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Avec un titre pareil, je m’embarque sur le « vaisseau des périls » pour une destination singulière où le retour n’est pas garanti. De Chateaubriand à Anatole France, pour l’époque moderne, et, de quasiment tous les auteurs pour les autres, la femme juive est drapée de noblesse, de sensualité, et d’une finesse de ses traits,  à un point tel, qu’ils sont légion à  reconnaître,  qu’en elle,  convergeant, tout ce qui, tant chez les Grecs,  pour la plastique que chez les moralistes pour la « beauté de l’âme »  la femme juive est plus belle que les autres femmes.

Intelligence  pour l’homme qu’illustre la forte implication juive dans bien des domaines de la vie de l’esprit et  qu’une conception pédagogique singulière vient renforcer et développer, la beauté de la femme juive semble, à priori, une grâce pour laquelle, la gratuité manifeste semblerait indiquer que le mérite personnel ou la volonté, loin d’en être les  causes, sont les signes patents d’une préférence subjective  et d’un choix discrétionnaire et capricieux .


Il n’en est rien !   La femme juive n’ayant pas l’obligation « d’étudier » on ne peut, comme pour l’homme, considérer que les vagues de la méditation caresseraient la compagne du Juif, au point de la distinguer comme « princesse de nos songes. »

Alors, d’où vient cette « beauté » discrète et impérieuse en même temps, qui, à priori, justifie jalousie et envie, puisque l’assise de cette distinction n’est pas celle  du mérite.


Il semblerait que selon le deuxième principe de la thermo dynamique, au fur et à mesure qu’on s’éloigne du « feu primitif » ou de l’ « énergie première » le désordre ou l’entropie gagneraient la place laissée par le temps. Ainsi s’expliquerait la longévité exceptionnelle des personnages bibliques, qu’il ne faudrait pas voir comme une allégorie mais prendre au pied de la lettre. Où est le rapport avec la beauté juive ?

Si le Juif est performant du point de vue « cérébral » il le doit, comme nous l’avons vu,  à une pédagogie qui développe l’intelligence et, si la femme juive récupère ou récapitule les distinctions qui la placent en tête de la beauté, c’est, peut être, que les mitsvoths auxquelles elle est, seule, soumise, la rattachent à ce passé, qui, loin d’être un passif, lui font accorder une priorité telle aux critères de qualité du comportement, que ceux-ci l’empêchent de s’éloigner de cet « univers premier  » et d’être ainsi protégée de l’entropie, ou désordre, indissociable de l’évolution.


Ainsi, niant la dévastation de l’éloignement du « feu premier » la femme juive, grâce à la pratique de certaines  mitsvots, à elle seule applicable (Quand la Thora dit : « parle à la maison d’Israël, » il faut lire  « aux filles et femmes » d’Israël, serait immunisée des « ravages du temps » et conserverait cette beauté pour laquelle il est établi que ce qui est beau, se soustrayant au temps, n’a pas d’âge !                                                                                                        

La Thora, nouvelle gamme de produits cosmétiques ? Pourquoi pas ? le livre de Vérité ne pouvait éviter d’en évoquer la perspective !

15 Réponses à “Pourquoi la femme juive est-elle plus belle que les autres ?”

  1. Aviva dit :

    Bonjour Arnold,
    Décidément, vous cherchez les problèmes ! Ma mère disait « quand on n’a pas de soucis, on s’en crée ». Elle me disait aussi « ma fille, la beauté ne se mange pas en salade… ce qui compte c’est la tête et le coeur … étudie et surtout, rends-toi indépendante » ! Je n’ai jamais demandé d’explication de texte…
    Je suis satisfaite Arnold que vous mettiez l’accent sur les seules vraies beautés qui ont un sens dans votre approche, celles qui demandent un travail sur soi, un investissement de sa personne ; celles qui sont intérieures et dont l’éclat se retrouve entier dans le regard ; celles qui s’enrichissent avec l’âge.
    Celle dont ma mère, femme avisée, me disait qu’elle ne se mangeait pas en salade… (j’en souris encore) est sans doute un don du ciel qu’il serait bien ridicule de ne pas apprécier -l’appréciation étant là très aléatoire-mais qui peut s’avérer être une entrave sans les « qualités » qui permettent de la « mettre en valeur ».
    Alors, les qualités ajoutées au don sont-ils l’apanage de la seule femme juive ? Ou bien les possèdent-elle plus généralement ? Sincèrement, je ne m’aventurerai pas sur ce terrain autrement exploré par les romantiques et les orientalistes et aussi, vous le savez, par les antisémites avoués ou camouflés.
    J’avoue n’avoir jamais eu à l’esprit que la femme juive se représentait elle-même comme une femme idéalement belle « dedans/dehors ». Pour les quelques lectures que j’ai pu faire ou tableaux que j’ai pu admirer je penche plutôt pour une représentation, un fantasme masculin prioritairement non juif.
    Je serai bien curieuse de savoir ce que d’autres femmes en pensent.
    Bonne fin de shabat à toutes et tous.
    Aviva

  2. elyane dit :

    POURQUOI LA FEMME JUIVE…
    Mais tout simplement parce qu’elle est juive, et que cela suffit à la rendre lumineuse et tellement belle!
    Arnold va encore dire que j’ai toutes les audaces…
    La femme juive est belle de l’intérieur comme de l’extérieur, elle irradie, elle est unique!!!regardons nos mères, nos grands mères, nos soeurs et nos amies…c’est leurs flammes intérieures qui les rend si belles et si convoitées!
    LE HAIM ARNOLD, et bravo!

    • Je dirais même que vous avez l’audace vivace et tenace! C’est tellement vrai qu’on débouche sur l’effet pervers. On les cache, on les planque!!!! Et parfois on les « parque! »
      Le jour où toutes ces aristo découvriront qu’être juive n’était pas forcément en proportion avec la longueur de la perruque, ça fera du bruit. Quand elles exigeront d’entendre la prière et non les cris de gamins, etc…etc…
      En attendant, n’initions pas trop à la révolte, j’en connais deux qui pourraient prendre le train en marche…
      Elles auraient raison! De prendre le train! Pas en marche !!!! C’est l’Armistice, l’anniversaire de la Victoire, on peut rire, non? Surtout, en ce moment, on célèbre pas la victoire tous les jours.
      Lé Haïm Elyane

  3. Aviva dit :

    Méfiez-vous Elyane… Arnold est un vrai de vrai chenapan (un mazik… cf les Joies du Yiddish) et il s’amuse souvent à nos dépens. Je suis très 1er degré… et tombe donc dans le panneau avant de me reprendre… quand je peux !
    Là, je reste sur mes positions. Pas question d’entrer dans son jeu et de tenter des calculs savants ou de savants… (mon seul oncle maternel survivant voulait nous persuader, enfants, que « la savonnette est la femme du savant »…) pour démontrer que le nombre de femmes juives, belles et intelligentes évidemment, rapporté au nombre total de femmes juives est impressionnant par rapport… etc… etc… ; comme pour les prix Nobel !
    Tout compte fait, en y réfléchissant, ce que je trouve plutôt surprenant, c’est que ce qui est somme toute normal – femmes juives belles et intelligentes- passe pour extraordinaire alors que ce devrait être la règle sous toutes les latitudes religieuses, animistes, philosophiques ou laïques.
    Et, comme le dévoile Arnold dans la réponse qu’il vous fait, il y aurait de par le monde sans aucun doute beaucoup, beaucoup plus de femmes belles et intelligentes visibles si elles refusaient de se laisser enfermer par les machos qui en ont peur.
    Ma famille étant très restreinte, fatalement peu de femmes « adultes » la composait ; je n’ai jamais entendu les 4 connues, dont ma mère, émettre l’idée qu’elles étaient belles et intelligentes ; j’ai toujours trouvé normal, tout simplement normal qu’elles soient avisées, réfléchies, pétries de bon sens et de bons conseils, bonnes épouses et mères et faisant en sorte de pouvoir attendre de leurs enfants qu’ils soient des « mènshèn », pas des superstars. Ma mère ne m’appelait quasiment jamais par mon prénom « état civil », mais par « Nah’è » et elle me disait que c’était le seul vrai qu’elle m’avait donné à la naissance… Symptomatique et je n’ai compris que tard.
    Et moi, ce n’est pas à la Thora que j’attribuais le teint de lait de ma mère ou de ma grand-mère paternelle par exemple, non pas du tout, c’était au fait qu’elles ne s’étaient jamais maquillées et n’utilisaient pour protéger leur visage que de la « Nivéa » ! Et je le pense encore Elyane ! Ne serait-ce que parce qu’elles n’avaient pas eu l’occasion d’étudier ; pas plus la Thora qu’autre chose sinon la vie ; mais… peut-être que la Thora est dans les gènes de la vie juive, transmise par la mère puis par l’exemple de l’entourage, ce que j’ai toujours appelé « l’éducation silencieuse ».
    Et Annie, que pense-t-elle de cette « sortie » d’Arnold ? Et les jeunes femmes et filles autour de lui ?
    Et oui, l’on a fêté la Libération… le jour où nous pourrons fêter la libération de la femme, de toutes le femmes… celui-là sera Grand. Mais c’est à elles seules de le vouloir et de le gagner ; elles ne peuvent compter que sur elles et en Occident, au Japon, en Israël… elles l’ont en général bien compris et se sont bien battues.
    Bon, tout cela est un peu dans le désordre ; merci de m’en pardonner.
    Et bien, bonne semaine à chacune et chacun.
    Shalom. Aviva

    • Aviva a raison! Elle vit la méfiance avec panache mais elle ne s’en écarte pas!!!
      Et ainsi on met au placard, la thèse que j’essaie de défendre et qui pourrait expliquer, je rectifie, non pas que les femmes juives sont belles mais qu’elles restent les plus belles. La raison pourrait être que la pratique des mitsvots nierait l’entropie.
      C’était là ma thèse, quand bien même Aviva a raison sur mes qualités et attributs de Chenapan. je préfère Mazik, ça fait exotique !!!!

  4. Aviva dit :

    Mais Arnold, pour que votre thèse soit recevable, si belle qu’elle paraisse, encore faudrait-il que les femmes juives dans leur majorité pratiquent effectivement les mitsvot (est-ce que le « s » ne serait pas ici superfétatoire ?) au sens de la Torah et déjà qu’elles les connaissent dans le texte ! Je veux bien admettre que ce fut une réalité dans des temps plus ou moins reculés mais de nos jours… et même un peu avant… le croyez-vous vraiment ? Et c’est bien, sauf erreur, ce que j’ai en tous les cas pensé dire en me référant aux femmes que j’ai pu connaître ou que je connais. J’admets alors n’avoir fréquenté et encore aujourd’hui que des mécréantes mais étant donné leurs qualités et leur charme… je suis bien contente et je les embrasse très très fort !
    Et nos rabbins auront beau triturer les textes dans tous les sens, les mettre au goût du jour à leur manière, peu importe ! Ils ne savent jamais comment réellement se dépétrer du partage des tâches. Certes beaucoup d’entre elles -et ce n’est rien de le dire- travaillent « à l’extérieur » mais leur rôle principal est « à l’intérieur » et elles seules, mama mia quel compliment , elles seules sont capables de s’occuper des enfants, des tâches ménagères, nobles évidemment nobles puisque ce sont les hommes qui le disent ! Mais si tellement nobles qu’ils risqueraient, eux, de les salir en en prenant une part. Seules les femmes en sont dignes ! Et elles sont, aujourd’hui qu’en plus elles travaillent à l’extérieur, devenues encore plus méritantes que méritantes… à la condition bien sûr qu’elles remplissent leur rôle principal assigné une fois pour toutes. De quoi se plaindraient-elles d’ailleurs, puisqu’elles « bénéficient sans en avoir conscience » (évidemment les sottes !) des mitsvot accomplies par les hommes, et même par leur moitié future dont elles n’ont encore une fois pas même conscience qu’il existe quelque part !
    Et quand vous posez la question Arnold de « la pratique des mitsvot qui nierait l’entropie », faut-il comprendre sachant encore une fois que toutes et de loin ne sont pas « pratiquantes au sens de la Thora », que les malheureuses qui justement ne pratiquent pas (etc…) sont, elles, « dans un état de désordre » tel qu’il en résulterait qu’elles sont ou restent moins belles !
    Ouf, c’est parti d’un seul coup et ça va mieux à présent.
    Au fait chenapan, en dehors de l’exotisme, savez-vous ce que signifie « mazik » autrement qu’en hébreux ?
    A bientôt sur cette antenne !
    Aviva

    • Boker tov Aviva,
      Beaucoup trop d’individualisme dans votre position qui entraîne un dualisme tranché. Le monde de l’observance peut influencer votre comportement au delà de votre appréciation. Il y a des familles où l’imprégnation de Thora est-elle, qu’on pourrait croire la famille observante, ce qui n’est pas le cas.
      Il y a des familles où « des choses » se transmettent au delà du conscient. Et « ces choses » existent, tout en nous échappant. La génétique n’est pas que biologique, elle est aussi psychique et ses lois nous échappent.
      Nous disons « chez nous » que la table familiale, c’est l’autel des sacrifices. Nul doute que la table juive véhicule des Valeurs autres que celles communément admises. .. C’est souvent la dernière digue avant l’oubli de son histoire.
      Et, il y a des femmes qui sont plus réceptives que d’autres. A telle enseigne, qu’il y a quelques années, nous avions, à l’école, une femme de service qui, par deux de ses attitudes me fit penser que son origine n’était pas « seulement » portugaise. En passant une porte, elle caressait l’encadrement de celle ci et portait sa main à la bouche. Et, deuxième attitude singulière, m’informa qu’en Avril, elle s’absenterait. A ma question visant la cause de l’absence, elle répondit, ces paroles étranges mais lumineuses:  » je ne sais pas, mais dans ma famille, en Avril, on fait un grand nettoyage et on cesse de travailler quand les Juifs font leurs Pâques.
      Donc, il ne s’agit pas (comme pour les hommes d’ailleurs » d’établir un lien direct et immédiat entre la pratique et ses effets. Ce serait, pour le moins naïf. La gestuelle d’un enfant ne naît pas par génération spontanée. Et cen dans des domaines aussi singuliers que le goût. Il y a des familles à prédominance salée. Le goût est une valeur éducatives certes mais aussi patrimoniale!
      Des familles qui « fréquentèrent » la Thora, plusieurs générations en arrière ne s’éloignent pas de l’influence quand ils le décident… C’est de celà dont je voulais parler. Que de fois, dans le courant du quotidien, on se surprend à avoir eu, une intonation de voix ou une mimique qui nous a plongés sans préavis dans une promiscuité familiale où les grand parents dispensaient L’EXEMPLE, sans être, eux mêmes, bien conscients qu’ils transmettaient une manière d’être qui leur venait de bien loin.
      Il y a des générations qui économisent afin de permettre aux suivantes de dépenser. Idem pour les effets bénéfiques de l’observance qui, thèse très personnelle, permettent aux hommes un développement des facultés cérébrales et, aux femmes, d’éviter de s’éloigner du « feu premier », l’entropie, et, ainsi, de pouvoir être protégées, plus que les autres des offenses du…temps.
      Il m’a été agréable de prendre en votre compagnie, ce premier petit café bien matinal.
      Excellentissime journée que nous placerons, si vous en convenez, sous les auspices des générations passées à qui nous devons tant sans savoir que ce « tant » laisse, finalement peu de marge aux initiatives, celles ci étant abusivement créditées d’une bien illusoire liberté!

  5. Hanna dit :

    Excellent!
    Cet article doit être lu au minimum tous les matins et relu chaque fois que cela et nécessaire dans la journée sans risque d’overdose

    • Merci pour ce compliment qui, bien qu’excessif me touche particulièrement. Ne craignez vous pas, cependant, que lu trop souvent, il pourrait « monter » à la tête de « quelque belle fille » chez nous?

      • Hanna dit :

        Si nos jewish princess se mettent a l’étude de la Thora en se disant que c’est un excellent cosmétique, que demander de plus?
        J’écrivais, en fait, au nom des grand mères qui espèrent que le reflet qu’elles voient dans le miroir chaque matin est celui de quelqu’un d’autre mais savent d’accepter la réalité avec humour. On raconte que lorsque Golda devait rencontrer une personnalité étrangère, sa femme de ménage lui répétait:  » Golda ,tu es aussi belle que la reine Esther! »

        • Ce qu’elles voyaient dans le miroir, ne pouvait être que la « Princesse de nos songes » Désolé de vous contredire encore, mais elles ne pouvaient accepter la réalité, puisque, par définition, une grand mère ne peut vivre que dans le monde des grand mères. Et, il est très rare que les adultes aient le code, seuls quelques petits enfants …
          Je crois que Golda était bien plus belle qu’Esther (you tube Barbara Streisand Chante la Hatikva pour Golda)

  6. Aviva dit :

    Bonjour Arnold et merci d’avoir « si bien » éclairé mes propres mots pour énoncer une pensée identique, du moins en ce qui concerne la « génétique » et notre dû aux anciens.
    Je rappellerai tout de même que votre réflexion première est, sauf erreur, placée « uniquement » sous la « protection de la Thora et de son observance » sans qu’il soit question d’un temps passé mais d’un temps toujours présent.
    La « fréquentation » de la Thora laisse à l’évidences des traces, celle des Jés. aussi.
    Pour l’heure, concentrons-nous sur Israël et Tsahal.
    Ne cessez pas d’écrire Arnold, nous avons besoin de vous et de vous lire.
    Shalom. Aviva

    • Bonjour Aviva,
      Bien qu’il y ait sujet plus grave et plus approprié, je n’ai pas souvenir d’avoir évoqué des particularités génétiques consécutives à l’observance. J’ai, par contre, toujours insisté sur les données pédagogiques et l’exemplarité. Mais puisque vous le dites…Sans faire des recherches fastidieuses et qui vous prendraient du temps, si vous pouviez me « rafraîchir » la mémoire, ce serait sympa!
      Ici, nous vivons le non sens, l’absurde, des centaines de missiles pleuvent sur les civils, et Tsahal s’oblige à des réactions mesurées, comme si on voulait donner une définition autre à l’horreur qu’est la guerre.
      Je viens d’entendre qu’on nous promet une prochaine attaque sur …Jérusalem et Haïfa! Pourquoi le diable nous a t-il choisis?
      On vous embrasse Aviva et Chabat Chalom.

  7. Sandrine dit :

    La beauté est quelque chose de subjectif , lá aussi qu´est-ce que le
    Judaisme vient faire au milieu ?
    De plus, aux yeux de l´homme actuel , une femme est belle si et seulement si elle est squelettique , peu importe qu´elle soit Juive ou pas .
    Des statisques montrent que plus le corps d´une femme est maigre et plus elle aiguisera le désir et l´intérêt de l´homme .

    • Pour soutenir que, « pour l’homme d’aujourd’hui » la femme n’est belle que si elle est squelettique semble indiquer que vous accordez beaucoup d’importance à l’avis des employés des pompes funèbres, spécialistes de surcroît dans les exhumations !!!
      Ma réflexion portait, je vous le rappelle sur le 2ème principe de la thermo dynamique !
      Quant à la beauté de la femme juive, promenez-vous sur la toile. Vous y verrez la place qu’elle occupe dans la littérature.
      Vous écrivez « des statistiques montrent que plus le corps d’une femme, etc… » Quelles statistiques ? Origine ? Provenance ? Auteur ? Vos propos sont fantaisistes.

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