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Si la démocratie est la référence politique pour tous les pays attachés au respect des libertés, il n’en va pas de même pour ceux qui accordent de la considération à la royauté. Surtout si celle-ci affirme son allégeance aux principes sur lesquels se fonde le droit biblique.  Ainsi  la couronne britannique ! C’est ainsi que la royauté aurait préséance sur la démocratie, comme elle demeure la référence pour la société hébraïque !


Cette hiérarchisation des systèmes politiques plaçant la royauté en tête,  prendra en compte certaines singularités  de la relation qu’a établi la couronne britannique avec sa colonie d’outre-mer, la Palestine ! On notera d’abord que, de tous les actes conduisant à la reconnaissance de l’Etat d’Israël, la signature du souverain ou de la souveraine est absente. La référence au trône apparaîtra cependant, mais de façon indirecte,  dans la Déclaration Balfour où il est mentionné par le ministre « Britich, » « (Brit Ich) « L’homme de l’Alliance » Que « Le gouvernement de sa Gracieuse Majesté envisage favorablement l’installation d’un foyer Juif en Palestine » Et c’est tout !


Quand bien même, la Grande Bretagne n’exerçait pas, pour elle-même, son pouvoir en Palestine, mais en fonction d’un mandat de la SDN (Société des Nations) Il n’en reste pas moins évident, que, tant les lois qui s’y exerçaient, que les emblèmes qui l’environnaient, ( le drapeau notamment affirmaient sans nuance la référence au trône. Dans ces conditions  on peut s’étonner qu’aucun « acte officiel » signé du souverain ou de celui, par lui mandaté, n’ait mis fin à l’occupation anglaise, par la « procédure officielle. »


La signature d’un ministre, s’appuiera sur un pouvoir, celui de la démocratie qui n’a pas sa place dans la conception anglaise de l’identité politique exerçant le pouvoir. Et si l’on essaie de s’appuyer sur le chimérique pouvoir de la monarchie parlementaire, on se rendra vite à l’évidence : en dépit des apparences, le Roi ou la Reine de Grande Bretagne ne détiennent, certes pas le pouvoir direct, mais disposent de par une multitudes d’interférences voulues par les représentants du peuple, de la possibilité de « bloquer » une loi adoptée par le Parlement ou d’empêcher le Chef de la Majorité d’accéder à la fonction de Premier Ministre. Notons enfin que le souverain en titre est « pape » de l’Eglise anglicane et que l’Archevêque de Canterburry détient son pouvoir par grâce royale !


Par ailleurs, on trouvera, peut être étrange que pas un seul membre de la famille royale n’ait accompli de voyage officiel en Israël. Alors qu’est-ce à dire, quand on ne peut négliger de prendre en considération que la circoncision à huit jours pratiquée par un mohel est chose habituelle chez les Windsor que personne n’a encore osé définir la pratique de… « sévices ! ».



Mais quand on saura que l’épouse du Prince Williams, futur Prince de Galle et donc héritier de la couronne,  est d’ascendance juive, on devra se rendre à l’évidence : le futur souverain de Grande Bretagne sera Juif !


Quant à la Palestine, il suffirait que la souveraine  apposât sa signature pour en finir définitivement avec la Palestine. Mais il semble que d’étranges réticences empêchent la Reine de se séparer officiellement de ses Juifs. Certains disent que la Grande Bretagne bénéficie d’une Protection qui permit, que jamais elle ne fut envahie. On a en mémoire, la « grande Armada » de Philippe II   qui, en 1588, à quelques miles de le côte anglaise vit se lever une tempête soudaine qui l’engloutit. Le roi  d’Espagne avait pour projet d’y renforcer le processus de conversions forcées !


C’était Sir Moses Montéfiore, cet illustre aristocrate et ex Maire de Londres,  reconstructeur de la Jérusalem moderne  (Michkénot Raananim par exemple, (qui ne se déplaçait nulle part si son choète ‘abatteur rituel ne l’accompagnait pas,  qui avait l’habitude de dire : « Il y a quelque chose de « cacher » dans la monarchie britannique !

Une Réponse à “Selon la vision biblique, la couronne britannique serait-elle toujours en charge de la…Palestine ?”

  1. Parole dit :

    Merci pour ces infos historiques que je méconnaissais !

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