Or là, d’une part, on se soumet au diktat palestinien, puisque, se privant de tout commentaire à cette mise en question des fondements du droit, on confirme que “Qui ne dit mot consent.” D’autre part, Israël est l’objet de pressions pour qu’il inaugure ces rencontres où, d’ores et déjà, on le sait, il est “ non reconnu” .On peut donc conclure avec bon sens, ce que tout le monde sait, que “rien de bon ne sortira de ces pourparlers, si d’aventure ils sont entrepris. Alors, pourquoi, fait-on comme si?
La subtilité de la condamnation d’Israël consiste à l’aveu implicite d’une mise en scène contradictoire et d’un scénario négociateurs qui, ne fermant pas la porte, quand bien même la présence d’une chaîne dissuaderait toute “vélléité d’ouverture,” mais permettrait en cas de l’arrivée subite d’une stratégie adverse inattendue, inespérée mais victorieuse, de plaider bonne foi et croyance soutenues que l’ONU a toujours été le seul facteur de paix.
C’est par le domaine des technologies et découvertes que le fossé se creuse, que le danger pourrait surgir, car des liens inimaginables, il y a une dizaine d’années se nouent entre Israël et des pays demandeurs, d’Aie notamment. De plus en plus d’étrangers viennent en Israël et demandent à bénéficier de ses recherches et découvertes.
Comment, dans pareil contexte, ne pas se souvenirs des paroles singulières de “constat” en même temps que prémonitoires de l’ex président Sarkozy, affirmant qu’Israël est un miracle?
Par ces paroles graves, révélatrices et significatives, l’ex Président Français place Israël au dessus de la mêlée, rappelle la vocation rédemptrice d’Israël et prévient les nations de « l’originalité absolue » de l’Etat Juif »
Un pas important de la reconnaissance du statut d’Etat leader consenti à l’Etat Juif.
