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On décapiterait les enfants Chrétiens. On martyriserait leurs parents, on obligerait à la conversion. Dans ces conditions, les Etats permettant, les Etats tolérant,  perdent l’inviolabilité de leurs frontières.

Rien ne justifie que leur indépendance soit  sauvegardée, que leurs droits soient reconnus. Ils deviennent associations de malfaiteurs.

Les nations libres doivent considérer que le « devoir d’ingérence » perd son aspect optionnel pour devenir impérieux. La non assistance à enfants en danger de mort ne porte pas à débattre sur l’éventualité d’intervenir mais sur la complicité au crime que son immobilisme met en évidence.

Il est en train de s’installer une mentalité perverse, héritée probablement de la passivité des nations, assistant muettes, tétanisées à la « Solution finale »sans que le « constat d’horreur » ne soit suivi de ses conséquences: Intervenir, frapper et protéger!

Lorqu’on voit, les scènes de torture, les exécutions précédées ou suivies des rituels d’incantation au diable, on ne peut, on ne doit présenter les règles de droit comme des moyens de vérification permettant d’habiliter ou non  l’intervention.
Quand on prend acte qu’au regard de ce qui fonde l’éminente dignité de la personne humaine, des femmes sont vendues sur les places publiques,  ce qui est ainsi et ici contesté,  n’est pas le « droit de tuer » mais le sens du combat de nos Pères pour établir des règles de droit obligeant au devoir de sauvegarde.

La légitime défense réduite à ne concerner que l’attaque directe à un pays déterminé qui justifierait et autoriserait  la réaction défensive est une déformation malsaine du fondement du droit.
La question alors,  n’est pas de savoir si, politiquement, et juridiquement il y a obligation d’ingérence. La source du droit, l’Ethique ou la moralité, doivent se substituer aux « formalités. » Et l’ingérence devenir  la seule, l’unique voie où l’homme pourra conserver son identité, sans se fourvoyer par l’indignité de prétextes, laissant son âme en jachère et son esprit s’égarer par des spéculations dilatoires.

2 Réponses à “Si ces scènes d’horreur sont vraies, refuser l’ingérence, c’est perdre le reste d’humanité!”

  1. pat Quartier dit :

    Les seules ingérences que se permettent les nations occidentales sont celles qui sont conformes à leurs intérêts directs .et celles qui s’avèrent antiisraéliennes.
    Qui oserait un droit d’ingérence pour aller combattre les exactions chinoises au Tibet ,ou Turques sur l’Ile de Chypre?
    Le droit d’ingérence est lié au rapport de force.

  2. elyane dit :

    Et j’ajouterai que le monde entier se fiche de ces horreurs…
    OK donc avec le commentaire de PAT!!!!

    Quand dans les rue de Paris on crie Mort aux juifs, quand il y a le gang des barbares, des mohamed mehra, des nemouches ou l’autre cinglé de l’Australie de ces dernières heures….. a part des paroles d’une platitude affligeante des dirigeants du monde entier….que reste t-il? du vent…la vie continue…et les massacres continuent dans des flaques d’horreur et de sang…..on a connu, on a donné…6 Millions , alors….Les horreurs ne font plus peur, elles ne sont que le reflet d’un monde bientot englouti, d’une société en désespérance, et pour tout vous dire…au risque de vous choquer….Je garde mes émotions pour mon Peuple, meme si ces horreurs perpétrés par une bande de cinglés, ne changeront hélas pas la face du monde…
    Parfois je suis attérée, parfois je suis horrifiée, mais je dors…
    alors….que suis-je?
    LE HAIM CHER ARNOLD

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