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Le débat sur la spécificité juive de l’Etat d’Israël remet en question, non le projet sioniste, mais les intentions réelles des Nations qui, par les termes mêmes du Plan de Partage de 1947, prévoyait un « Etat Juif »,  invalidant, par là même,  toute perspective, non spécifiquement juive et un Etat Arabe, où la référence palestinienne, est non seulement absente, mais ne s’intègre pas dans une vision historique, où elle serait, au moins évoquée!

La réception prochaine de l’Etat de Palestine à l’ONU, par les mêmes nations qui décidèrent du plan de partage de 1947, ne manque pas de soulever des difficultés aux allures de questionnement,  dont les réponses pourraient être de nature à ôter tout crédit et légitimité à l’organisation internationale. La perversion et la corruption aidant,  on les adresse à Israël, pour éviter de confirmer le parjure, si elles étaient intimées à ceux qui, exclusivement devraient en être les destinataires.
Qu’entendait-on,  par « Etat Juif », appellation inaugurée dans le plan de partage en 1947  prononcé  par l’ONU ? Pourquoi cette précision identitaire devrait-elle être confirmée par l’Etat d’Israël et non par les Etats parrains qui,  par cette  désignation conférait  l’officialité reconnue au nouvel Etat?
La mention « Arabe » en lieu et place de « Palestine », permet-elle de conclure à une naissance avant terme, à un oubli ou relève t elle d’une faute dont l’arrivée prochaine de la Palestine aura valeur d’expiation?

Le débat sur la spécificité juive de l’Etat d’Israël remet en question, non le projet sioniste, mais les intentions réelles des Nations qui, par les termes mêmes du Plan de Partage de 1947, prévoyait un « Etat Juif »,  invalidant, par là même,  toute perspective, non spécifiquement juive et un Etat Arabe, où la référence palestinienne, est non seulement absente, mais ne s’intègre pas dans une vision historique, où elle serait, au moins évoquée!


La réception prochaine de l’Etat de Palestine à l’ONU, par les mêmes nations qui décidèrent du plan de partage de 1947, ne manque pas de soulever des difficultés aux allures de questionnement,  dont les réponses pourraient être de nature à ôter tout crédit et légitimité à l’organisation internationale. La perversion et la corruption aidant,  on les adresse à Israël, pour éviter de confirmer le parjure, si elles étaient intimées à ceux qui, exclusivement devraient en être les destinataires.


Qu’entendait-on,  par « Etat Juif », appellation inaugurée dans le plan de partage en 1947  prononcé  par l’ONU ? Pourquoi cette précision identitaire devrait-elle être confirmée par l’Etat d’Israël et non par les Etats parrains qui,  par cette  désignation conférait  l’officialité reconnue au nouvel Etat?


La mention « Arabe » en lieu et place de « Palestine », permet-elle de conclure à une naissance avant terme, à un oubli ou relève t elle d’une faute dont l’arrivée prochaine de la Palestine aura valeur d’expiation?

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