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Frapper Israël dans son besoin d’être reconnu, c’est inaugurer un front sans limite!

L’ homme politique, à la place de Charles de Gaulle en 1967 aurait du se mesurer à la force vice de la Communauté juive,  qui n’a laisse passer l’inacceptable de la conférence de presse que, parce qu’il s’agissait de de Gaulle !

Qui était de Gaulle pour les Juifs de France ? Un homme qui ne tint cette place que peu de temps ! Mais suffisamment longtemps pour les persuader qu’il n’avait rien de commun avec les guignols germanisés. Aujourd’hui le silence des Juifs de France a des connotations surréalistes, parce qu’on le considère sous une appréciation étrangère à celle qui prévalait

en 67.

Les Juifs de France n’ignoraient pas que peu d’hommes avaient mis leur carrière en jeu pour défendre une certaine  idée de la France, et, tout en ayant conscience de l’énormité de mon propos qui se pose en parallèle de la trahison de l’affaire algérienne, en dépit des évidences,  Charles de Gaulle restait l’âme de cette France qui eut la collaboration pour ennemi et qui, en dépit des coups  bas gardait  sympathie et  respect pour les Juifs.


Je me rappelle de cette amie chère qui me dit une fois, agacée des critiques à l’encontre de l’auteur de l’Appel, « Avec lui, on se sent en confiance ! »

C’est le fameux « mal d’amour » dont je vous parle si souvent et dont de Gaullle a su jouer avec une maîtrise du jeu qui, en dépit d’un contexte dépassant le commun de génie pouvait permettre de sortir la tête haute. L’Algérie, le sionisme, ces vérités ne pouvaient rien contre celui qui maintint l’honneur de la France comme un invincible songe.

Celui qui fit arrêter Pétain, celui qui fit pendre Laval avec sa cravate était dépositaire d’un actif qui ne parvint à bousculer le passif, par que si les hommes sont prêts au pardon, ils veulent en garantie la « certitude de l’amour ». Il fallut tout le génie à ce général, célébrité illustrissime qui ne remporta jamais de victoire militaire génie pour  faire accepter cette  prééminence qu’il sut mettre en avant, en insistant raisonnablement mais suffisamment pour donner l’impression du sacrilège, si d’aventure on lui demandait  des comptes !

France, Grande Bretagne, USA, Israël ne demandèrent pas plus d’explications qu’ils n’exigèrent de regrets!

Cela pour dire, que l’appréciation du cas « Charles de Gaule impliquait en 67, des « données rationnelles » et d’autres qui l’étaient moins . En tout cas des approches complètement évacuées aujourd’hui et qui classent plus de Gaulle, compagnon de Jeannes  d’Arc, que frère d’arme  de Hautecloque !

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