants en l’Éternel Tout-Puissant, nous signons cette déclaration sur le sol de la patrie, dans la ville de Tel-Aviv, en cette séance de l’assemblée provisoire de l’État, tenue la veille du shabbat, 5 Iyar 5708, quatorze mai mil neuf cent quarante-huit. » 

 

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Il est toujours étonnant de considérer la fraction du peuple Juif, s’avouant en rupture avec la Tradition ou l’histoire,  et manifester cependant un attachement à une fidélité inspirée  par une vive considération des tenants et aboutissants par lesquels la civilisation hébraïque reste habituellement connue et reconnue. Cette affection va au-delà de la vertu patriotique.

 

Si   pour certains  elle s’exprime par  les obligations de l’allégeance religieuse,  elle   reste  pour d’autres l’aveu d’une référence historique de nature imprécise,  d’où il sera périlleux de prétendre y voir  l’agnosticisme  de façade !  Cette tendance plutôt laïque tenta de débarrasser l’héritage traditionnel de la connotation spirituelle. Mais cette démarche ne saura pas, toutefois se dispenser  d’admettre par le geste ce que le discours rejetait.

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Sait-on que l’Indépendance devait être proclamée au moment même où les Anglais abandonneraient la Palestine et que Ben Gourion s’y opposa parce que cela obligeait à ne pas tenir compte du Shabbat?

 

 

 

Rédigée par le « Père de la nation », la Déclaration d’Indépendance confirme, par les références à la tradition d’Israël, véritables pierres angulaires qui réunissent la Nation juive, son histoire, ses vertus, ses Pères Fondateurs, sa Loi et son D.ieu,   le caractère délibérément  « Juif de l’Etat ».

Son auteur ne se privant  pas d’invoquer l’assistance divine et précisant que sa conception de la justice sera celle des prophètes , on ne peut s’empêcher en considérant la défection du monde rabbinique, à l’édification de l’Etat d’y voir comme une disqualification d’un comportement  qui pour avoir démontré une mémoire excellente au  rappel des règles n’a pas compris qu’il leur fallait savoir dire ce qu’ils avaient compris et non  ce qu’ils avaient appris!(règle de pédagogie juive, selon un enseignement  du Rav Simsovic)

 

 

             juifs 1Non, l’Islamisme n’est pas le seul danger ! Samedi des membres de la mouvance extrémiste  Française étaient dans la rue, dans les environs du Café de Flore, réclamant la déchéance de nationalité et l’expulsion vers Israël de Bernard Henry  Lévy, philosophe bien connu de la Communauté Juive.

 

On aura remarqué que ces « structures » néo fascisantes » se font oublier dans les périodes de stabilité et n’hésitent pas à émerger quand l’équilibre républicain est menacé.

 

L’agitation de type antisémite a toujours été le ferment qui donnait vigueur à ces forces dont Vichy fut la dernière étape à tendance synthétique.  Et, entendre dans Paris des propos qu’on avait oubliés depuis 1936 et les Ligues, confirme l’imminence des dangers !

juifs 2

Profitant de la digression qui représente mensongèrement   l’exclusivité du danger aux seules formes radicales de l’Islamisme, plus grand monde ne distingue,  pas  plus qu’il  ne discerne que  »l’extrémisme Français » a émergé de sa retraite stratégique. Il ne nous est pas insolite de savoir  que les courants connus de la radicalisation française s’abstiennent de « démonstration » tant que le temps  n’est pas leur allié!  L’est-il devenu?

 

Ces courants de l’extrême savent que,  cette conjoncture, leur a toujours été bénéfique; car la première mission assignée est bien plus consensuelle, du moins en présentation, qu’elle ne le sera effectivement: le Renouveau de la Patrie! En 1938, on avait moins peur du nazisme que des Juifs. Et Léon Blum, vainqueur des élections de 1936 sera reçu à la chambre par des insultes.

 

Aujourd’hui,  « Israël menace la paix du monde, Israël est le seul danger, les Juifs sont l’unique péril » La ligue infernale Mufti/Fuhrer confirme l’Union sacrée contre le Juif.  Il est révélateur que le père du nationalisme palestinien fut le seul Musulman « ami » d’Hitler.  La « France Juive », exutoire et oeuvre magistrale  de l’antisémitisme français,  est aux déjections françaises ce que  « Meïn Kampf. » est aux textes fondateurs et matriciels de la déchéance germanique. L’imminence des périls est toujours précédée chez les fils de Satan d’aveux de fraternité!

 

La boucle est bouclée !

 

SOUS RÉSERVE DES MENTIONS LÉGALES CET ARTICLE PEUT ÊTRE DUPLIQUE.

 

Quand en France, l’extrême droite se découvre, cela atteste que le pouvoir est accessible ! 

 

 


conversion 4La subtilité avec  laquelle on tente de faire cohabiter l’identité juive avec la conversion qui en est la négation ou l’intégration des sources acquises à côté des références innées n’est que « l’accusé  réception » d’un message jamais reçu ! En bref, prétendre renaître par la conversion, c’est refuser d’admettre le préalable du suicide !

Vous dîtes « Et si l’on se convertit au christianisme ou au bouddhisme, ce n’est tout de même pas un crime ! »

 

« Aujourd’hui la direction affichée de la conscience juive est  repli » « le Judaïsme rabbinique est dans une posture hermétique ! » Elle régresse vers le refus d’assimiler la terre à la donnée irréductible de l’identité !                                                                                                                                                             guignol 1

J’en imagine certains que vos paroles doivent plonger dans une joie inespérée.

 

 Pour la tradition juive, se convertir aux croyances étrangères c’est marquer d’abord une rupture avec l’histoire d’Israël, dans la mesure où l’identité juive n’est pas que religieuse.

En se convertissant on n’implique pas seulement la foi, on fait intervenir toutes les composantes de l’identité.

 

 En devenant Juif, on ne change pas seulement de croyance, on épouse un destin, on partage une histoire.

 

Les propos irresponsables que vous tenez vous rapprochent de tous ceux qui n’ont pas conscience que la conversion les intègre dans un destin qui n’est plus celui d’Israël. Savez-vous que dans certaines communautés on prend le deuil pour les convertis parce qu’embrasser une croyance étrangère est une forme de suicide ?guignol 2

 

 

Et vous avez l’insolence de dire que « se convertir n’est pas un crime ! » En effet, mais tout dépend dans quel camp on se situe !

Abandonner une espérance, trahir une fidélité, renier le combat de ses pères, échanger le monothéisme pour l’idolâtrie, plier devant l’ennemi, ce n’est peut-être pas un crime, mais ça lui ressemble par tous les éléments porteurs de vie que cette initiative supprime.

 

C’est aussi l’aveu de l’ignorance et la marque de carences rédhibitoires au niveau de la lucidité. Certes, il y a eu des convertis illustres, le dernier en date, le cardinal Lustiger ou le grand rabbin de Rome à la Libération. Mais quand on apprend que ce dernier choisira pour nom de baptême Eugénio qui est le prénom de Pie XII, on soupçonnera les motifs de cette conversion. Quant au cardinal Lustiger, que vaut la conversion d’un gosse de 14 ans ? Dans les conditions qui furent les siennes, peuvent-elles servir de référence ?

 

Nous avons payé, nous payo