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Monsieur,

Personne ne comprend pourquoi une « péripétie » est en train de devenir une « affaire. »

Dans votre édition 2405 du 2 courant, votre journaliste Saïd Mahrane me cite, répétant, dit –il les propos de Louis Aliot à mon égard, qui se « targuerait de m’avoir pour contributeur » dans son groupe de presse. (article Marine Le Pen fait la cour aux Juifs)

N’ayant jamais écrit un seul mot dans ce média et, estimant, l’information mensongère, voire davantage, je rédigeais à l’attention de votre rédaction  un « droit de réponse » que vous transformiez en « rectificatif »

Le contenu du  « droit de réponse » est, me semble t-il, l’exercice d’une liberté permettant exclusivement à la personne citée de donner sa version des faits.

Faudra t-il aller devant les juges pour que ce droit soit respecté, du moins, à mon égard ?   

J’espère, Monsieur, que vous mettrez de l’ordre dans votre maison et que votre difficulté à cet effet n’entraînera pas une inévitable publicité,  dont cette affaire aurait dû normalement se dispenser.

Votre silence persistant m’obligerait à charger mon Conseil, avocat à la Cour, d’entreprendre alors à votre égard toutes les poursuites prévues par la loi en pareille circonstance.

Ce serait affligeant mais peut être nécessaire.

Je vous prie de recevoir, Monsieur, mes salutations.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Arnold Lagémi

2 Réponses à “Lettre ouverte à Frantz Olivier Giesbert, directeur de l’hebdomadaire « Le Point »”

  1. yan dit :

    Shalom, décidément cet organe de presse cumule les mauvais points si je puis m’exprimer ainsi, samedi 11/12 un article relatant les investissements financiers de l’émir du Qatar dans les banlieues française pour un montant de 50 millions d’€uros, deux de mes commentaires dans lesquels je faisais part du fait que le magasin virgin mégastore de Doha vendait en promotion ce brulot antisémite qu’est « Mein kampf » ont simplement été « modérés », le « biker » a pris acte et décide de suspendre désormais sa modeste contribution à cet outil de dissimulation qui se prétend journal d’informations puisque toutes vérité ne serai pas bonne à révéler, le pseudo « biker » était le mien pour ce site qui m’avait permis de m’exprimer par écris pour défendre Israël face aux mensonges calomnieux qu’il subit depuis un certain temps. Je vous autorise a utiliser au besoin mes écritures pour faire valoir ce que de droit dans votre litige avec ce site. Cordialement.

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