Arnold Lagémi

Incidence notable sur les douleurs, l’insomnie, la rigidité !
Parkinson atténué de façon spectaculaire !
Sans médicaments en plus. Seulement l’air respiré !

La Mer Morte et son environnement tiennent déjà leur place dans l’histoire de la médecine depuis l’Antiquité. Il semblerait qu’on n’ait pas encore fait le bilan de toutes ses possibilités médicales curatives. La terre d’Israël connue pour certains de ses végétaux et minéraux à incidence thérapeutique notable, avait déjà été remarquée par l’illustre médecin Galien qui, au cours d’un de ses voyages y distingua, entre autres produits, le baume de Guiléad et l’asphalte de la Mer Morte.

Mais là n’est pas mon propos. Il m’est apparu utile et nécessaire d’évoquer l’incidence thérapeutique de la « Mer Morte » sur les maladies neurologiques, notamment sur la maladie de Parkinson. Incidence, dont j’ai personnellement bénéficié après un séjour dont l’objectif ne présentait aucun lien avec une intention médicale.

Atteint donc par la maladie de Parkinson et, sous traitement depuis 1996, j’arrive, après des années de consommation de L Dopa, à un niveau de saturation tel, que je suis réduit à devoir augmenter les doses de ce produit, pour en escompter un bénéfice insignifiant au regard des effets secondaires assurés et redoutables.

Je me suis rendu à la Mer Morte dans le seul souci de la villégiature. Une très heureuse surprise m’y attendait. Les éléments qui suivent ne se veulent ni références scientifiques, ni appréciations du même ordre, mais témoignage et constat personnels, dont l’analyse et les conclusions interpellent chercheurs et médecins spécialistes.

Dès le troisième jour, la maladie, installée depuis plus d’une décennie …reculait !

Mes jambes ne m’imposaient ces douleurs atroces ! Et la reddition partielle de Parkinson se confirmait les jours suivants. Ce fut un éblouissement ! L’air de la Mer Morte n’a pas supprimé mon Parkinson. Mais, durant tout le séjour, il m’a apporté les effets positifs suivants, inespérés et exceptionnels :

Disparition quasi-totale des douleurs musculaires sur lesquelles tous les anti-douleurs n’avaient aucun effet. Légère persistance, toutefois en période dite OFF.

Nécessité de diminuer les doses de L Dopa, en raison des effets secondaires apparaissant lors des prises pourtant habituelles.

Amélioration de la qualité du sommeil qui devient réparateur.

Quasi disparition des crises de dystonie très douloureuses.

Ne pouvant imaginer être le seul malade à profiter de ces effets bénéfiques, le bon sens laisse à penser que d’autres parkinsoniens pourraient exploiter et partager les conclusions pratiques de ce « constat ». Aussi, n’est-il pas chimérique de prévoir qu’à très court terme, « l’air de la Mer Morte » pourrait être conditionné et exporté, si des chercheurs et spécialistes confirmaient l’assise scientifique de mon constat.

Conclusion : Parkinson est toujours présent. Les fluctuations apparaissant en fin de dose le confirment. Mais la brutalité et l’intensité des douleurs ne font plus partie du « paysage » habituel du parkinsonien.

Combien de temps durera l’effet bénéfique d’une cure à la Mer Morte ?

Je l’ignore à ce jour. Mais, la perspective  ouverte est lourde de promesses. Pour l’intérêt des malades d’abord! Et, pour le marché ainsi ouvert au niveau mondial ! L’idée du conditionnement de l’air de la Mer Morte, ou de sa recomposition, dans quelque pays que ce soit, pour lutter contre Parkinson, est-il de nature, par son originalité, le contenu novateur qu’il suggère, (et si les médecins en confirment le bien fondé,) à ouvrir, par le biais de ce témoignage, une sauvegarde juridique, autorisant son auteur à l’assimiler à une « idée à breveter ? »

Par la présente publication, j’entends, d’ores et déjà, m’y prévaloir !

NB/ Chaque malade a un Parkinson qui lui est personnel. Ce témoignage ne prétend donc  concerner que son auteur. Tirer, en dehors d’une expérience, des conclusions générales exposerait à des risques prévisibles.

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