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Nietzche est mort en 1900. Pas une fois, il n’est cité dans Meïn Kampf. Pourtant, en 1933, à l’arrivée d’Hitler au pouvoir, l’auteur de « La volonté de puissance » était la seule référence d’envergure du national socialisme,  désigné comme la « seule pensée » digne des Aryens.  A priori l’admiration, la fascination de Nietzche sur les nazis était  du même ordre que celle du maître, voire du gourou.


Les nazis pouvaient-ils ignorer la définition du Juif  selon Nietzche  qui,  était tantôt « un produit en décomposition et très souvent, la référence humaine par excellence. » On se contentera aujourd’hui d’établir, comme règle définitive que Nietzche, s’exprimait, non selon la cohérence d’une pensée mais en fonction « d’états d’âme » qui, à l’égard des Juifs traduisaient une promiscuité dont il lui arrivait d’être fier  sans nuance.


La contradiction n’est qu’apparente. Pour avoir lu, relu,  et analysé le père du « Gai savoir » donné souvent en thème lors de sanctions scolaires ou  disciplinaires dont j’étais consommateur aditif, j’oserai développer une idée non seulement novatrice mais également compatible avec ce génie trompeur qui sut s’accommoder de l’hérésie et de la dégradation ambiante, sans s’y compromettre par des adhésions de convention.  (Les pères Jésuites qui orchestraient une telle réflexion se doutaient-ils du schisme prévisible, tout proche à qui ils faisaient un coup d’œil ? Je crois que oui ! Les Jès furent grands, très grands à côté des guignols de salon d’aujourd’hui.


La thèse que je défends ne confirme pas la contradiction  Nietzschéenne. Bien au contraire, elle la fustige, la neutralise comme des reste de civilisation qui « ont tourné ! » Si Israël reste à la hauteur de sa mission, il est : voir les listes des qualités juives qui élèvent ceux qui les vivent. Par contre, si les Juifs laissent le feu pour ce qui peut réchauffer sans être la vraie nature de ce qui le procure, ils deviennent salariés, contributeurs de cette notable déchéance dont Nietzche précise le détail. C’est cette seconde identité que conservèrent les nazis !

Arnold Lagémi



Extrait du gai savoir : «  Tout ce qui a été entrepris sur Terre contre les « nobles », les « puissants », les « maîtres », les « détenteurs du pouvoir » n’est rien en comparaison de ce que les Juifs ont fait contre eux : les Juifs, ce peuple sacerdotal qui ne put en définitive avoir raison de ses ennemis et de ses vainqueurs que par une radicale invalidation de leurs valeurs, donc par un acte d’une vengeance la plus spirituelle. » ‘(Généalogie de la morale)



« Ce sont les Juifs qui, avec une effrayante logique, osèrent retourner l’équation des valeurs aristocratiques. »


Humain, trop humain, VIII, § 475 : L’homme européen et la disparition des nations : tout le problème des Juifs ne se présente qu’à l’intérieur des États nationaux, car c’est là que leur énergie et leur intelligence supérieures, ce capital d’esprit et de volonté longuement amassé de génération en génération, doivent en venir à un niveau de prépondérance qui provoque l’envie et la haine, de telle sorte que se répandent, dans presque toutes les nations actuelles – et d’autant plus qu’elles deviennent plus nationales – […] ces écrits grossiers qui entendent conduire les Juifs à l’abattoir, en bouc émissaire de toutes les difficultés dans les affaires publiques et intérieures.[…]



Toute nation, tout être humain a des traits déplaisants, voire dangereux ; il est barbare d’exiger que le Juif fasse exception. Il se peut même que ces traits soient chez lui tout particulièrement dangereux et repoussants, et le jeune boursicotier juif est peut-être en somme la plus répugnante trouvaille du genre humain. Néanmoins, j’aimerais bien savoir jusqu’où, lors d’une explication générale, il ne faudra pas pousser l’indulgence envers un peuple qui, de tous, a eu l’histoire la plus douloureuse, non sans notre faute à tous […]


Ce furent les Juifs, libres penseurs, savants, médecins, qui, malgré la pire violence faite à leur personne, continuèrent à tenir l’étendard des Lumières et de l’indépendance d’esprit […] grâce à eux, il n’y a pas eu de rupture dans l’anneau de culture qui nous relie maintenant aux Lumières de l’Antiquité gréco-romaine.


U II 5b, été 1876 : [20] : Que les Juifs soient le pire peuple de la Terre s’accorde bien au fait que c’est justement parmi les Juifs qu’est née la doctrine chrétienne de la peccabilité et abjection totale de l’Homme – et qu’ils l’ont ensuite rejetée. [Cf Voltaire : « C’est à regret que je parle des Juifs: cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la Terre » (Questions sur l’Encyclopédie, article « Tolérance »,


N V 4, automne 1880 : [71] : réveil des bassesses de la persécution antijuive – voyez l’entraînement général à la haine.

[214] : La lutte contre les Juifs a toujours été la marque d’une nature basse, envieuse et lâche ; mentalité passablement populacière.


Le Gai savoir, (1882), III, § 136 : Le peuple élu : Les Juifs qui se sentent le peuple élu parmi les peuples, notamment parce qu’ils représentent le génie moral parmi les peuples (grâce à la capacité qu’ils ont eu de mépriser l’être humain plus profondément que ne le fit jamais aucun peuple) – les Juifs éprouvent, au contact de leur saint et divin monarque, une jouissance semblable à celle de la noblesse française au contact de Louis XIV.

Suite d’extraits du Gai Savoir: Lire pour appréhender le thème novateur en fin d’exposé.

III, § 140 : Trop juif. – Si Dieu voulait devenir un objet de l’amour, il aurait dû se départir d’abord du rôle de juge et de la justice : – un juge et même un juge clément n’est pas objet de l’amour. Le fondateur du christianisme n’avait pas de sens assez subtil pour cela, – en tant que Juif.

V, § 348 : S’il est une chose à laquelle un Juif soit le moins habitué, c’est qu’on le croie- il n’est que de considérer sous ce rapport les savants juifs – eux tous misent extraordinairement sur la logique […] ils savent qu’ils vaincront par la logique, même là ou la répugnance raciale et sociale fait qu’on ne les croit pas volontiers. De fait, rien n’est plus démocratique que la logique : elle ne connaît pas de considération de personne et tient aussi les nez crochus pour des nez droits. […] Partout où les Juifs sont parvenus à l’influence, ils ont enseigné à distinguer avec plus de subtilité, à conclure avec plus de rigueur, à écrire plus clairement et plus nettement : leur rôle fut toujours d’amener un peuple « à la raison ».


VIII, § 251 : Je n’ai pas encore rencontré un seul Allemand favorable aux Juifs ; si radicalement que les esprits prudents et les têtes politiques condamnent l’antisémitisme proprement dit, cette prudence et cette politique ne répudient pas cette sorte de sentiment, mais seulement sa dangereuse démesure […] Pas un Juif de plus ! […] tel est le vœu instinctif d’une nation dont le type ethnique est encore faible et indécis et qui craint qu’une race plus forte ne vienne l’effacer ou l’éteindre.


Or les Juifs constituent sans aucun doute la race la plus forte, la plus résistante et la plus pure qui existe actuellement en Europe […] Un penseur qui prend à cœur l’avenir de l’Europe devra tenir compte dans ses plans aussi bien de Juifs que des Russes, qui désormais sont probablement les deux facteurs les plus certains des grands jeu et combat des forces. […] Ils brûlent de se fixer enfin quelque part, d’y être acceptés et considérés, de mettre un terme à leur nomadisme de « Juifs errants ».                                                            

On ferait bien de prendre conscience et de tenir compte d’une telle aspiration […] il serait peut-être utile et juste d’expulser du pays les braillards antisémites. Avec précaution, en opérant un choix, un peu comme procède la noblesse anglaise.[…] ce qui me tient à coeur, le « problème européen » tel que je l’entends, la sélection d’une caste nouvelle appelée à dominer  Europe.


I, § 16 : Rome sentait dans le Juif quelque chose comme la contre-nature elle-même.


À Rome on considérait le Juif comme « convaincu de haine contre tout le genre humain » : à bon droit, dans la mesure où on a le droit de lier le salut et l’avenir du genre humain à la suprématie absolue des valeurs aristocratiques, des valeurs romaines.


Les Juifs étaient au contraire [des Romains] ce peuple sacerdotal du ressentiment par excellence, doué d’un génie sans pareil pour la morale populaire.


La Judée triomphe une fois de plus de l’idéal classique avec la Révolution française.

Les Juifs sont le peuple le plus fatal de l’humanité : à travers les séquelles de leur influence,  un chrétien peut éprouver des sentiments antijuifs sans comprendre qu’il n’est que l’ultime conséquence du judaïsme.


Le peuple juif est un peuple d’une force vitale prodigieusement résistante, qui, placé dans des conditions impossibles, volontairement et par une profonde habileté à survivre, prend le parti des instincts de décadence – non parce qu’il est dominé par ces instincts, mais parce qu’il a deviné en eux une puissance grâce à laquelle on peut s’imposer contre « le monde ».


§ 25 : L’histoire d’Israël est inestimable en tant qu’histoire de la dénaturation des valeurs naturelles.

§ 26 : L’idée de D. ieu faussée ; l’idée morale faussée – le clergé juif ne s’en tint pas là […] avec un mépris sans bornes pour toute tradition, pour toute réalité historique, ils ont réinterprété dans un sens religieux tout leur propre passé national, c’est-à-dire qu’ils en on fait une stupide mécanique de salut.


§ 44 : Dans le christianisme, conçu comme l’art de mentir pieusement, c’est tout le judaïsme, toute une préparation rigoureuse, toute une pratique juive plusieurs fois séculaire, qui atteint à l’ultime maîtrise. Le chrétien, cette ultima ratio du mensonge, c’est encore une fois le Juif, encore trois fois le Juif.



§ 47 : Nommer « Dieu » sa propre volonté, thora, voilà qui est typiquement juif.


[221] : Lorsque le Christianisme sera détruit, alors seulement on sera plus équitable envers les Juifs

[462] : L’Européen comme une super-race. De même le Juif : c’est finalement une espèce dominatrice, bien que très différente des simples anciennes races dominantes qui n’avaient pas modifié leur environnement. ( Claude Courouve, « la connaissance humaine et ses ennemis)


Maintenant que le choix laisse la place à une troisième voie, la plus authentique, me semble t-il, survolez les citations de Nietzche.

Moins contradictoires, non ? :

« Si  né d’Israël, tu abandonnes Israël, voilà ce que tu deviendras……… »Lucide, visionnaire,  probablement prophétique mais nullement antinomique !

Nietzche reçu en libérateur de la pensée par les nazis,  parce que :

Nietzche a éliminé les ennemis du National socialisme ! Christianisme (toutes chapelles confondues, libéralisme, marxisme, etc…)

Nietzche a été censuré par sa sœur et la propagande officielle qui ne voulurent pas connaître  celui qui fut « terrassé par la grandeur juive. »

Le nazisme a reconnu Israël par sa subordination à  la pensée de celui qui définissant Juifs et Israël,  redisait des paroles juives ! » »

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