Posté dans Articles sur 5 nov 2011
Depuis toujours il y eut deux « France ». Celle de la Révolution Française qui fit des Juifs des hommes libres et celle de la Réaction qui s’y opposa. Celle de Maurras qui souhaitait le retour de la monarchie et celle de Jaurès qui rêvait d’une France juste et fraternelle. Celle de la Résistance et celle de […]
Posté dans Articles sur 3 nov 2011
En acceptant en son sein une organisation antisémite, raciste et prônant l’anéantissement d’un autre Etat, membre de la même structure, l’UNESCO se comporte comme si l’antisémitisme avait franchi les dernières réserves et n’éprouvait plus la nécessité de se déguiser pour apparaître, tel quel, à la face du monde en pratiquant désormais un antisémitisme d’Etat !
Posté dans Articles sur 2 nov 2011
« Tout accorder aux Juifs en tant qu’individus, ne rien accorder aux Juifs, en tant que Nation » Lorsque Stanislas de Clermont Tonnerre prononça ces mots en 1789, se rendait-il compte qu’il introduisait vis-à-vis des Juifs un comportement qui, loin d’être l’antisémitisme, n’en n’était pas, pour autant, le signe de la reconnaissance nationale dont ce peuple avait […]
Posté dans Articles sur 1 nov 2011
Oui, ressentir de la honte pour la France est pour moi, un sentiment nouveau, d’abord étrange et étranger à ma conviction intime, c’est dire s’il m’atteint et me trouble. Il m’oblige à une bien pénible acrobatie. Après m’avoir convaincu de la portée universelle de sa civilisation pour ses actions illustres, il me contraint à l’affligeant spectacle […]
Posté dans Articles sur 31 oct 2011
L’antisionisme a officialisé son statut depuis la mémorable condamnation du général de Gaulle en 1967 qui servit de prétexte aux retrouvailles franco-arabes interrompues par les inévitables conséquences des guerres coloniales. En effet, l’amitié franco arabe, véritable pavé dans la mare de la diplomatie européenne n’avait de cesse de se renouveler et, c’est le peuple juif […]
Bombardements sur les villes du Sud, prosélytisme islamique au Kotel, et libération d’un millier d’assassins, quand bien même assortie de la libération de Guilad Shalit, traduisent, un des périls les plus assurés de la démocratie israélienne et, au-delà de la Nation tout entière : la faiblesse de l’autorité de l’Etat.
