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La question n’est pas de savoir si la pratique du spiritisme débouche sur une connaissance éventuelle mais de déterminer la nature des connaissances interdites. Tout se passe comme si cette pratique était proscrite moins pour l’objet qu’elle révèle  que pour l’accès à un domaine du savoir rigoureusement interdit.

 

D’ailleurs rien ne garantit que cette pratique déboucherait sur la preuve tangible que le spiritisme ou la médiumnité sont fondés. Reste à découvrir le domaine de connaissances notoirement proscrit.

 

Le spiritisme apparaît comme la porte de service ouverte sur l’au-delà, c’est-à-dire donnant sur une dimension où l’homme n’a rien à y faire ou rien à y gagner.

 

 L’histoire de l’homme est résolument terrestre se déroulant ici bas et c’est sur terre que l’homme doit faire la preuve de son aptitude à faire cohabiter le préalable  moral,  pas dans le ciel ! La Jérusalem messianique est d’essence humaine.

 

Dans ces conditions le spiritisme est interdit parce qu’il requiert  le concours d’une force distrayant l’homme de sa vocation. Le spiritisme est l’aveu d’une lassitude pour un messie qui tarde à se manifester

 

 

 

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