Bombardements sur les villes du Sud, prosélytisme islamique au Kotel, et libération d’un millier d’assassins, quand bien même assortie de la libération de Guilad Shalit, traduisent, un des périls les plus assurés de la démocratie israélienne et, au-delà de la Nation tout entière : la faiblesse de l’autorité de l’Etat.