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La jeunesse d’Israël n’échappe pas à « ce fléau venu d’ailleurs ». Du Hachisch et plus, il est, désormais fréquent que les jeunes passent à l’alcool. Bière et Vodka semblent actuellement,  recueillir leurs suffrages, vu leur consommation, en augmentation constante,   au cours de soirées, fêtes, réunions, etc…

Il ne sert à rien d’ergoter sur les causes de ce mal endémique, stress, mimétisme de l’étranger, rite initiateur et invitatoire, désir de faire comme les autres, etc… La liste serait longue et ne servirait pas à grand-chose. L’Europe et les USA sont obligés, pour combattre le mal de faire appel aux médecins, aux psychologues, bref, la médicalisation est incontournable et entraîne la marginalisation des individus concernés

Sauf cas pathologiques rares et singuliers, Israël dispose d’une arme redoutable qui, plutôt d’exciter la jalousie des pays concernés,  devrait au contraire inspirer à leurs dirigeants une thérapie naturelle, éducative et efficace : un service militaire de durée assez longue pour permettre à ces jeunes atteints par la recherche des paradis artificiels de rompre avec les habitudes. Car, c’est bien là l’essentiel !

Si le contexte social et familial qui a entraîné la déviance est maintenu, les thérapies les plus avant gardistes n’y pourront rien. Les pédo-psychiatres renommés d’Europe ou d’Amérique ont tous leurs cliniques. C’est-à-dire qu’ils disposent d’une micro société substitutive de la normale pour tenter de combattre le mal.

C’est précisément là qu’intervient le service militaire obligatoire, tel qu’il est pratiqué en Israël, probablement trop long puisque,  d’une durée de trois ans et dont le principe a, malheureusement été abandonné par la plupart des pays du monde libre. Quand bien même, la présence « sous les drapeaux » durant 36 mois d’un jeune homme ou d’une jeune fille,  pose de sérieux problèmes pour la poursuite d’études ou la volonté de fonder une famille, ce creuset où se retrouvent toutes les couches de la société est de nature,  à « distraire » c’est-à-dire,  détourner les jeunes vers d’autres horizons que ceux qui ont généré les problèmes dénoncés. Aucune famille, aucune structure éducative n’est en mesure de se substituer aux moyens dont dispose une armée pour intégrer ses jeunes.

Cette extraction de la société matricielle et problématique est la seule thérapie viable car ne médicalisant pas le(ou les) individus concernés, elle n’engendre pas le sentiment de marginalisation qui facilite la récidive. C’est l’habitude qui fait le toxicomane,  c’est l’habitude qui l’en sortira. Au-delà de la drogue, le service militaire obligatoire est un facteur d’intégration nationale éprouvé. Sa remise en pratique en France,  contribuerait, à coup sûr, à combattre efficacement tous les fanatismes et fondamentalismes, bien plus que toutes les réformes du…Code Pénal !

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