Flux pour
Articles
Commentaires

 

 

Après avoir condamné la spécificité juive de l’Etat d’Israël, il semble que les censeurs Européens précisent les éléments  du rituel choisi pour leur prochaine intervention : La circoncision !

 

 Il nous faut donc examiner  l’aspects du rite suspecté de « barbarie » Déterminer ce qu’il signifie pour les Juifs qui le pratiquent. Et subodorer, par ailleurs, de quel domaine relèveraient  l’appréhension dont il est l’objet, voire l’inhibition.

 

Faire semblant de n’y distinguer que la « mutilation apparente » afin de positionner la désignation infamante de « barbare » permettrait d’éviter de se référer aux motifs millénaires de la Tradition biblique, mère de bien des progrès. Tout comme  la messe catholique,  pourrait être objet d’une pareille suspicion, si l’appréciation se limitant  à la consubstantiation, on en concluait  que la messe serait témoignage de cannibalisme.

 

Quelques ébauches d’approche qui attesteront que l’éventuelle mesure Européenne, si elle se concrétisait,  risquerait bien plus de pâtir du ridicule que de revêtir la couronne de l’humanisme. Je me limiterai pour ce flash à deux raisons majeures.

 

Les Juifs pratiquent la circoncision à huit jours. Le monde fut édifié en sept jours. La circoncision témoigne  que les Juifs ne se reconnaissent pas dépendants d’un déterminisme astro-biologique. Le huitième jour étant porteur d’une symbolique extra temporelle. Seule la force majeure pourrait autoriser la pratique après huit jours.

 

Au niveau du sexe siège bon nombre de déviances. La loi morale ne pouvait éviter de solenniser l’entrée de l’enfant dans la communauté humaine sans marquer dans sa chair « un signe » lui rappelant que là, surtout là, la morale avait sa place !

Les tentatives visant à justifier l’interdiction probable relèvent d’un des fondements de l’antisémitisme : la Jalousie.

 

 

 

 

 

Laisser un commentaire