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Le pardon du pape à… D.ieu, est-ce  progrès ou son Le pard contraire ?on demandé à D.ieu n’est valide, dans la forme requise par la Loi de Moïse que si l’auteur de la faute commise  au préjudice de l’homme, obtient, au préalable, de la victime. l’assurance que sa demande est fondée,  parce que la victime a pardonné.

Le pardon demandé à D.ieu par Jean Paul II en Mars 2000, pour les fautes commises par les Chrétiens envers les Juifs ne présente pas, , semble t-il, le respect de cette condition, fondée d’abors sur le bon sens et sur les pratiques de l’élémentaire Justice ensuite.

La condamnation de l’antisémitisme par l’Eglise,  telle qu’elle figure dans la déclaration conciliaire Nostra Aetate, publiée sans que l’Eglise estimât, pour le moins, nécessaire d’y souligner l’implication  active qui fut la sienne dans ces exactions anti judaïques , n’indique t-il pas plutôt la naïveté à souscrire aux illusions du chimérique rapprochement  judeo-chrétien?

On aurait pu croire que Jean XXIII inaugurait un salutaire et novateur changement. Ce ne fut que « poudre aux yeux »! Car, si Vatican II est porteur d’un message, ce serait plutôt celui de  l’annonce du retour en force du radicalisme qui en constituerait l’essentiel de la teneur


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