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Faire usage de la liberté d’expression devient donc un exercice périlleux.

Comment douter de la justesse d’une cause et d’un combat devant pareilles réactions ?

Ces menaces sont, sans doute, l’oeuvre  de déséquilibrés dont l’antisémitisme n’est pas qu’un état d’esprit,

Mais ils révèlent une banalisation de la violence qui amène à confirmer que le premier danger qui  menace les libertés n’est pas l’Islamisme.

N’ayant pas l’habitude de tels procédés, je remercie celles et ceux qui y furent confrontés pour tout conseil, avis ou initiatives à prendre.

Au-delà ou en deçà d’Elie Wiesel, c’est l’exercice de droits fondamentaux qui est en jeu. Il n’y aura ni concession, ni trêve avec les fossoyeurs de la liberté.

Quant à la pratique de l’intimidation, ses militants doivent se rappeler que nous ne sommes pas en …1940 !

5 Réponses à “Suites de l’affaire Elie Wiesel : JE SUIS L’OBJET DE MENACES PERSONNELLES !”

  1. ELYANE dit :

    Si j’ai bien compris,Cher Arnold, vous etes l’objet de menaces personnelles pour avoir osé vous exprimer!
    l’intimidation a toujours été l’apanage des faibles..faire peur, pour pouvoir accentuer les pressions…ça ne prend plus aujourd’hui, vous etes le seul à avoir ouvert ce débat qui blesse et renvoie à des terreurs nauséabondes, et je vous en remercie de tout coeur.
    S’attaquer à Elie Wiesel ne date pas d’aujourd’hui, ni d’hier, c’est comme on dit « un marronier », nous ne devons en aucun cas nous laisser berner par ceux qui croient détenir une vérité…leurs procédés sont monstrueusement antisémites et nous en connaissons tous les ressorts…Elie Wiesel, n’a jamais répondu à ces attaques, et je lui donne raison, c’est donc à nous de prendre le relai, nous le lui devons,
    nous le devons à 6 MILLIONS de morts, juste parcequ’ils étaient juifs.
    Alors que ceux qui ont envie de laver cet affront, ne se gènent pas de
    rejoindre votre blog… Nous ne sommes effectivement plus en 40
    BRAVO ARNOLD…continuez ..continuons.
    LE HAIM !!!!!

  2. kravi dit :

    Bonjour Arnold,
    certes, nous ne sommes plus en 1940. Mais l’antisémitisme ne connaît ni frontières, ni temporalité.
    N’ayant jamais été menacé moi-même, je ne saurais vous faire profiter de mes conseils. Mais en tant que psychanalyste, ancien directeur d’une institution de soins psychanalytiques, j’ai souvent été confronté à la perversité. Je sais d’expérience que celle-ci est démontée quand elle est mise en évidence, quand la loi du silence est défaite, quand les manipulateurs de l’ombre sont cloués sous la lumière crue.
    Je ne sais si ces menaces sont nominales ; les pervers se cachent pour mieux manipuler. Si tel n’est pas le cas, vous avez évidemment la solution de la plainte officielle, mais ça, vous le savez déjà.
    Quoi qu’il en soit, sachez que vous n’êtes pas seul.
    Cordialement

    • Chère Danilette, Cher Kravi,
      Merci très chaleureusement de votre proposition. Bien entendu, j’ai pris mes dispositions et demandé, par ailleurs à un avocat pénaliste d’examiner toute cette affaire.
      Avec ma sympathie.

  3. Danilette dit :

    Comme l’a bien dit Kravi, vous n’êtes pas seul, que peut-on faire pour vous aider ? Je suis un peu responsable puisque je vous ai demandé votre avis…
    J’ai moi par contre été victime non seulement de menaces mais d’un passage à l’acte et j’en garde encore les séquelles psychologiques et l’immense désarroi de m’être sentie complètement seule, les personnes qui auraient du être solidaire puisqu’impliquées, n’étaient plus là… Cher Kravi, pourrais-je vous en parler ?

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