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Quand on est pauvre, marginalisé, humilié, on opère d’abord un retour aux sources. Cette démarche est capitale. C’est un mouvement naturel de repli vers son milieu, vers les siens ! Or, ce retour vers les sources d’un nombre de plus en plus élevé de Musulmans d’origine maghrébine traduit globalement l’échec de la politique française d’intégration. Et les gouvernements successifs n’ont pas mesuré tous les dangers de cet échec

Ce retour ne présenterait moins difficultés de réalisation, si les dirigeants Français avaient su prévoir, analyser et comprendre que cette renaissance serait forcément radicale, et ne ferait aucune concession, parce que les retours sont pour la plupart ennemis du compromis.

Cet Islam que la France connaissait n’était pas celui que les nouvelles générations allaient puiser aux sources du fondamentalisme. Cet extrémisme imposait un radicalisme qui tranchait, parce qu’il établissait des comparaisons, imposait son refus aux concessions. Il s’affirmait sous le couvert d’un exclusivisme non modéré qui s’oppose à l’imprévoyance des dirigeants français. C’est là qu’il fallait le neutraliser !

Ces mêmes dirigeants, enfermés dans un processus opératoire à court terme n’ont pas vérifié la compatibilité de cet Islam radical avec les valeurs républicaines. Napoléon avant de confirmer l’admission des Juifs dans la société française a envisagé et réalisé cette recherche par la convocation de l’assemblée des notables et la réunion du Grand Sanhédrin.

Cet Islam extrémiste qui s’impose aujourd’hui, la France, aura bien des difficultés pour empêcher son expansion, car, « on a laissé faire » créant ainsi « des habitudes qui deviennent des droits » n’imaginant pas que la République serait sacrifiée aux valeurs coraniques radicales. C’est maintenant qu’on découvre que ce radicalisme est incompatible avec la République. Il est tard, très tard pour réagir !

« Gouverner, c’est prévoir ! » Et l’on n’a pas su. L’erreur est imputable à la France. C’est donc à elle d’affronter les conséquences de sa légèreté et de son incurie.

Une Réponse à “L’erreur française: croire que République et Charia ne seraient jamais en compétition !”

  1. Martine dit :

    Hélas vous avez raison mais vous oubliez une raison fondamentale qui à permis à la France de s’endormir sur ses lauriers ……..La prospérité …… Quand le bonheur personnel devient le seul but et l’horizon du sens de la vie ….. L’irresponsabilité égoïste déferle retranchant des sens le moyen d’être alerté….. La conscience du peuple est anesthésiait…….. c’est alors que Narcisse contemplant son image dans l’eau s’y noie….. MIROIR AU BEAU MIROIR !

    L’homme apprend à ses dépends ce qu’aucun autre homme ne peut apprendre à sa place … ainsi de génération en génération les mêmes erreurs se reproduisent à l’infini.
    Orgueil et vanité abusent à l’infini celui qui s’y adonne …… La France s’y est adonnée avec une certaine passion…… Maintenant assumons.

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