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Le Président américain en exercice  vient, en première intention, d’écrire une nouvelle page des relations entre les USA et la Corée du Nord. Cette page qu’alimente  l’intuition d’un authentique homme de l’histoire présente, dans ses attendus co-latéraux le bénéfice d’une  remise en place des divers observateurs qui n’ont pas hésité à faire  usage de calomnie, allant même jusqu’à prêter à Donald Trump des manifestations pathologiques de type psychiatrique. 

 
 
Le transfert de l’ambassade US de Tel Aviv à Jérusalem inaugure un style nouveau où le Président décide en dépit de l’opposition quasi mondiale, un transfert qui s’inscrivait plutôt dans le cadre d’une régularisation  que d’un déménagement.
 
 
La « Conférence de Singapour » confirme l’échec des précédents Présidents dont aucun n’a pu parvenir à reconnaître la Corée du Nord comme entité nationale, voir à amorcer l’approche d’un dialogue. 
 
 
Cette décision place le Président des Etats Unis dans le camp des détenteurs de cet atout prépondérant qu’est la capacité à distinguer les priorités. Dans cette perspective les reproches et critiques qu’on lui adresse restent  bien plus  confirmation d’originalité  qu’aveu de  manquement.  
 
 
Toutes ces péripéties renvoient à la reconnaissance d’une vertu devenue rarissime pour les hommes d’aujourd’hui, s’ils détiennent, de surcroît,  le pouvoir politique: le COURAGE !
 
 
 
 
 
 
 

 

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