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Toute expérience  sérieuse de la vie authentifie le sens de Hanoucah qui, reste, d’abord célébration d’un miracle. (Selon la Tradition, un miracle est l’accélération ou le ralentissement d’un processus naturel.) Ce miracle n’a pas la dimension du merveilleux, de l’extraordinaire et ne vise pas à la contrainte .Aussi cette intrusionde la P.rovidence accordera à une chandelle huit jours de vie, alors qu’elle n’était promise qu’à un seul jour,  vient d’abord nous confirmer que si nous savons être « vigilants »nous remarquerons que, tant notre vie familiale que le contexte historique qui l’environne,  sont parsemés d’épisodes, de circonstances et de péripéties irrationnelles.


Les circonstances qui ont déterminé la portée de cette célébration confirment que la « capacité de voir, de comprendre » n’est pas une donnée de nature, innée ou acquise. Elle échappe à l’aliénation du temps. Elle est co-naissante à l’homme et dure tout l’espace d’une vie. Tout temps consacré à l’usage de la clairvoyance est de l’ordre de ce temps immérité, miraculeux consenti à Hanoucah.


Et le miracle de la lumière qui dure au-delà des lois de la physique enseigne, que « voir » est plus important que ce qu’on voit! Car la permanence du moyen accordant l’illimitation à la rectification, l’homme de Hanoucah que dans la conscience et le coeur de chaque vivant, la Hanoukiah vivra le temps de son temps pour lui rappeler que « revoir », c’est à dire, user immodérément du devoir de remettre en question sa capacité de « voir »l’assure contre la cécité de la conscience.


Et nous savons que « pouvoir revoir » s’assimile à la certitude que rien n’étant acquis, le Juif dispose de cette opportunité dont Descartes a eu l’intuition mais à qui, il n’a pu faire dépasser l’empirisme parce qu’à sa fenêtre, ne se dressait pas ce rempart contre les ténèbres: la Hanoukiah!


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Une Réponse à “Hanoucah ou la réponse à Descartes”

  1. Yan dit :

    Bonsoir, « Hag Saméhah Hanouccah ».

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