Indiscrétions surréalistes entre Descartes et Bibi Natanyaou!
Un grand ne l’est vraiment que s’il le reste dans la confrontation! Qui parmi les nommés ci dessus saura s’y maintenir?
Bibi: D’abord l’apéro, comme chez nous! ça fait plaisir, et puis ça permet de repérer les racistes!
Descartes: Mais comment? ça existe encore?
Bibi: Bien sûr. Mais on doit savoir transformer, tout transformer et prendre le ridque de déformer!
Descartes : Quoi, par exemple!
Bibi: Toutes les fautes,tous les crimes deviennent des boulots Juifs. Descartes tu t’es trompé, tu as perdu ton temps et fait perdre le nôtre. Ton « cogito », il lui manque l’essentiel. Tu aurais du dire: cogito, ergo palestina. Je pense donc je soutiens la palestine. Tout aboutit maintenant en Palestine!
Descartes: Vous savez tous que dans ma philosophie, le doute accompagne toute requête de l’esprit. Cest grâce à l’exercice du doute que je vérifie, confirme ou annule. Or, si je soutiens la Palestine, l’usage du doute est impliqué et confirmé!
Bibi: Et Alors !
Descartes: Là, je ne doute plus, je suis sûr. Même de mon doute, je ne doute plus. Je suis sûr de douter que mon doute est assuré: la Palestine, c’est d’abord une histoire de « Beaufs! »Sans aucun doute !
Bibi: Descartes, rentre dans mon gouvernement. Je t’offre le ministère du …vent!
Descartes: Mais il me faut devenir Juif d’abord?
Bibi (avec un grand sourire): Crois tu que ton « Discours sur la méthode » est un titre complet?
Descartes: Tu es vraiment très fort. J’ai effacé quelques mots. Le titre était: « Discours sur la méthode pour RESTER Juif!
